Charles Péguy et le « système de la retraite » – Nicolas Bonnal
« Je tremble, je le confesse, qu’ils ne se laissent enfin si bien posséder par un lâche amour des
jouissances présentes, que l’intérêt de leur propre avenir et de celui de leurs descendants
disparaisse, et qu’ils aiment mieux suivre mollement le cours de leur destinée, que de faire au
besoin un soudain et énergique effort pour le redresser. »