L’Ukraine, l’épicentre d’un futur métissage

Par Anatoly Livry

Quand l’on diagnostique une maladie mortelle, l’on ne se fait pas que des amis dans la famille du futur défunt. L’Occident a fait un choix suicidaire et il est impossible de l’en détourner car il fait tout pour périr, ainsi que je le démontre dans ma dernière interview en langue française avec Piero San Giorgio :

« Métissage des Slaves en Ukraine (Anatoly Livry avec Piero San Giorgio) » :  

Cet entretien s’inscrit dans le sillage de trois séminaires que j’ai délivrés en russe au cours des dernières années et dans le cadre desquels je montre comment, à chaque fois que les détenteurs d’un pouvoir national entrent en conflit avec ceux qui portent la mort civique, ils cèdent finalement à cette tendance sinistre, espérant que les générations suivantes, par amour de leurs pères, camperont au moins sur leurs positions et ne subiront pas le désastre qu’ils ont pourtant contribué à instaurer avec leurs contemporains de gauche. Et ainsi va la dégringolade – chaque génération d’Occidentaux creusant en fait, bien qu’elle s’en défende, un peu plus la tombe de la prochaine.  Mon analyse, pessimiste mais juste, est imparable : quand la majorité d’un peuple concentre ses efforts uniquement vers la satisfaction de ses trois besoins primitifs que sont la reproduction, l’accumulation de ressources et la domination et cherche à faire disparaître ce qui fait de l’homme un homme, à savoir la violence dirigée contre lui-même en vue de son perfectionnement, ce peuple est destiné à être effacé.

Une fois une nation jadis grande, comme la France, contaminée par la culture de mort, elle s’unit avec d’autres malades incurables vivant sous la perfusion de leurs aïeuls qui, eux, étaient animés par un grand destin et avaient donc créé des infrastructures pour leur progéniture. N’ayant comme unique perspective que leur tombeau, ils joignent leurs dernières forces pour exporter vers des ethnies plus saines leur virus mortifère. Ainsi la conclusion de ma récente interview en français est que non seulement les Occidentaux sont condamnés, tout comme leurs enfants et petits-enfants, à être exterminés et ne peuvent rien contre leur disparition prochaine, mais aussi qu’ils font périr par l’abrutissement, la perversité, la pauvreté, la guerre et par conséquent le métissage la seule ethnie européenne qui était encore indemne, à savoir les Slaves et particulièrement ceux de l’Est.

Dr Anatoly Livry, Altdorf, Suisse