Dossier : De la France-Afrique à l’Israël-Afrique

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La récente élection présidentielle togolaise du 22 février 2020 a été, une fois de plus, l’occasion d’un déni de démocratie flagrant. Un déni qui n’aurait jamais pu apparaître accepté sur la scène internationale sans la neutralité bienveillante de la France qui a refusé, à nouveau, toute remise en cause de la dynastie en place, malgré d’évidentes manipulations des résultats électoraux toujours contestés aujourd’hui. Un rappel historique s’impose d’abord pour mieux appréhender ce contexte singulier.

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Description

Claude Timmerman est ancien conseiller à la présidence du Togo pour les questions environnementales, et ancien chargé de mission du Ministre du Développement Rural togolais.

Togo, pays au pouvoir confisqué

Une dictature de 60 ans installée et poursuivie avec la bénédiction de la France

La récente élection présidentielle togolaise du 22 février 2020 a été, une fois de plus, l’occasion d’un déni de démocratie flagrant, cette fois-ci dénoncé même par les Etats-Unis, avant que l’épidémie de Covid ne submerge l’actualité tant en Europe qu’en Amérique faisant disparaître des médias – dès le début mars – toute autre préoccupation. Un déni qui n’aurait jamais pu apparaître accepté sur la scène internationale sans la neutralité bienveillante de la France qui a refusé, à nouveau, toute remise en cause de la dynastie en place, malgré d’évidentes manipulations des résultats électoraux toujours contestés aujourd’hui. Un rappel historique s’impose d’abord pour mieux appréhender ce contexte singulier.

Dossier de 75 pages et 4 annexes.