From Grokipedia to the Fall of the West

Source : multipolarpress.com – October 29, 2025 – Alexander Dugin

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Alexander Dugin warns that humanity faces imminent collapse as AI, genetic warfare, and the fall of the Sacred mark the West’s final descent.

The end of humanity may be closer than we think.

On October 27, with the push of a single button, Elon Musk replaced the liberal-globalist Wikipedia (which took 25 years to build) with the neutral Grokipedia, while Jeff Bezos replaced 300,000 Amazon employees with artificial intelligence. In addition, Musk has prepared an army of robots, and their appearance on the battlefields can be expected by next spring. Cyborgs and artificially modified animals are already in development. Tomorrow, humans themselves will be modified.

War and peace alike are changing at lightning speed.

Genetic research has made society an easy target for mass genocide — possibly with an ethnic component. Ethnic weapons have been created and could be used at any moment.

Mind control has reached unprecedented heights, and virtuality is replacing reality.

I believe that the convergence of these threats could lead to total collapse — not over the course of decades, but within the coming years.

According to statistical forecasts, collapse is far more likely than the continuation of existing trends in any form.

Liberalism was the last ideology preserving the status quo, but it has proven entirely nihilistic and destructive, and it has collapsed. Clinging to it is pointless. It largely brought about this situation itself.

Everything began with the loss of the Sacred. Humanity canceled God. At first, in the name of man. Religion was replaced by philosophy and science. Then man himself entered into a crisis: philosophy fell away, and science became a handmaiden of technology. Man began to disintegrate into fragments. Trans-genders, trans-species (furries, quadrobers, chimeras), trans-ethnicities, and finally, trans-humanism. Man has become a matter of choice.

One should harbor no illusions: the end lies within arm’s reach. To prevent it — or even to delay it — we must identify the root of the problem. This, in essence, is the purpose of Westernology. It is a map that allows one to grasp the nature of Western Modernity. The West as such, and especially Western Modernity, is responsible for everything now happening to humanity.

The West is not only a geographical concept but also a historical limit. Hegel wrote that history moves from East to West. This means from the beginning to the end. The West is an eschatological phenomenon.

Une pensée sur “From Grokipedia to the Fall of the West

  • 2 novembre 2025 à 13 h 05 min
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    Ecoutez ceci, vous qui prétendez au bonheur : perfectionnez-vous, car le bonheur est dans la perfection !
    Si la physiologie nous montre ce qu’est le mécanisme de nos organes, si la psychologie nous apprend quelles sont nos facultés mentales et sentimentales, la morale nous enseigne l’usage que nous devons en faire.
    La physiologie nous dit ce que nous pouvons, la psychologie ce que nous faisons, la morale ce que nous devons. On peut la définir ainsi : « C’est l’ensemble des règles qui doivent guider la libre activité de l’homme. ». Ces règles doivent être basées sur les vérités éternelles ; elles doivent reposer sur les principes mêmes qui ont créé la vie et dirigé l’évolution humaine. Sans cela ce n’est pas la morale. Ces principes étant partout les mêmes, sur notre terre, tous les hommes doivent être soumis aux mêmes règles de conduite puisqu’ils sont soumis aux mêmes lois physiologiques. Donc, la morale doit être une, elle doit être universelle comme les vérités premières qui doivent être l’origine et la fin de tous les devoirs de la vie.
    L’histoire nous montre, en effet, que les préceptes de morale, observés chez tous les peuples de la terre, reposent sur un fond commun d’idées. Le code du devoir a toujours été à peu près le même. La pensée souveraine qui a traversé tous les âges et qui semble être née spontanément dans toutes les parties du monde, est l’écho des lois immuables qui gouvernent la nature humaine. Les vérités morales, nécessaires à la vie sociale de l’humanité, ne sont le privilège d’aucun temps, d’aucun peuple, d’aucun individu. Partout la conscience humaine est soumise aux mêmes lois et se développe dans la même direction. Mais les causes premières sur lesquelles se base la loi morale échappent à l’entendement actuel de l’humanité. Elles sont à l’origine de la vie sociale, comme les causes qui ont dirigé l’évolution des êtres sont à l’origine de la substance organisée.
    L’idée que nous avons d’une loi morale n’a pas son origine dans notre moi actuel, nous l’apportons en naissant, c’est un lot de l’héritage ancestral. Nous pressentons les lois de l’ordre moral, nous les proclamons et nous nous y soumettons avant de les comprendre : C’est un phénomène d’atavisme. Nous pouvons même dire que, dans l’état actuel de l’esprit humain, les causes n’en sont plus du tout comprises.
    Et, cependant, il semble qu’une voix intérieure révèle à l’homme la différence qui existe entre le bien et le mal, le juste et l’injuste. Mais la cause de ces différences lui échappe. C’est un flambeau que les générations se passent de mains en mains sans que personne ne songe à demander qui a allumé ce flambeau, où, quand et pourquoi.
    Les causes morales doivent être cherchées dans les principes mêmes qui ont créé la vie et dirigé l’évolution puisqu’elles sont inhérentes à la nature humaine. Mais il faut savoir quel est le rapport qui peut exister entre ces principes et les actions des hommes ; pourquoi la nature humaine est organisée de telle sorte qu’en suivant ses impulsions l’homme ne va pas toujours vers le bien ? Quelle signification on doit donner au mot bien et au mot mal, quel est le but que l’homme doit chercher à atteindre, en un mot, qu’est-ce que la perfection morale ?
    Pour répondre à ces questions, nous avons dû remonter le cours de l’évolution humaine, chercher quand et comment le mal a commencé, car, de même que nous ne comprenons l’existence de nos organes qu’en les étudiant dans leur développement, de même que nous ne comprenons leurs fonctions qu’en remontant dans l’évolution physiologique, ainsi de même, nous ne pouvons comprendre la raison des rapports établis aujourd’hui entre l’homme et ses semblables qu’en remontant le cours de l’évolution psychique de l’humanité.
    C’est donc à la science que nous avions à faire appel puisque, elle seule pouvait nous éclairer en nous montrant les faits dans leur évidence, les causes dans leur origine.
    Sans cette évidence, que la science seule nous donne, nulle autorité n’a le droit d’imposer à l’homme un précepte à observer, un devoir à remplir.
    Toute prescription non justifiée par une loi de la Nature est arbitraire et doit être suspecte. La loi doit avoir sa cause et cette cause doit être démontrée ou démontrable.
    Si l’ignorant a pu se soumettre à des préceptes imposés arbitrairement, c’est parce que, sentant sa faiblesse, il a eu confiance dans ceux qu’il a accepté pour maîtres, dans ceux à qui il a laissé le soin de penser pour lui.
    Mais celui qui se sent fort veut savoir le pourquoi des actes qu’on lui impose.
    « Hors de la foi point de salut », a-t-on dit. Nous répétons aujourd’hui : « Hors de la foi scientifique pas de morale ».
    Nous devons croire à la raison d’être des choses, pour les accepter. Sans cette condition première : la foi, rien ne peut entrer dans l’esprit des hommes. La doctrine morale de l’avenir doit se baser sur ces mots : savoir pour croire ; croire pour vouloir.
    Pour pratiquer le bien et éviter le mal, il faut savoir où est le bien et où est le mal, il faut connaître les causes qui font que telle action est bonne, que telle action est mauvaise.
    C’est la mission de la vraie science de faire cette recherche ; c’est sa mission d’en imposer les conclusions après en avoir rendu la nécessité évidente.
    Gardons-nous bien de séparer la morale de la science comme ont eu la malencontreuse idée de le faire certains philosophes qui, tout en proclamant l’infaillibilité de la science, n’ont pas su pousser jusqu’au bout, les conclusions de leurs affirmations.
    C’est ainsi que nous lisons, avec regret, dans un livre de M. Büchner, cette phrase : « La science n’a rien à voir directement avec les mœurs, au point de vue idéal, et toute recherche serait entravée si elle dépendait de semblables considérations. »
    Ceci prouve que M. Büchner ignore qu’il est une science qui régit les mœurs, et qui n’est pas autre chose qu’un chapitre de la physiologie.
    Comment se fait-il qu’il ignore cela ?
    C’est parce que, comme bien d’autres, il confond la vraie morale avec la fausse morale qui, elle, n’a pas de bases scientifiques.
    « La société nous a imposé une certaine forme de morale, mais cette société n’est que le reflet de l’ensemble de l’humanité. Or, à en croire la société et sa morale, il est permis d’être avide ; il est permis de tuer son prochain au nom de Dieu, de la patrie, ou d’un idéal ; il est permis d’être compétitif, envieux, dans les limites de la légalité. Une telle morale n’est absolument pas digne de ce nom. Il faut la renier au plus profond de soi de manière radicale » (Jiddu Krishnamurti, La vraie lumière en nous La vraie méditation).
    Voyons maintenant en quoi ces deux morales diffèrent l’une de l’autre.
    Deux morales ont donc régné sur la terre.
    L’une faite par la femme, au début de l’évolution humaine, bien loin dans le passé, l’autre faite par l’homme, plus tard ; car, tour à tour, la femme et l’homme ont dominé.
    NB : « Nous n’assistons pas à la fin naturelle d’une grande civilisation humaine, mais à la naissance d’une civilisation inhumaine qui ne saurait s’établir que grâce à une vaste, à une immense, à une universelle stérilisation des hautes valeurs de la vie.
    Ce n’est pas mon désespoir qui refuse le monde moderne. Je le refuse de toute mon espérance. Oui, j’espère que le monde moderne n’aura pas raison de l’homme ! » (Georges Bernanos, La France contre les robots)
    Lien : https://livresdefemmeslivresdeverites.blogspot.com/2017/07/lebienetlemal.html

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