L’arme atomique est-elle légitime ? François et Léon XIV contre Pie XII
Source : medias-presse.info – 9 aout 2025 – Louis Fletrenchard
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La Rome conciliaire contre l’arme atomique
Léon XIV a déclaré le 14 juillet 2025 :
« Les armes nucléaires sont une atteinte à notre humanité commune et trahissent également la dignité de la création, dont nous sommes appelés à préserver l’harmonie. » (Message à l’occasion du 80è anniversaire des bombardements atomiques, 14 juillet 2025 )
Ce faisant, il n’a rien innové, car François avait déjà parlé de l’arme atomique comme immorale :
« Et pourtant, un sain réalisme ne cesse de diffuser dans notre monde désordonné la lumière de l’espérance. Récemment par exemple, à travers un vote historique au siège de l’onu, la majorité des membres de la communauté internationale a établi que les armes nucléaires ne sont pas seulement immorales, mais qu’elles doivent être également considérées comme un instrument de guerre illégitime. » (Discours aux participants au symposium international organisé par le dicastère pour le Service du développement humain intégral, sur le désarmement, 10 novembre 2017)
« Je désire redire avec conviction que l’utilisation de l’énergie atomique à des fins militaires est aujourd’hui plus que jamais un crime, non seulement contre l’homme et sa dignité, mais aussi contre toute possibilité d’avenir dans notre maison commune. L’utilisation de l’énergie atomique à des fins militaires est immorale de même que la possession des armes atomiques, comme je l’avais déjà dit il y a deux ans. » (Message pour la Rencontre pour la paix au Mémorial de la Paix à Hiroshima, 24 novembre 2019)
« A Nagasaki, cela a été celle du martyre: j’ai vu un peu le musée — en passant — du martyre; mais l’expérience d’Hiroshima a été très émouvante. Et là, j’ai répété que l’usage des armes nucléaires est immoral — cela doit être inséré dans le Catéchisme de l’Eglise catholique — et non seulement l’usage, mais aussi la possession, parce qu’un accident [à cause] de la possession, ou de la [folie] d’un gouvernant, la folie d’un seul peut détruire l’humanité. Pensons à ce qu’a dit Einstein: “La quatrième guerre mondiale se mènera avec des bâtons et avec des pierres”. » (Conférence de presse au cours du vol de retour du Japon, 26 novembre 2019)
« Le Saint-Siège est convaincu qu’un monde exempt d’armes nucléaires est à la fois nécessaire et possible. Dans un système de sécurité collective, il n’y a pas de place pour les armes nucléaires et autres armes de destruction massive. […]
Je voudrais réaffirmer ici que l’utilisation d’armes nucléaires, ainsi que leur simple possession, est immorale. Essayer de défendre et d’assurer la stabilité et la paix à travers un faux sentiment de sécurité et un “équilibre de la terreur”, soutenus par une mentalité de peur et de méfiance, finit inévitablement par empoisonner les relations entre les peuples et entraver toute forme possible de véritable dialogue. Leur possession conduit facilement à des menaces d’utilisation, devenant une sorte de « chantage » qui devrait être aberrant pour la conscience de l’humanité. […]
La possession conduit facilement à des menaces d’utilisation, devenant une sorte de chantage. Dans un système de sécurité collective, il n’y a pas de place pour les armes nucléaires et autres armes de destruction massive » (Message adressé à l’ambassadeur Alexander KMENTT, président de la première rencontre des États membres du Traité sur l’interdiction des armes nucléaires, 21 juin 2022)
Lors de sa Conférence de presse pendant le vol de retour du Canada, le 29 juillet 2022, François dut répondre à une question sur un assouplissement de la doctrine de l’Eglise à propos de la contraception. Au lieu de donner la seule réponse catholique possible, à savoir un “Non !” ferme et définitif, il noya le poisson dans ce qui ressemble fort à une préparation du terrain pour une future trahison officielle de la doctrine de la l’Eglise sur le sujet. Il y fit entre autres cette déclaration :
« Mais beaucoup de choses sont en jeu. Pensez par exemple aux armes atomiques: aujourd’hui, j’ai officiellement déclaré que l’utilisation et la possession d’armes atomiques sont immorales. Pensez à la peine de mort: avant, la peine de mort, oui… Aujourd’hui, je peux dire que nous sommes proches de l’immoralité parce que la conscience morale s’est bien développée… » (https://www.vatican.va/content/francesco/fr/speeches/2022/july/documents/20220729-voloritorno-canada.html)
« Je réaffirme ici que l’utilisation de l’énergie atomique à des fins de guerre est, aujourd’hui plus que jamais, un crime non seulement contre l’homme et sa dignité, mais contre toute possibilité d’avenir dans notre maison commune. #Paix #DésarmementNucléaire #TempsdelaCréation » (Tweet du 26 septembre 2022, pour la Journée internationale pour l’élimination totale des armes nucléaires)
« Venons-en au concret. Aujourd’hui, posséder des bombes atomiques est un péché ; la peine de mort est un péché, elle ne peut être pratiquée, et ce n’était pas le cas auparavant ; quant à l’esclavage, certains Papes avant moi l’ont toléré, mais les choses sont différentes aujourd’hui. Donc on change, on change, mais avec ces critères. J’aime utiliser l’image « vers le haut », c’est-à-dire ut annis consolidetur, dilatetur tempore, sublimetur aetate. Toujours sur ce chemin, à partir de la racine, avec une sève qui monte peu à peu, et c’est pour cela que le changement est nécessaire. » (Rencontre avec les Jésuites du Portugal le 5 août 2023, lors de son voyage apostolique au Portugal à l’occasion des Journées Mondiales de la Jeunesse)
Notons qu’il valide déplorablement l’idée fausse d’après laquelle des Papes auraient toléré l’esclavage (pour en savoir plus : cliquer ici).
Qu’en penser ?
S’il est évident que l’arme atomique est terrible dans ses conséquences et que son usage doit être minimal après avoir tout mit en oeuvre pour l’éviter, cette opposition de principe est fondée sur la fausse notion conciliaire de la dignité humaine, qui hypertrophie cette dernière au détriment du bien commun, et surtout, cela s’oppose au Magistère de Pie XII (et même de Jean-Paul II !).
Nous renvoyons à l’analyse qu’en fait Monsieur l’abbé Bernard de LACOSTE-LAREYMONDIE dans ces deux articles :
Nous mentionnerons ici deux sentences de Pie XII affirmant la légitimité de l’utilisation de l’arme atomique, sous certaines conditions :
« Ce que Nous venons de développer vaut tout d’abord de la guerre A.B.C., atomique, biologique, chimique. La question de savoir si elle peut devenir simplement nécessaire pour se défendre contre une guerre A.B.C., qu’il Nous suffise de l’avoir posée ici. La réponse se déduira des mêmes principes, qui sont décisifs aujourd’hui pour permettre la guerre en général. […]
Ce que Nous avons dit montre la direction dans laquelle on trouvera la réponse à cette autre question : le médecin peut-il mettre sa science et son activité au service de la guerre A.B.C. ? L’« injustice », il ne peut jamais la soutenir, même au service de son propre pays ; et lorsque ce type de guerre constitue une injustice, le médecin ne peut y collaborer. » (Discours au 16è congrès de médecine militaire, 19 octobre 1953 – Morale et Droit dans la pratique de la Médecine)
Ce sont donc les mêmes principes qui déterminent la légitimité de l’usage de l’arme atomique que ceux qui déterminent la légitimité de la guerre.
Or, la guerre peut être légitime, donc l’usage de l’arme atomique peut l’être aussi. De plus, Pie XII conclut son propos en disant « lorsque ce type de guerre constitue une injustice, le médecin ne peut y collaborer », donc lorsqu’elle n’en constitue pas, le médecin peut y collaborer.
« La guerre totale moderne, la guerre A. B. C. en particulier, est-elle permise en principe ? Il ne peut subsister aucun doute, en particulier à cause des horreurs et des immenses souffrances provoquées par la guerre moderne, que déclencher celle-ci sans juste motif (c’est-à-dire, sans qu’elle soit imposée par une injustice évidente et extrêmement grave, autrement inévitable), constitue un délit digne des sanctions nationales et internationales les plus sévères. L’on ne peut même pas en principe poser la question de licéité de la guerre atomique, chimique et bactériologique, sinon dans le cas où elle doit être jugée indispensable pour se défendre dans les conditions indiquées. Même alors cependant il faut s’efforcer par tous les moyens de l’éviter grâce à des ententes internationales ou de poser à son utilisation des limites assez nettes et étroites pour que ses effets toutefois restent bornés aux exigences strictes de la défense. Quand la mise en œuvre de ce moyen entraîne une extension telle du mal qu’il échappe entièrement au contrôle de l’homme, son utilisation doit être rejetée comme immorale. Ici il ne s’agirait plus de défense contre l’injustice et de la sauvegarde nécessaire de possessions légitimes, mais de l’annihilation pure et simple de toute vie humaine à l’intérieur du rayon d’action. Cela n’est permis à aucun titre. » (Discours à la 8e assemblée de l’Association Médicale Mondiale, 30 septembre 1954 – La guerre, la morale médicale)
Les choses sont donc claires : l’arme atomique ne « constitue un délit digne des sanctions nationales et internationales les plus sévères » que lorsque celle-ci est « déclenchée sans juste motif », donc il peut exister de juste motif pour l’utiliser, par exemple dans « le cas où elle doit être jugée indispensable pour se défendre ». De plus, « son utilisation doit être rejetée comme immorale » si « la mise en œuvre de ce moyen entraîne une extension telle du mal qu’il échappe entièrement au contrôle de l’homme », car alors « il ne s’agirait plus de défense contre l’injustice et de la sauvegarde nécessaire de possessions légitimes, mais de l’annihilation pure et simple de toute vie humaine à l’intérieur du rayon d’action », il n’est donc pas immoral de l’utiliser dans une autre configuration.
Nous pouvons même ajouter, à titre d’argument ad hominem, cette déclaration de Jean-Paul II, considéré comme saint par l’église conciliaire (ce qui constitue pour elle une contradiction structurelle d’autant plus grave) :
« Dans les conditions actuelles, une dissuasion basée sur l’équilibre, non certes comme une fin en soi mais comme une étape sur la voie d’un désarmement progressif, peut encore être jugée comme moralement acceptable » (Message pour la 2e session extraordinaire de l’assemblée générale des nations unies sur le désarmement le 7 juin 1982, n°8)
Jean-Paul II parle de quelque chose qui « peut encore être jugée comme moralement acceptable », donc qui pourrait devenir extrinsèquement immoral du fait des circonstances.
Pie XII aurait été d’accord avec cela (d’ailleurs il délimite clairement les conditions d’usage de l’arme atomique et a appelé plusieurs fois à leur disparition), et cela ne correspond pas à la position de François et Léon XIV qui affirment, eux, que
« Les armes nucléaires sont une atteinte à notre humanité commune et trahissent également la dignité de la création », « que les armes nucléaires ne sont pas seulement immorales, mais qu’elles doivent être également considérées comme un instrument de guerre illégitime », « que l’utilisation de l’énergie atomique à des fins militaires est aujourd’hui plus que jamais un crime, non seulement contre l’homme et sa dignité », « que l’utilisation de l’énergie atomique à des fins de guerre est, aujourd’hui plus que jamais, un crime non seulement contre l’homme et sa dignité, mais contre toute possibilité d’avenir dans notre maison commune ».
Si François et Léon XIV avaient raison, alors il aurait été impossible que Pie XII enseigne qu’il pouvait être moral d’utiliser l’arme atomique, même dans certaines conditions, car tout cela traduit une immoralité non extrinsèque mais intrinsèque.
« L’arme atomique est-elle légitime ? »
Pour répondre à cette question, rappelons ceci :
Robert Charroux, dans son livre « L’énigme des Andes », au paragraphe intitulé « La conjuration de Pugwash », rappelle que « Le plus coupable des criminels de guerre fut sans doute Albert Einstein qui convainquit les présidents des USA Roosevelt et Truman de faire usage de la puissance nucléaire contre le Japon et, au besoin, contre l’Allemagne. ».
Harry Truman, cet ancien vice-président devenu président des USA après le décès de Franklin Roosevelt en avril 1945, est celui qui ordonna la pulvérisation d’Hiroshima par une bombe à l’uranium le 6 août 1945, et qui, exultant à l’annonce du résultat, s’exclama : « This is the greatest thing in history ! ». Ce « psychopathe » récidiva trois jours plus tard sur Nagasaki, avec une bombe au plutonium « pour comparer ».
On sait aujourd’hui que ce double « feu nucléaire » contre les japonais n’obéissait à aucune nécessité militaire, puisque Tokyo et 66 autres villes japonaises avaient déjà été réduites en cendres sous un déluge de bombes incendiaires, et que l’empereur Hirohito avait accepté le principe de la capitulation.
De plus, faisons remarquer que, en plus d’avoir ravagé les pays d’un point de vue archéologique, les deux premières Guerres mondiales viseront principalement les Chrétiens : d’une part, en les faisant s’entretuer avec efficacité par dizaines de millions ; d’autre part, en les atomisant à Hiroshima et Nagasaki, les deux seules villes catholiques du Japon ; ce sont les flèches de la cathédrale Urakami Tenshudo à Nagasaki, centre le plus important de la communauté catholique japonaise, qui ont été prises comme point de repère par les pilotes du B-29 pour larguer la bombe « Fat Man ».
Revenons un instant Harry Truman pour dire qu’il était une sorte de « docteur Frankenstein » qui, après avoir déclenché la terreur nucléaire, enfanta la monstrueuse CIA.
Rappelons que Harry Truman est aussi le « zélote », ou disons plutôt zélé président américain, qui soutint et reconnut l’État d’Israël à peine dix minutes après sa proclamation, le 15 mai 1948.
NB : À propos de la Deuxième guerre mondiale (WW2)
Elle aurait été créée de toutes pièces en manipulant les divergences d’opinions régnant, cette fois-ci, entre les nationalistes allemands et les sionistes politiquement engagés ; la destruction du nazisme aurait conduit à augmenter le pouvoir du sionisme politique et permettre l’établissement, en Palestine, d’un État souverain d’Israël, devenu depuis une source ininterrompue et grandissante d’hostilités dans la région, ainsi que l’éventuel détonateur d’un futur conflit mondial.
Rappelons que ce sont des divergences suscitées entre l’Empire Britannique et l’Empire Allemand qui donneront le « coup d’envoi » de WW1, dan le but de détruire le régime Tsariste et permettre l’avènement du communisme.
Notons que le Communisme de Marx est une « image-miroir » du nazisme hitlérien : tous deux ont été créés par le cartel des banques centrales, et tous deux sont socialistes. La seule différence est que l’un exalte la race tandis que l’autre met en avant la classe sociale. On retrouve là, le mode opératoire habituel si caractéristique chez les globalistes : la subtile « gestion des contraires ».
Cette seconde guerre mondiale (nouvelle hécatombe en vies humaines, bientôt suivie d’une immigration de masse en Europe qui en effacera progressivement le visage et peut-être l’histoire) aurait également permis à la Russie d’étendre sa zone d’influence, en particulier grâce à la constitution d’une « Internationale Communiste ». De plus, selon la progression du Plan, en devenant (soi-disant) le « pire ennemi » du monde « libre », à l’Ouest, « l’épouvantail Communiste » (URSS), à l’Est, obligerait les peuples Occidentaux (dans une prétendue « Guerre Froide » et la hantise d’un nouveau conflit mondial encore plus dévastateur que le précédent) à accepter la création d’alliances globalistes supranationales qui n’auraient pas pu voir le jour sans cela, du moins jamais aussi rapidement et surement, telles que l’OTAN et, surtout, l’ONU, véritable « Cheval de Troie » des mondialistes et autre versant du sinistre « Projet Manhattan », plus subtil mais tout aussi meurtrier : jamais il n’y a eu plus de haine et de conflits entre les pays que depuis que l’ONU existe (Rappelons avec Carroll Quigley, ancien professeur d’histoire à Princeton et à Harvard, que c’est l’Union Soviétique qui a insisté pour que le Quartier Général des Nations Unies soit établi aux États-Unis. Rappelons encore qu’au lendemain de la révolution bolchevique, la « Standard Oil of New Jersey », propriété des Rockefeller, achetait 50% des gigantesques gisements pétrolifères du Caucase, bien qu’ils fussent officiellement propriété d’Etat. Aussi, est-ce une coïncidence si le terrain sur lequel est construit l’ONU a été donné par les Rockefeller ? Ajoutons à tout cela que c’est Alger Hiss, membre du CFR, qui écrivit la plus grande partie de la Charte des Nations Unies, et qui fut le premier Secrétaire Général de l’ONU pendant la première session tenue à San Francisco en juin 1945. Alger Hiss était un espion Soviétique, reconnu parjure. Il fut compromis dans une « affaire » d’espionnage en faveur de l’U.R.S.S. qui, le 22 janvier 1950, lui coûta cinq ans de prison.).
Cette rivalité (de façade) inaugurée en août 1945 avec le double crime « atomique » contre l’humanité commis par le gouvernement étasunien (véritable démonstration de force des « Illuminati » destinée à faire de la menace nucléaire l’instrument d’un nouvel ordre du monde fondé sur la terreur), entretenue avec la complicité des soviétiques et leur premier essai atomique au plutonium en août 1949 (qui marque le début d’une nouvelle « course à l’armement »), devait surtout avoir pour but de provoquer un regain de vitalité du commerce (voire du trafic) international des armes, et tout ce que cela implique : trafics de drogue, blanchiment d’argent sale, corruption, instabilité internationale, insécurité généralisée, explosion du marché de la « sécurité intérieur », développement des technologies « Big Brother » axées principalement sur le « contrôle des foules », etc., et ce pour le plus grand profit des « puissances d’argent » (banquiers internationaux et multinationales) dont le fonds de commerce est principalement la PEUR (obstacle majeur à la Spiritualité).
Rappelons qu’une société harmonieuse doit être dominée par des êtres de spiritualité. Ceux-ci constituent la seule véritable élite car une société « normale », traditionnelle, doit se fonder sur le spirituel, comme c’était le cas, par exemple, dans beaucoup de villages Afghans avant l’invasion soviétique. Aussi, selon des spécialistes de la lutte anti-drogue, cette dernière est passée, en Afghanistan, de 200 tonnes avant la guerre, à 500 tonnes en 1985 et à 800 tonnes en 1988. Notons que l’Afghanistan, « malgré » la présence de l’ONU (ou « à cause », cela dépend du point de vue), a réalisé un tour de force en 2017, en multipliant encore par deux sa production de pavot : de 4800 tonnes en 2016 à 9000 tonnes l’année suivante (même les zones qui jusque-là étaient épargnées ont vu fleurir cette plante). Notons que dans ce « domaine » un « placement » de 1200 € génère 200 000 € de bénéfices (d’après la commission anti-mafia 2006-2008). Les liens intimes qui unissent le trafic de drogue et celui des armes peut donner, en partie, une idée du « pourquoi » et du « comment » les clans mondialistes (autrement dit « Mafieux ») colonisent et tentent de s’approprier le monde.