Vaccins pédiatriques: les non-vaccinés en nettement meilleure santé! Le responsable de l’étude ne s’y attendait pas…
Source : essentiel.news – 22 octobre 2025
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À voir absolument. Cette étude menée par Markus Zervos, le responsable d’un géant de la santé aux États-Unis, a confirmé ce que beaucoup soupçonnaient déjà: les enfants vaccinés développent nettement plus de problèmes neurologiques et de maladies auto-immunes. Autrement dit: l’impact de la vaccination sur la santé est tout simplement négatif…
L’auteur refuse de la publier pour ne pas ruiner sa carrière, mais le réalisateur Del Bigtree, fondateur de l’association ICAN, a introduit le document par la voie officielle pour exiger un débat au Sénat.
D’une révélation à l’autre
Del Bigtree est un journaliste professionnel spécialisé dans le domaine de la santé. Après avoir animé pendant 10 ans « The doctors », l’une des émissions santé les plus populaires du pays, il avait accepté de co-réaliser « Vaxxed: de la dissimulation à la catastrophe » en 2016, un acte qui devint un épisode de non-retour dans sa carrière.
Sans doute l’un des films les plus censurés de l’histoire, Vaxxed a porté à l’écran les confessions d’un scientifique du CDC (Centers for Disease Control and Prevention, Centre américain de prévention et de contrôle des maladies) sur la manière dont on l’avait poussé à falsifier l’étude sur un possible lien entre l’autisme et la vaccination. Le film a fait l’objet d’une censure sans précédent dans les salles, mais son équipe l’a porté à travers les États-Unis durant plus d’une année, de ville en ville, à la rencontre du public qui a organisé des projections privées.
Ce furent de nouvelles révélations choc: d’une part les victimes de la vaccination semblaient plus nombreuses que personne ne pouvait l’imaginer et il ne s’agissait pas que du vaccin ROR ou de l’autisme. La team de Vaxxed a recueilli plus de 10 000 témoignages de parents dévastés par des accidents vaccinaux. D’autre part, la santé des enfants non-vaccinés semblait aussi bien meilleure. Ces constats édifiants sont l’objet du film Vaxxed II qui raconte cette épopée à la rencontre des familles condamnées à souffrir en silence.
Institut prestigieux, données solides, méthodologie au top
Le nouveau documentaire « Une étude qui dérange », « An Inconvenient Study », est la suite logique de cette aventure. Face à toutes ces observations de terrain, une véritable étude scientifique devenait indispensable.
Del Bigtree et l’avocat Aaron Siri, avec lequel il dirige l’association ICAN « Informed Consent Action Network » (Réseau d’action pour le consentement éclairé) sont parvenus à convaincre le responsable du département des maladies infectieuses d’une des institutions médicales les plus prestigieuses, la Henry Ford Health System, de mener une étude à grande échelle pour comparer la santé des enfants vaccinés à celle des non-vaccinés.
Son auteur, Markus Zervos, s’est basé sur la méthodologie conçue et approuvée par les chercheurs de l’Institut National de Santé, mais que l’on n’avait jamais mise en oeuvre, puisque que les études de ce type ont toujours été bloquées au motif qu’elles sont dangereuses et contreviennent à l’éthique médicale.
Le documentaire est un choc complet! L’auteur, qui a forcé l’obligation vaccinale Covid dans son propre institut, était convaincu de démontrer l’utilité de la vaccination et de « clouer le bec aux anti-vax ». À la vue des résultats, il déchante et refuse de publier sa recherche, malgré ses promesses.
Del Bigtree filme leur conversation en caméra cachée… tout est dit!
Ce film impose de mettre la véritable question sur la table: les vaccins sont-ils utiles? Sont-ils nocifs? A quand une étude réelle sur le coût global de la vaccination en terme d’argent dépensé et de vies abîmées?
L’idée s’installe peu à peu.
Version originale en anglais et site du film
Le film a été traduit en français par Viviane Cuendet, doublage par L’Aile à Stick.
A consulter également: le livre « Vaccinés, non-vaccinés » de Robert Kennedy Jr et Brian Hooker aux éditions Marco Pietteur
Documentaire VAXXED (Vaccinés): De la dissimulation à la catastrophe:
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VAXXED II – La Vérité du Peuple:
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VAXXED III – Autorisé à tuer:
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Notre interview de Del Bigtree à Genève en juin 2024:


 
						 
						 
						
Supprimer la mémoire collective dissout la nation, laquelle fait alors place au troupeau.
Peut-être est-ce cela que cherchent les meneurs occultes du jeu, aux fins d’assurer plus facilement leur domination sur les ilotes modernes dont ils rêvent ?
« Pour le plus grand nombre d’hommes et de femmes, la rupture quasi-radicale avec rites, mythes et songes est gravement pathogène. Il me semble que le plus tragique chez l’Homme moderne est d’avoir consommé cette rupture en injectant des informations artificielles dans la mémoire génétique des nouvelles générations : ceci par la voie d’une déculturation systématique et par celle d’une suppression presque totale de la relation de l’Homme au cosmos en tant que personne vivante, mais plus encore par la voie d’une alimentation dénaturée, par un abus de toutes les chimiothérapies (des antibiotiques en particulier) et par l’accumulation des vaccinations (ces dernières empêchant l’enfant de faire les maladies nécessaires à la constitution de son immunité, donc de son identité). À tous les niveaux de réalité s’applique en effet la loi selon laquelle la vie est intégration d’un potentiel d’énergie. L’adulte conscient qui se retourne vers son orient construit son nom et acquiert sa force en réalisant ce potentiel dans ses rencontres avec l’« Adversaire » ; l’enfant, lui, construit son premier « moi » encore inconscient, en même temps que son immunité, en traversant les maladies qui, dans cette optique, le constituent physiquement et psychiquement, et en assumant les épreuves initiatiques qui devraient faire partie de son éducation. Les vaccins se situent alors dans le prolongement meurtrier de l’abolition des rites initiatiques. » (A. de Souzenelle)
NB : La légitimation officielle du projet « MK-Ultra mind control project » (projet de contrôle et manipulation mentale), inspirée d’une part par les travaux en psychiatrie du Dr Ewen Cameron (président de l’American Psychiatric Association) et, d’autre part, par les nazis, était de percer le mystère du « lavage de cerveau ». L’ancien nazi, Josef Mengele, fut l’un des cerveaux directeurs du projet aux USA. Mis en place par la CIA dans la période comprise entre 1948 et 1962, ce projet porta d’abord les noms de code « Bluebird » et « Artichoke » et concernait des expérimentations de « méthodes d’interrogatoire inhabituelles », dont le harcèlement psychologique, l’« isolement total » et l’utilisation « de drogues et de médicaments ». Autrement dit, de la « torture ». De plus, des documents datés de mai 1951 posaient aux équipes « Bluebird » les défis suivants : « Peut-on faire commettre à un homme des actes qui nous soient utiles par suggestion posthypnotique ? », et : « Un homme sous hypnose peut-il être forcé à commettre un meurtre ? ».
Rebaptisé « MK-Ultra » en 1953, ce plan tendait au contrôle de la pensée humaine, en parcourant des voies tout à fait nouvelles telles que la diffusion massive de la pornographie et de la drogue. Ce projet incluait également l’expérimentation par hypnose, électrochocs et implants d’électrodes dans le cerveau. Notons que les effets liés aux électrochocs sont, entre autres, l’effacement des souvenirs et d’une bonne partie des connaissances. Tous les aspects de la fonction mnésique seront donc gravement perturbés, voire supprimés.
Dans « MK-Ultra », le M est pour « Mind » (mental), ULTRA pour « Ultra-secret » et K pour « Kontrolle », en référence au fait que ce sont les Allemands qui ont conçu le programme, financé sous le parrainage de personnages comme John Foster Dulles, l’ancien secrétaire d’État américain, et son frère Allan, ex-directeur de la CIA congédié par le président Kennedy peu avant son assassinat… c’est ce même Allan Dulles que l’on retrouva plus tard sur la Commission Warren qui, après enquête sur « Dallas », conclura au « tireur isolé ».
Le programme « MK-Ultra » était donc une expérience de guerre chimique officielle de la CIA. C’est une expérimentation dans laquelle le LSD était fréquemment utilisé, et au cours de laquelle des êtres humains, dont beaucoup d’étudiants au sein des nombreux campus, servirent de cobayes et en moururent souvent.
Profitons-en pour rappeler que le LSD a été mis au point en 1943 par le chimiste Albert Hoffman qui travaillait alors pour la Société « Sandoz AG », maison pharmaceutique Suisse, propriété des banquiers Warburg de Londres (principaux financiers de la Révolution bolchévique, ainsi que l’un des huit principaux actionnaires de la Banque centrale américaine lors de sa création en 1913). La Société « Sandoz AG » a été absorbée en 1995 par la « Swiss Bank Corporation » ou « Société de banque suisse » (SBS) qui fusionnera à son tour avec l’« Union de Banques Suisses » en 1998 pour former l’un des premiers établissements financiers mondiaux : UBS.
« A Woodstock (aout 1969), écrit le journaliste Donald Phau dans « The Satanic Roots of Rock », presque un demi-million de jeunes se réunirent pour qu’on les drogue et qu’on leur lave le cerveau dans une ferme. Les victimes étaient isolées, entourées d’immondices, bourrées de drogues psychédéliques, et on les maintint éveillées pendant trois jours, tout ceci avec la complicité totale du FBI et de hauts fonctionnaires du gouvernement. La sécurité du concert fut fournie par une communauté hippie (truffée d’agents spéciaux) entraînée à la distribution massive de LSD (souvent mélangé à du Coca-Cola). Ce furent de nouveau les réseaux du renseignement militaire britannique qui initièrent tout ».
Le financement original du festival de Woodstock fut opéré par l’héritier d’une grande société pharmaceutique de Pennsylvanie, John Roberts, et deux autres associés dont Joel Rosenmann. Quand il est question de drogue et d’expérimentation psychiatrique, le lobby pharmaceutique n’est jamais loin.
Ainsi, une fois « ramollis », les USA étaient mûrs pour l’introduction d’autres drogues tels que la cocaïne, le crack et l’héroïne. Ce fut aussi le début d’une époque qui allait rivaliser avec la « Prohibition » et avec les énormes sommes d’argent qui commenceraient à s’amasser.
Profitons-en également pour dire que c’est en 1898, en Allemagne, dans les laboratoires Bayer, que fut mise au point l’héroïne (après la seconde guerre mondiale, une partie du cartel pharmaceutique d’IG Farben, qui se trouvait au centre de la machine de guerre d’Adolf Hitler, va revenir à Bayer). L’héroïne est un dérivé du pavot duquel provient l’opium, qui produit également la morphine ; le terme « morphine » tient son nom de Morphée, la divinité grecque qui dispense le « sommeil » aux mortels, c’est-à-dire, dans le cas présent, qui va rendre « amorphe » principalement la jeunesse, afin qu’elle ne puisse manifester sa vigueur et son potentiel. De toutes les substances tirées de l’opium, l’héroïne est celle qui entraîne la plus forte dépendance. Le nom « héroïne » provient du mot « héroïque » du fait que ses inventeurs étaient considérés comme des héros aux yeux des « puissances infernales », autrement dit des « puissances d’argent » qui mènent le monde, en raison du pouvoir immense de manipulation et de destruction dont elles allaient nouvellement bénéficier. Depuis longtemps, et plus que toute autre solution, le recours aux Stupéfiants (y compris les antidépresseurs et autres médicaments psychotropes, poisons « légitimes » du lobby pharmaceutique) est l’arme privilégiée des « meneurs occultes » pour saper les Sociétés et accroître leur mainmise sur le pouvoir.
Cela doit sérieusement nous interroger sur la volonté et l’insistance qu’émettent certaines élites ces derniers temps, au sujet de la dépénalisation de l’usage personnel des stupéfiants, sous prétexte, entre autres, de combattre la toxicomanie. En effet, derrière ces immenses tragédies se profile un lobby qui semble disposer de moyens colossaux, qui est présent dans tous les pays et qui vise, à travers l’activisme de ses médias complices, ainsi que de ses « experts » et autres marionnettes politiciennes, à modifier la législation en obtenant la dépénalisation des drogues dites « légères », les substances dérivées du cannabis comme la marijuana et le haschisch, et en en minimisant les effets, passage indispensable à créer les futurs consommateurs de drogues « lourdes ». On répand ainsi la conviction qu’une loi doive et puisse seulement réglementer le « droit » des personnes, en particulier des jeunes, à essayer la « légère » ivresse narcotique de ces substances, bien différente, on tend à le souligner, par une fausse symétrie, de celle des drogues « lourdes », qui engendrent des altérations dramatiques du comportement, accompagnées de graves violations de l’ordre public. Une approche réellement scientifique démontre au contraire que le jeune qui s’approche occasionnellement des drogues même « légères » est exposé à devenir très vite consommateur habituel de drogues aussi bien lourdes que légères, entraînant des malaises très graves et progressifs, tels que par exemple la réactivation d’états latents de schizophrénie ou des atteintes plus ou moins étendues aux facultés cérébrales.
Dans un discours prononcé en 1961 lors d’une conférence à la California Medical School de San Francisco, Aldous Huxley disait : « Il y aura dès la prochaine génération une méthode pharmaceutique pour faire aimer aux gens leur propre servitude, et créer une dictature sans larmes, pour ainsi dire, en réalisant des camps de concentration sans douleur pour des sociétés entières, de sorte que les gens se verront privés de leurs libertés, mais en ressentiront plutôt du plaisir. ».
LIEN : https://livresdefemmeslivresdeverites.blogspot.com/2017/07/introduction-livres-de-femmes.html