Lula: L’un des plus grands traîtres de l’histoire récente du Brésil?
Source : mondialisation.ca – 23 février 2023 – Peter Koenig
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Peter Koenig est un analyste géopolitique et un ancien économiste à la Banque mondiale et à l’Organisation mondiale de la santé (OMS), où il a travaillé pendant plus de 30 ans dans le monde entier. Il donne des conférences dans des universités aux États-Unis, en Europe et en Amérique du Sud. Il écrit régulièrement pour des revues en ligne et est l’auteur de Implosion – An Economic Thriller about War, Environmental Destruction and Corporate Greed ; et co-auteur du livre de Cynthia McKinney « When China Sneezes : From the Coronavirus Lockdown to the Global Politico-Economic Crisis » (Clarity Press – 1er novembre 2020).
Luiz Inácio Lula da Silva, connu simplement sous le nom de Lula, est le 39e et actuel président du Brésil. Il représente le Parti des travailleurs (PT). Lula a déjà effectué deux mandats présidentiels, de 2003 à 2010.
Lula est au pouvoir depuis moins de deux mois et a et a déjà annoncé sa véritable couleur : il est totalement soumis et contrôlé par le Forum économique mondial (FEM [WEF en anglais]), par Washington, par l’OMS et par Bill Gates, l’un des principaux bailleurs de fonds de l’OMS et créateur de GAVI.
Pour votre information, GAVI, également appelée Alliance pour les vaccins, est l’alliée la plus proche de l’OMS, un soi-disant partenariat public-privé enregistré à Genève en tant qu’ONG exonérée d’impôts et bénéficiant d’une immunité diplomatique TOTALE. Oui, personne ne peut poursuivre GAVI, même pour les fraudes et les crimes les plus horribles qu’elle pourrait commettre, ou qu’elle a déjà commis.
Voilà ce qu’est GAVI en tant que société : Les représentants de la Fédération internationale de l’industrie du médicament (FIIM :International Federation of Pharmaceutical Manufacturers & Associations) ont un siège au conseil d’administration de GAVI. La FIIM représente plus de 55 membres d’associations industrielles nationales, dont Johnson & Johnson, GlaxoSmithKline, Merck & Co., Novartis, Sanofi Pasteur, la division vaccins de Sanofi-Aventis et Pfizer. Pour en savoir plus sur GAVI, cliquez ici.
Il y a quelques jours, Lula a déclaré que pour que les familles restent éligibles au fameux programme Bolsa Familia (BFP), un programme social destiné aux familles les plus pauvres, elles devaient faire vacciner leurs enfants – et il a fait spécifiquement référence au « Vaccin Covid » – sinon les familles concernées perdraient leurs avantages.
Les transferts du BFP sont assortis de conditions en matière de santé et d’éducation. Les bénéficiaires ayant des enfants de moins de 7 ans doivent veiller à ce que ces derniers reçoivent les onze vaccins figurant dans le calendrier de vaccination brésilien. Le « vaccin Covid » est inclus dans le programme de vaccination obligatoire des enfants. Lula a notamment insisté sur le fait que la « vaccination Covid » est une condition pour rester dans le PAB.
En d’autres termes, soit vous injectez à vos enfants cette injection d’ARNm toxique et potentiellement mortelle, soit vous mourrez de faim.
Lula, en tant que représentant du Parti des travailleurs, s’est présenté à la présidence sous la bannière socialiste et il a « gagné » en tant que socialiste. La question est de savoir s’il a vraiment gagné. Lula a obtenu 50,8 % des voix, contre 49,2 % pour le président sortant Jair Bolsonaro.
Une marge aussi étroite aurait normalement plus que justifié un recomptage des voix. Mais le « système politique », ceux qui ont le dernier mot sur la nouvelle présidence du Brésil (Washington, le FEM, l’OMS, Gates – et toutes ces méga-puissances financières invisibles qui dirigent ces institutions exécutantes, ceux qui ont un intérêt vital dans le Brésil et ses vastes ressources, y compris la richesse de la forêt tropicale brésilienne) ne veulent pas un recomptage. Lula est leur « protégé ».
Bolsonaro a été « mis en garde » contre toute tentative de faire un coup d’État. L’ancien président est un ancien militaire de haut rang et il avait le soutien de l’armée.
Le BFP a été lancé pendant la première présidence de Lula (2002-2006), en fusionnant des programmes sociaux existants dans le programme Bolsa Familia. On attribue à Lula le mérite d’avoir sorti quelque 20 millions de Brésiliens de la pauvreté grâce à ce programme et à d’autres initiatives de réforme sociale. Déjà dans le cadre du premier BFP, la scolarisation obligatoire des enfants et la vaccination étaient des critères d’éligibilité au BFP. Cependant, à cette époque, il n’y avait pas d’ARNm toxique et potentiellement mortel « covid vaxx » sur le marché.
Au cours de sa présidence 2019 – 2022, Jair Bolsonaro a amélioré le BFP et l’a transformé pour en faire le « Auxilio Brasil » – Programme d’assistance au Brésil. Auxilio Brasil comprenait un ajustement permanent à la hausse de 20 % [coût de la vie], par rapport au montant versé par la Bolsa Família. Il avait également supprimé la conditionnalité de la vaccination .
Durant la crise Covid en 2020, une grande partie de la population brésilienne aurait bénéficié du programme « Auxilio Brazil » [56% de la population était éligible au programme] – voir ceci – et est devenu le programme de lutte contre la pauvreté « le plus efficace » d’Amérique latine, dépassant même le programme de prestations sociales mexicain, jusqu’alors le plus applaudi, en touchant quelque 25% des familles mexicaines.
Avec le retour de Lula, son programme Bolsa Familia a été remis à l’ordre du jour. Cette fois, avec des conditionnalités encore strictes, dictées par l’OMS – et bien sûr, la Fondation Gates – fortement soutenue par le Forum économique mondial et l’administration Biden. En fait, le premier voyage à l’étranger de Lula en tant que « nouvel » ancien président a eu lieu à Washington DC, où on a pu le voir dans un certain nombre de séances de photos avec Biden. Rien que cela en dit long.
La position sévère de Lula sur la « vaccination Covid » des enfants est peut-être aussi liée à la déclaration du 9 février 2023 des Centers for Disease Control and Prevention (CDC) aux États-Unis, qui ajoutent officiellement les vaccins COVID-19 à leurs programmes de vaccination recommandés pour les enfants et les adolescents.
Il est extrêmement inquiétant que les enfants puissent désormais être soumis à ces « recommandations » qui pourraient facilement se transformer en des mandats de vaccination Covid dans les écoles à l’échelle internationale (voire le Brésil), malgré les risques et dangers liés au « vaccin Covid », notamment des myocardites, des crises cardiaques, des caillots sanguins, des convulsions et même des morts subites chez les enfants.
Voir ceci : Children’s Health Defense.
Et le bulldozer continue de se déployer, bien que Pfizer et d’autres sociétés pharmaceutiques aient reconnu que le vaccin expérimental ne prévient pas la « covidopathie », qu’il n’empêche pas sa propagation et qu’il peut avoir de graves effets secondaires.
Il n’y a aucun doute sur qui mène la barque au Brésil.
Il en sera sans doute de même pour l’économie brésilienne : Wall Street, la Banque mondiale et le FMI seront aux commandes.
Déjà pendant les deux premières présidences de Lula, Wall Street prenait les principales décisions affectant l’économie brésilienne, au point que le FMI louait Lula comme un « bon élève », qui pourrait devenir un excellent exemple pour le reste de l’Amérique latine.
Aujourd’hui, la situation est beaucoup plus grave, car la vie des enfants est en jeu. Ce nouveau président, que j’appelle « pseudo-élu », vient peut-être de devenir l’un des traîtres les plus flagrants de la population brésilienne, en particulier des enfants brésiliens – les générations futures. Et cela pourrait avoir un impact au-delà des frontières brésiliennes.
Ce que vous dites est très possible, bien que personnellement je croie que l’oligarchie mondialiste sait se satisfaire aussi bien de la droite néo-libérale pro-Pinochet et ultra-sioniste de Bolsonaro que de la gauche corrompue sud-américaine qui n’est pas sans rappeler celle des anciens pays de l’Est. La manie de vouloir inoculer obligatoirement sous peine de privation de droits citoyens des vaccins à toute une population est une habitude ancienne au point d’être proverbiale au sein de la gauche française (qui a toujours rendu un culte religieux à Pasteur imposé aux enfants de la petite école alors que ce dernier avait mis au point un produit peu sûr et très dangereux responsable de plus de morts que la rage elle-même : le vaccin dit pasteurien n’est devenu efficace et sans danger que 50 ans plus tard grâce à des efforts pragmatiques canadiens ; l’école et l’armée française ont souvent pris un plaisir sadique à obliger tout le monde à des injections ne convenant pas à tous).
La gauche Franco-soviétique est allée encore plus loin. Il est encore trop tôt pour juger Lula de manière unilatérale mais il faut reconnaître que tout comme Allende à une autre époque il est extrêmement mal entouré par des gens qui se servent du prétexte de la misère du peuple pour justifier une dictature mondiale que de gens attachés à réduire les inégalités, ce à quoi malheureusement une lecture trop facile de Marx encourage bel et bien : le pari sur l’augmentation du paupérisme pour en faire le vivier des révolutions totalitaires à venir. Si Lula va jusqu’à commettre des actes de trahison dignes de ceux de Tsipras durant la crise grecque il faut s’attendre au Brésil à une guerre civile de type espagnole et à la mise en place d’un Franco voire d’une restauration impériale.
Mon observation personnelle des effets du vaccin Pfizer m’a fait conclure qu’il s’agit d’un médicament (dangereux) PSYCHIATRIQUE de masse avec des effets voulus et adverses assez semblables à ceux d’un neuroleptique à large spectre comme le Largactyl. De plus comble de coïncidence ce médicament psychiatrique dont la prise à long terme diminue la qualité de la vie comme la longévité (tout comme d’ailleurs aussi la malaria et la résistance que cette maladie développe :il faut vivre dans des pays tropicaux infestés où tout le monde pense et marche d’un pas paresseux pour cohabiter avec le miasme) elle-même procure une immunité remarquable contre les effets du covid.
Excellent mais trop tard. Bravo à Escobar.