Terreur climatique : vers des confinements les jours de pic de pollution ?
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Comme je l’ai exposé dans mon étude sur l’idéologie antinataliste des élites mondialistes, dès les années 70, les éco-globalistes radicaux comme Paul R. Ehrlich ou John Holdren (ancien conseiller scientifique d’Obama) appelaient à un gouvernement mondial planificateur qui imposerait des mesures strictes aux populations sous des prétextes écologiques ou de santé publique. Ceci afin d’atteindre une « croissance démographique zéro » selon leurs propres termes. Car, dans leur esprit, il n’y a pas d’autres possibilités pour réduire la pollution que d’entraver la natalité et l’activité humaine dans son ensemble mais d’abord et en premier lieu en Europe. Ce qui est évidemment un prétexte pour exercer un contrôle absolu des populations dans le cadre de l’élaboration d’un gouvernement mondial post-national. Comme pour les campagnes de vaccinations eugéniques, la méthodologie de la gouvernance biopolitique consiste à présenter comme une menace de mort imminente une problématique réelle mais gonflée artificiellement. Ceci afin de nous faire accepter ce qu’en temps normal, nous n’accepterions pas. Cela commence souvent par une discussion entre des journalistes et un spécialiste comme dans l’extrait ci-dessous …
Face à tous les ennemis invisibles qui nous entourent (virus, particules fines etc.), la gouvernance biopolitique indirecte a de l’avenir. Nous ne vivons pas un changement climatique, nous vivons un changement de civilisation. Changement imposé dans tous les domaines de la vie humaine et planifié de longue date par les ingénieurs sociaux du globalisme politique.
Pierre-Antoine Plaquevent pour strategika.fr
source : rmc.bfmtv.com
Et pour préserver la santé des Français les jours de pic, il pousse carrément pour des confinements :
« C’est excessif mais ce serait la solution idéale. Si l’on suit les recommandations de l’OMS, on est toujours, dans nos grandes villes, au-dessus des seuils de particules fines. Il faudrait lors des grands épisodes de pollution arriver à des solutions drastiques, arriver à des très fortes baisses de l’activité industriel », détaille le cardiologue.« Il faut absolument limiter l’activité physique, adopter une conduite souple et si possible ne pas utiliser de gros véhicules »
Chaque année, 6300 personnes meurent de la pollution rien qu’en Auvergne-Rhône-Alpes. Les causes sont multiples
À l’occasion de la journée nationale de la qualité de l’air ce jeudi, Santé Publique France publie pour la première fois les résultats d’une étude sur l’impact de la pollution de l’air sur toute une région, en Auvergne-Rhône-Alpes.
Les résultats de l’étude dans cette région où la majorité de la population est exposée à des seuils dangereux sont éloquent: 2000 décès par an sont liés à l’exposition au seul dioxyde d’azote et près de 4300 décès sont liés chaque année aux particules fines. « C’est lié à la pollution industrielle. Les particules fines, c’est un sujet très complexe, il y a plusieurs types d’émissions, on a des sources extrêmement variées, parfois issues de l’exploitation agricole », explique ce jeudi sur RMC Jean-Baptiste Renard, cardiologue et directeur de recherche au CNRS.
6300 morts, cela représente 7% des décès annuels en Auvergne-Rhône-Alpes, tous liés à ces polluants invisibles qui pénètrent dans l’organisme. Chaque année, ils causent également 780 AVC, près de 200 cancers du poumon et plus de 500 crises d’asthme chez des enfants passés par les urgences. Certains Lyonnais respirent des taux de dioxyde d’azote 6 fois supérieurs à la norme. Et en zone rurale comme dans la Drôme, l’ozone est de plus en plus concentré.
« Il faut de fortes baisses de l’activité industrielle »
En Auvergne-Rhône-Alpes, les polluants saturent aussi l’air dans des proportions dangereuses, libérés par les pots d’échappement ou le bois de chauffage. Mais la pollution de l’air n’est pas exclusive à cette région. Une alerte en raison d’un pic de pollution a été émise pour l’Île-de-France ce jeudi.
« Il faut absolument limiter l’activité physique, adopter une conduite souple et si possible ne pas utiliser de gros véhicules », conseille dans ces cas-là Jean-Baptiste Renard. Plus généralement, il plaide pour l’interdiction des véhicules polluants en ville comme les 4×4 et certains Diesel. Et pour préserver la santé des Français les jours de pic, il pousse carrément pour des confinements:
« C’est excessif mais ce serait la solution idéale. Si l’on suit les recommandations de l’OMS, on est toujours, dans nos grandes villes, au-dessus des seuils de particules fines. Il faudrait lors des grands épisodes de pollution arriver à des solutions drastiques, arriver à des très fortes baisses de l’activité industriel », détaille le cardiologue.
Pour montrer l’importance de la lutte contre la pollution les experts de Santé publique France ont fait des prévisions: améliorer la qualité de l’air permettrait d’éviter au moins un millier de décès et de nombreuses complications chaque année.
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Certes. Mais attention à l’effondrement réel de nos ressources fossiles. Ce n’est pas une manip.