La numérisation de la société : Entre rêve et réalité – Philippe Bobola et Pierre Chaillot
Source : lemediaen442.fr – 16 octobre 2024 – Yoann
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Philippe Bobola, docteur en physique, biologiste, anthropologue et psychanalyste, et Pierre Chaillot, statisticien, analysent les contours du monde virtuel que certains aimeraient voir advenir. Ils abordent la vision des globalistes et du World Economic Forum, qui rêvent d’un individu standard tendant vers le robot, où traçabilité et déterminisme sont les objectifs. Les chiffres et les statistiques sont utilisés pour standardiser et contrôler la société, mais qui définit la norme en matière de santé, de bonheur ou de liberté ?
La vision des globalistes
Les globalistes et le World Economic Forum envisagent un monde où l’individu est réduit à une variable mathématique, standardisé et contrôlé. La traçabilité et le déterminisme sont les maîtres mots de cette vision, où tout doit être normé et quantifié. Cette approche a été particulièrement visible durant la crise Covid, où les gouvernements ont utilisé la peur pour faire adhérer les populations à un monde virtuel et binaire, déconnecté du réel.
La réduction de l’humain à des chiffres
La médecine moderne a créé des normes inférieures et supérieures, réduisant l’individu à des chiffres et des nombres. Cette approche, qui a commencé avec la médecine, s’étend désormais à d’autres domaines de la société. Les statistiques et les algorithmes sont utilisés pour mettre toute la société dans des cases, industrialiser les processus et créer des normes quantifiables. Mais cette vision oublie que l’humain n’est pas réductible à une simple variable mathématique.
La peur et la virtualisation de la réalité
Pendant la crise Covid, les gouvernements ont utilisé la peur pour faire entrer les populations dans un monde virtuel. Les chiffres et les statistiques ont été utilisés pour instiller cette peur, créant une déconnexion avec la réalité. Les citoyens ont été poussés à croire le narratif plutôt que leur bon sens, adhérant à un consensus basé sur des chiffres plutôt que sur l’expérience réelle. Cette virtualisation de la réalité a conduit à une société binaire, où la liberté et la réalité sont remplacées par des algorithmes et des normes imposées.
Lisons ou relisons « La Crise du Monde Moderne » (1927/1946) et « Le Règne de la Quantité et les Signes des Temps » (1945) de René Guénon.