Le grand empoisonnement et le virus bouc émissaire — La folle histoire méconnue de l’approvisionnement alimentaire
Source : chemtrails.substack.com – 3 décembre 2024 – Agent131711
https://chemtrails.substack.com/p/the-great-poisoning-and-the-virus
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Je pense que l’on peut dire sans risque de se tromper que la plupart des lecteurs de cet article se sont rendu compte que les virus1 n’existent pas, mais lorsque ceux qui croient aux virus veulent que nous expliquions comment des groupes de personnes en masse tombent malades en même temps, nous ne parvenons pas à fournir des explications claires et concises. Je nous entend souvent dire que les maladies de masse sont dues à des « conditions de vie insalubres », à l’introduction d’un nouvel herbicide ou pesticide, à une campagne de vaccination, etc. Bien que je sois tout à fait d’accord pour dire que ces facteurs peuvent être et sont effectivement à l’origine de maladies et qu’ils sont susceptibles de provoquer ce que l’on appelle une épidémie, que diriez-vous si je vous montrais quelque chose d’autre qui pourrait bien mettre le doigt sur le problème ? En faisant des recherches sur un sujet qui n’a rien à voir, je suis tombé sur des informations surprenantes qui expliquent tout, facilement…
Note 1: NDT S’il existe des artefacts biologiques provenant de la dégradation ou de la mort de cellules et observables au microscope électronique, aucun d’eux n’a pour autant été isolé et caractérisé en suivant la méthode scientifique. Il n’a donc, à plus forte raison, jamais pu être démontré que l’un d’eux était la cause d’une maladie dite virale. La virologie s’appuie sur des sophismes
et relève de pseudoscience.
Comme les informations que j’ai découvertes concernent le Royaume-Uni, commençons par là (nous aborderons l’Amérique dans un instant) :
Voici les maladies historiques qui ont frappé les citoyens du Royaume-Uni dans les années 1700 et 1800, résumées à leurs symptômes les plus courants :
Variole — maux de tête, fièvre, douleurs dorsales, éruption cutanée
Méningite — maux de tête, fièvre, vomissements, éruption cutanée
Scarlatine — maux de tête, fièvre, maux de gorge, douleurs d’estomac, vomissements
Grippe — maux de tête, fièvre, toux, maux de gorge, écoulement nasal ou nez bouché, douleurs corporelles, frissons, fatigue, vomissements.
Rougeole — fièvre, toux, écoulement nasal, éruption cutanée
Tuberculose — fièvre, toux, fatigue, toux
Syphilis — fièvre, ganglions enflés, éruption cutanée, lésions, douleurs corporelles
Gale — éruption cutanée
Coqueluche – fièvre, écoulement nasal, larmoiement, mal de gorge, toux, fatigue, les nourrissons peuvent avoir de graves problèmes respiratoires.
Comme vous pouvez le constater, tous les virus, quel que soit leur nom, présentent les mêmes symptômes. Voici les aberrations :
Scorbut — fatigue, douleurs corporelles, évolution vers l’effondrement du corps.
Diphtérie – fièvre, mal de gorge, peut provoquer un gonflement anormal des glandes du cou et/ou une paralysie.
Rachitisme — « une maladie qui affecte le développement des os chez les enfants, provoquant des os mous et faibles qui peuvent conduire à des déformations osseuses ».
Pellagre — problèmes de peau étranges, diarrhée, plaies dans la bouche, peut conduire à la démence.
Goutte – douleur corporelle, gonflement/inflammation, en particulier au niveau des pieds
Et puis il y a ces deux-là :
La peste bubonique — que nous pouvons rayer de la liste, car dans The Shocking True Story of the Plague Doctors (L’histoire vraie et choquante des médecins de la peste), nous avons appris qu’il s’agissait d’un empoisonnement de masse intentionnel réalisé à partir de l’approvisionnement en eau.
Le choléra peut également être retiré de la liste parce que la solution consistait simplement à nettoyer le système d’approvisionnement en eau et à assurer un drainage adéquat — l’exemple parfait de « conditions de vie insalubres » conduisant à une épidémie qui n’avait absolument rien à voir avec un virus.
Parlons maintenant de ce que j’ai trouvé et qui m’a fait réfléchir. La blogueuse Geri Walton a écrit : « Au début des années 1800, la pratique de l’adultération [des aliments] était devenue si courante que les gens du XIXe siècle ont pris goût à la présence de substances frauduleuses dans leurs aliments et leurs boissons et n’ont souvent réalisé que trop tard que quelque chose n’allait pas dans ce qu’ils ingéraient ». — Je n’avais aucune idée que des aliments empoisonnés étaient servis il y a si longtemps. J’avais l’impression qu’avant la Première Guerre mondiale, la nourriture était fraîche et propre. Des recherches plus approfondies ont révélé que mon hypothèse ne pouvait pas être plus éloignée de la vérité. Laissez-moi vous montrer quelques informations choquantes qui seront le clou du cercueil concernant la façon dont ces maladies « virus » historiques se sont rapidement répandues dans les villes.
Bien que la craie ou la poudre d’os puissent être utilisées pour conserver le pain, l’alun (phosphate d’aluminium et de potassium) constituait une option bien meilleure et moins coûteuse. L’alun était utilisé en combinaison avec le blanchiment pour donner au pain un aspect plus agréable et une texture plus ferme. Quelqu’un va me dire : « Ils font encore cela et nous n’avons pas la peste aujourd’hui ! », ce à quoi je réponds : « 1) Je sais, c’est pour cela que j’ai arrêté de manger de la farine blanche et des aliments transformés et 2) vous n’allez pas croire la quantité d’alun qu’ils ajoutaient au pain, alors laissez-moi vous dire… »
Les boulangers londoniens ajoutaient environ 1½ once d’alun par pain. Pour illustrer cette quantité, voici un verre à liqueur d’une once à côté d’un quartier d’ananas :
Ajoutez encore un demi-verre et vous obtenez la quantité d’alun contenue dans chaque miche de pain. Pour ne rien arranger, à l’époque, le pain n’était pas seulement un aliment de base, c’était aussi ce qui permettait aux familles, et en particulier aux enfants, de survivre.
Outre l’éruption cutanée, les symptômes de l’empoisonnement à l’aluminium comprennent la grippe :
Empoisonnement aux métaux lourds
Les symptômes pourraient inclure :
Douleurs abdominales.
Des frissons ou une température corporelle basse.
Déshydratation.
Diarrhée.
Se sentir faible.
Nausées ou vomissements.
Une sensation de grattage dans la gorge.
Engourdissement ou sensation de picotement dans les mains et les pieds.
Et il ne s’agit que de l’aluminium contenu dans l’alun. Un excès de potassium fabriqué en laboratoire est connu pour causer des problèmes musculaires et même la paralysie :
Hyperkaliémie [Excès de potassium dans le sang]
Symptômes :
picotements
diminution des réflexes
paralysie
faiblesse musculaire
gaz et ballonnements
nausées
Le troisième ingrédient de l’alun, le phosphate, provoque également des éruptions cutanées, des troubles du système nerveux central, etc. :
• Effets muscariniques 2: Augmentation de la production de salive et de larmes, diarrhée, vomissements, petites pupilles, transpiration, tremblements musculaires et confusion
• Symptômes du système nerveux central : Anxiété, confusion, somnolence, labilité émotionnelle, convulsions, hallucinations, maux de tête, insomnie, perte de mémoire et dépression circulatoire ou respiratoire
• Détresse respiratoire : Myosis (pupilles ponctuelles), fasciculations musculaires et diaphorèse (transpiration excessive)
• Symptômes gastro-intestinaux : Diarrhée, vomissements et crampes abdominales
• Symptômes cutanés et muqueux : Brûlures localisées ou cloques dues au contact cutané avec du phosphore élémentaire
Note 2 : Muscarinique : terme dérivé de la muscarine, un alcaloïde toxique de la classe des alcaloïdes tropaniques extrait de champignons vénéneux — NDT
Dans les cas graves, l’empoisonnement au phosphate peut entraîner :
• Symptômes cardiovasculaires : Dysrythmies (rythmes cardiaques anormaux), hypotension (pression artérielle basse) et même décès
• Coma : Une exposition prolongée ou sévère peut provoquer un coma
Il est très facile de voir comment une maladie peut se répandre comme une traînée de poudre dans une ville entière qui mange la même nourriture (et boit à la même source d’eau). Mais quelqu’un pourrait rétorquer qu’il ne s’agit là que d’un exemple et qu’il n’explique pas des centaines d’années de virus. Je vais donc vous en montrer d’autres, datant des années 1700 et 1800, qui coïncident avec les épidémies de virus :
En plus du pain empoisonné, le fromage l’était aussi. Qu’ont-ils mis dans le fromage ? Réponse : DU PLOMB. Du plomb rouge [de l’oxyde de plomb — NDT], pour être plus précis. Le plomb était utilisé comme colorant alimentaire, car on pensait que plus la teinte était orange, plus le fromage était bon. Les fabricants de Gloucester ont donc ajouté du plomb à leur produit pour le vendre plus cher. Les symptômes du saturnisme sont les suivants : maux de tête, fatigue, irritabilité, troubles de la mémoire et diminution des fonctions cognitives, douleurs abdominales, constipation, nausées et vomissements, anémie, faiblesse et douleurs articulaires.
La population est tombée terriblement malade et la maladie a continué à infecter les habitants des villes pendant très longtemps. N’oubliez pas qu’à l’époque, il n’y avait pas de rayon fromage à l’épicerie du coin, rempli de toutes sortes d’options…
À l’époque, le fromage ne provenait que de quelques sources. Finalement, la cause de la maladie a été attribuée au fabricant, un éleveur de vaches laitières. Ce dernier empoisonnait l’approvisionnement en fromage « depuis des années ». Oui, le public a consommé du fromage au plomb et du pain rempli d’un composé d’aluminium pendant plusieurs années consécutives, alors que les virus continuaient d’infecter leurs villes. Poursuivons :
Légumes : Les légumes marinés perdant leur couleur au cours du processus de marinage, on s’est rendu compte qu’il était possible de les colorer artificiellement à l’aide de cuivre. Le cuivre transformait les légumes en vert vif, leur donnant l’air d’avoir été fraîchement cueillis. Non seulement les saumuriers utilisaient du cuivre, mais cette astuce de changement de couleur était connue du public, si bien que les ménagères utilisaient des casseroles en cuivre, ce qui avait pour effet de faire passer le métal dans les aliments. Pour ne rien arranger, le processus de saumurage faisait appel à un autre ingrédient courant de la cuisine, le vinaigre, qui était lui aussi empoisonné — par l’acide sulfurique.
Les citoyens qui consommaient des aliments marinés présentaient les symptômes de la grippe : vomissements, fièvre et douleurs intenses à l’estomac. Tout comme le virus de la grippe, ces symptômes duraient en moyenne de cinq à neuf jours. Dans de nombreux cas, les citoyens sont morts, mais pas d’un virus, ils sont morts des toxines contenues dans leurs aliments. Mais ce n’est pas tout…
Ceux qui buvaient des liqueurs étaient également empoisonnés. Les liqueurs telles que le gin, le rhum et le brandy ont été créées à l’aide de produits chimiques industriels dangereux afin de maximiser les profits. La situation du vin était tout à fait différente. En ce qui concerne le vin, les cidreries disposaient de cidre rance, mais au lieu de le jeter, elles le vendaient à des viticulteurs qui transformaient le jus gâté en vin de Porto. Le processus de fabrication du Porto incluait parfois le vinaigre empoisonné. Comme vous pouvez le constater, des légumes au pain, en passant par le fromage et le vin, tout a été contaminé, mais ce n’est pas tout.
Les enfants aiment et ont toujours aimé les bonbons, et ceux-ci étaient incroyablement dangereux. Les confiseries, dans leur ensemble, étaient teintes avec le même plomb rouge que le fromage et teintes en vert avec le cuivre utilisé pour changer la couleur des légumes. En outre, « le sucre utilisé dans les friandises contenait souvent de l’argile de Cornouailles (une espèce d’argile à pipe très blanche) ». L’argile à pipe blanche, et l’argile en général, contient souvent des niveaux toxiques de métaux lourds. À l’époque, l’argile à pipe blanche était de très mauvaise qualité et donc si bon marché qu’elle était utilisée pour fabriquer des pipes à tabac jetables, mais les gens n’aimaient pas le goût horrible que l’argile bon marché donnait à la fumée. Cette même argile toxique de mauvaise qualité était utilisée pour couper le sucre, ce qui permettait au fabricant de sucre de gagner plus d’argent. Cela signifie que les sucreries, principalement consommées par les enfants, contenaient des niveaux exceptionnellement élevés de métaux lourds.
Même les crèmes, les puddings et autres desserts étaient contaminés. Des feuilles vénéneuses, comme celles du laurier-cerise, étaient utilisées pour créer un goût de noisette.
Et ce n’est là qu’une partie de ce que j’ai trouvé au Royaume-Uni dans les années 1700 et 1800. Je suis sûr que si je continuais à chercher, je pourrais écrire une série de dix articles sur le sujet. Passons maintenant à l’Amérique, à la même époque.
Aux États-Unis, nous avons souffert des mêmes maladies qu’au Royaume-Uni, en plus de la fièvre jaune (fièvre, frissons, maux de tête violents, douleurs dorsales, douleurs corporelles générales, nausées, vomissements, fatigue et faiblesse) et du typhus (mêmes symptômes plus éruption cutanée).
Ici, notre approvisionnement alimentaire a été empoisonné tout comme le Royaume-Uni, mais lorsqu’il s’agissait de sucre, nous regardions le Royaume-Uni et disions « tiens ma bière » tandis que nous empoisonnions notre chocolat avec de la poussière de brique, du sable et des métaux lourds.
Quant à la bière, elle a également été contaminée. De la picrotoxine ainsi que des baies toxiques appelées Cocculus indicus y ont été déversées. Ces toxines donnaient à la bière une couleur plus riche et plus foncée et en rehaussaient la saveur.
Notre fromage contenait non seulement les mêmes poisons que celui de nos amis de l’autre côté de l’Atlantique, mais nous avons aussi ajouté du sulfate de calcium, du carbonate de calcium et de l’oxyde ferrique, qui contenait souvent à la fois du plomb et du cuivre. Nous l’avons ensuite chargé de sel pour masquer la saveur des contaminants. L’astuce du sel était également utilisée pour notre beurre lacé [? Augmenté ? Clarifié ? NDT]. (Toutes ces tactiques sont encore utilisées aujourd’hui.)
Formaldéhyde, chromate de plomb, borax, acide borique, acide salicylique, salicylate de sodium, nitrate de potassium, fluorure de sodium, craie, amidon, benzoate et colorants ont été déversés dans le lait pour en modifier l’aspect et l’onctuosité.
Le poivre noir a été coupé avec du gravier tandis que le poivre de Cayenne a été contaminé par du sulfure de mercure et de l’ocre (un pigment contenant de l’argile et de l’oxyde ferrique).
Le miel n’était même plus du miel lorsque les fabricants ont appris qu’ils pouvaient fabriquer du faux miel en utilisant des substituts sucrés bon marché (qui, comme nous l’avons vu précédemment, étaient déjà empoisonnés). Ils sont même allés jusqu’à inventer des moules pour couler de faux rayons de miel.
Le jus de citron était coupé avec de l’acide sulfurique ou d’autres acides.
Même nos huiles essentielles ont été intentionnellement contaminées par de la térébenthine ou d’autres huiles bon marché et de l’alcool bon marché.
Le café moulu était frelaté avec à peu près n’importe quoi, y compris de la sciure de bois provenant du balayage des sols et du foie de cheval, tandis que le thé était rendu plus rentable en le coupant avec des feuilles séchées d’« autres plantes ».
Il ne s’agit là que de quelques exemples datant des années 1700 et 1800. Si nous avançons un peu dans le temps, comme nous l’avons évoqué dans mon article intitulé « Le scandale du pain blanc », pendant la Première et la Seconde Guerre mondiale, les marins qui restaient en mer pendant de longues périodes tombaient incroyablement malades, atteints d’une maladie appelée « Béribéri ». Il s’est avéré que c’est le fait de vivre pendant des mois avec du riz blanc trop transformé et dépourvu de nutriments et des produits à base de farine blanche trop transformés, dépourvus de nutriments et conservés qui était responsable de cette maladie. Ce n’était pas dû à un « manque de vitamine B », la solution était simplement de « manger autre chose que ces deux aliments horribles ». [De plus, de nos jours, le riz est souvent contaminé à l’arsenic].
Empoisonnement
Si vous recherchez sur Google les symptômes d’un empoisonnement, vous obtiendrez une copie conforme des symptômes de chaque virus :
Symptômes généraux d’empoisonnement :
• Vertiges
• Faiblesse
• Maux de tête
• Nausées
• Vomissements
• Diarrhée
• Douleur abdominale
• Confusion
• Irritabilité
• Crises d’épilepsie
• Insuffisance respiratoire
• Œdème pulmonaire
• Choc
• Déshydratation
• Hypertension artérielle
• Hypoglycémie (baisse du taux de sucre dans le sang)
Symptômes spécifiques au poison
• Hydrocarbures benzoliques
◦ Arythmie ventriculaire
◦ Paralysie
◦ Anémie aplastique
◦ Leucémie
◦ Dépression du SNC
• Bromures :
◦ Nausées
◦ Vomissements
◦ Éruption
◦ Troubles de l’élocution
◦ Ataxie
◦ Confusion
◦ Comportement psychotique
• Le fer :
◦ Vomissements
◦ Douleur dans la partie supérieure de l’abdomen
◦ Couleur pâle
◦ Cyanose
◦ Diarrhée
◦ Somnolence
◦ Choc
• Sels de plomb :
◦ Ingestion aiguë : Soif, douleur abdominale brûlante, vomissements, diarrhée.
◦ Inhalation aiguë : Insomnie, maux de tête, ataxie, manie, crises d’épilepsie.
◦ Exposition chronique : Anémie, neuropathie périphérique, confusion, encéphalopathie saturnine.
• Sels de thallium :
◦ Douleur abdominale
◦ Vomissements
◦ Diarrhée
◦ Stomatite
◦ Salivation excessive
◦ Tremblements
◦ Douleurs dans les jambes
◦ Paresthésies
◦ Polynévrite
◦ Paralysie oculaire et faciale
◦ Délire
◦ Crises d’épilepsie
◦ Insuffisance respiratoire
• Antidépresseurs tricycliques :
◦ Effets anticholinergiques
◦ Effets sur le SNC
◦ Effets cardiovasculaires
◦ Dépression respiratoire
◦ Hypotension
◦ Choc
◦ Vomissements
◦ Hyperpyrexie
◦ Mydriase
◦ Diaphorèse
Symptômes d’intoxication alimentaire
• Diarrhée sanglante
• Diarrhée durant plus de 3 jours
• Fièvre supérieure à 39 °C
• Vomissements si fréquents que vous ne pouvez pas garder de liquides.
• Signes de déshydratation
Je ne sais pas si vous l’avez remarqué, mais sur cette liste, les éruptions cutanées figurent sous la rubrique « Bromures ». Que sont les bromures ? Voilà :
Les bromures sont utilisés comme additifs alimentaires dans divers produits, notamment :
• Pain : Le bromate de potassium est un additif courant dans la pâte à pain pour améliorer sa texture et son volume. Cependant, il a été lié à des problèmes de santé, y compris le cancer chez les animaux, et a été interdit dans de nombreux pays.
• Farine : Certaines farines commerciales peuvent contenir de la farine bromée, qui peut contenir du bromate de potassium ou d’autres composés bromés.
• Croustilles3 à grignoter : En 2007, un lot de croustilles à grignoter importées des États-Unis a été rappelé en Chine en raison de la présence de bromate de potassium, un additif alimentaire interdit.
• Aliments transformés : L’huile végétale bromée (BVO) est utilisée dans certains aliments transformés, tels que les boissons et les bonbons, pour stabiliser les arômes et empêcher la séparation.
• Produits laitiers : Les bromures peuvent être trouvés dans les produits laitiers comme les soupes crémeuses, la crème glacée et les sauces au fromage, ainsi que dans les mélanges de boissons et les vitamines.
Les amis, la nourriture est empoisonnée. Nous mangeons et buvons du poison et tombons malades, c’est aussi simple que cela. Mais aujourd’hui, nous ne dépendons plus d’un seul agriculteur pour nous fournir notre fromage, alors d’où vient la nourriture ?
Aux États-Unis, nous avons trois grands fabricants de produits alimentaires :
Archer Daniels Midland (ADM), « un leader mondial de la nutrition humaine et animale et la première société d’origine et de transformation agricole au monde », qui s’est targué d’un chiffre d’affaires incroyable de 85,3 milliards de dollars en 2021. ADM est spécialisée dans le sirop de maïs et le sirop de maïs à haute teneur en fructose, le soja, les céréales (farine blanche), les huiles de graines, les « suppléments » et les aliments pour animaux de compagnie. Elle possède plus de 800 usines de transformation, 330 usines de fabrication d’aliments et d’ingrédients et 450 cultures. Cette entreprise fabrique les ingrédients utilisés dans la production d’aliments transformés, qui représentent aujourd’hui la grande majorité de l’offre alimentaire, et tous ces ingrédients sont connus pour leurs effets néfastes sur la santé.
Vient ensuite PepsiCo avec ses 74,5 milliards de dollars de chiffre d’affaires en 2021. Voici quelques-unes des installations appartenant à PepsiCo dans les environs de ma ville natale de Détroit :
Cette entreprise propose des milliers de produits, Pepsi et Mountain Dew en tête :
Rien qu’aux États-Unis, Pepsi détient plus de 25 % de l’ensemble du marché des sodas et ses célèbres Pepsi et Mountain Dew sont les boissons non alcoolisées les plus prisées, mais aussi de purs poisons. Le contenu d’un Pepsi comprend :
- 4— Méthylimidazole (4-MEI) : Un sous-produit de la coloration du caramel, qui a été lié au cancer. Pepsi a d’abord refusé de le retirer, mais après que la Californie l’a ajouté à la liste des produits chimiques connus pour causer le cancer, la société a modifié son processus de fabrication pour réduire les niveaux de 4-MEI.
- Sirop de maïs à haute teneur en fructose (HFCS) : Un édulcorant lié à l’obésité, à l’hypertension artérielle, aux maladies cardiaques, au cancer, au diabète et à d’autres problèmes de santé. Bien que Pepsi prétende qu’il est sans danger, de nombreux experts le considèrent comme un ingrédient toxique.
- Acide phosphorique : Un composant de la coloration au caramel qui peut contribuer à l’acidité et potentiellement nuire à l’émail des dents et à la santé digestive.
- Caféine : Bien qu’elle ne soit pas intrinsèquement toxique, une consommation excessive de caféine peut entraîner des troubles du sommeil, une augmentation du rythme cardiaque, de l’anxiété et d’autres problèmes.
- Colorants et arômes artificiels : Certains produits Pepsi contiennent des colorants et des arômes artificiels qui peuvent être liés à l’hyperactivité, aux allergies et à d’autres problèmes de santé.
- Huile végétale bromée (BVO) : Bien que Pepsi ait retiré le BVO de Gatorade en 2013, certaines sources suggèrent qu’il pourrait encore être présent dans d’autres produits Pepsi.
Le BVO a été associé à des problèmes de thyroïde, à des problèmes de reproduction et à d’autres problèmes de santé.
Huile végétale bromée ? Si vous prenez un Pepsi et un bagel pour le déjeuner, vous doublez votre consommation de bromures responsables d’éruptions cutanées. Savez-vous combien de personnes souffrent aujourd’hui d’eczéma ? Les chiffres sont choquants…
Aux États-Unis, environ 10 % des adultes et jusqu’à 30 % des enfants souffrent d’eczéma. Par ailleurs, une enquête réalisée en 2023 a révélé qu’environ 25 % des personnes interrogées aux États-Unis consomment quotidiennement des sodas ou des boissons énergisantes, tandis que 76 % d’entre elles mangent du pain blanc. Quel est le pourcentage de personnes souffrant d’éruptions cutanées dont elles n’arrivent pas à se débarrasser qui consomment des quantités massives de bromures ?
Tyson Foods arrive en troisième position sur la liste des plus grands producteurs de denrées alimentaires, avec un chiffre d’affaires de 47,0 milliards de dollars en 2021. Permettez-moi de vous parler de Tyson :
Une enquête récente sur Tyson a révélé que cinq de ses plus grandes usines du Nebraska étaient responsables du déversement de plus de 111 millions de livres de polluants, y compris des nitrates, de l’azote, du phosphore, du chlorure, de l’huile et du cyanure dans les cours d’eau en seulement quatre ans (2018-2022).
L’entreprise a également été accusée de déverser des produits chimiques toxiques dans les lacs et les rivières des États-Unis, ses 41 abattoirs et usines de transformation ayant rejeté plus de 370 millions de livres de produits chimiques en cinq ans.
En 2013, « Tyson a payé près de 4 millions de dollars d’amendes en raison de huit incidents distincts survenus entre 2006 et 2010, au cours desquels elle a libéré de l’ammoniac anhydre, une substance dangereuse qui provoque des brûlures de type chimique, tuant au moins un travailleur et en blessant près d’une douzaine d’autres ».… toutes ces horribles toxines, y compris le cyanure, sont celles qu’utilise le producteur de denrées alimentaires. Nous paniquons lorsque nous découvrons qu’il est déversé dans les cours d’eau… puis nous le mangeons ?
Les trois autres plus grands producteurs de denrées alimentaires sont General Mills, Nestlé et Hormel, qui fabriquent tous des déchets toxiques. La majorité des ingrédients contenus dans ces produits sont GRAS (Generally Recognized as Safe — Généralement reconnus comme sûrs), ce qui signifie également Sometimes Recognized as Not Safe (parfois reconnus comme non sûrs), c’est-à-dire qu’ils n’ont pas été testés.
Revenons au début de cet article : comment les virus se sont-ils rapidement répandus dans des villes entières ? La ville ne dépendait que de quelques sources de nourriture et l’approvisionnement alimentaire était empoisonné. Aujourd’hui, nous avons l’impression d’avoir de nombreuses sources d’approvisionnement en nourriture, mais la majorité des ingrédients bruts proviennent tous des mêmes entreprises. Le degré de maladie et les symptômes manifestés par votre corps dépendent de ce que vous consommez, de la quantité que vous consommez, de la fréquence de consommation et de votre état de santé général.
Comme le dit le vieil adage, vous êtes ce que vous mangez. Si vous consommez des conservateurs, qui sont conçus pour éliminer l’humidité, empêcher la croissance de micro-organismes, y compris les bactéries, modifier l’acidité et détruire les protéines, votre corps ne peut pas fonctionner. Ajoutez-y du poison et vous faites tourner la roue de la maladie.
En fin de compte, tout cela n’est que du poison, quel que soit le nom qu’on lui donne. Si nous devons parler de grippe et non d’empoisonnement, c’est parce que quelqu’un est responsable de l’empoisonnement et que cette personne ou cette entreprise peut être poursuivie, mais personne n’est responsable des virus invisibles qui se cachent sur chaque poignée de porte et chaque balustrade, attendant de sauter sur nos doigts et de se frayer un chemin jusqu’à notre bouche.
[NDT à ces empoisonnements chimiques s’ajoutent une quantité sans cesse croissante d’ondes électromagnétiques artificielles dont les effets sur la santé peuvent être similaires et aussi variés, comme on peut encore le voir dans le dossier 5G et ondes pulsées du site nouveau-monde.ca (tant qu’il reste en ligne).]