Effet secondaire d’un vaccin ? Les données d’un assureur maladie suisse révèlent une augmentation de 73 % du nombre de personnes recevant un traitement contre le cancer à partir de 2020

Source : infowars.com – 28 décembre 2023 – Olivia Cook

https://www.infowars.com/posts/vaccine-side-effect-swiss-health-insurers-data-shows-73-increase-in-people-receiving-cancer-treatment-since-2020/

Traduction : Strategika

Abonnez-vous au canal Telegram Strategika pour ne rien rater de notre actualité

Pour nous soutenir commandez les livres Strategika : “Globalisme et dépopulation” , « La guerre des USA contre l’Europe » et « Société ouverte contre Eurasie »

Les données de la grande compagnie suisse d’assurance maladie Helsana ont montré qu’en 2021, le nombre de patients recevant des traitements contre le cancer a augmenté de 73 % par rapport à 2020. Cette tendance s’est poursuivie en 2022.

Il n’est pas surprenant qu’elle ait coïncidé avec le déploiement des vaccins contre le coronavirus Wuhan (COVID-19) en Suisse, qui a débuté en décembre 2020.

« Nous avons un doublement des cas de cancer », conclut Konstantin Beck, économiste de la santé à l’Université de Lucerne, après avoir analysé les données de l’Office fédéral de la statistique (BfS) et le rapport Helsana sur les médicaments de 2022.

Quel était l’état de santé de la Suisse en 2020 ?

Dans une présentation vidéo, M. Beck a répondu à la question « Quelle était la santé de la population Suisse en 2020 ? », en s’appuyant sur le rapport Helsana 2022 et sur les chiffres de l’enquête « officielle » sur la santé publiée par le BfS le 3 novembre dernier.

La vidéo commence par rappeler que l’enquête de santé du BfS est réalisée tous les cinq ans. L’économiste de la santé commente : « Ce qui est surprenant, c’est que les statistiques publiées par le BfS dans sa base de données avec des informations détaillées sur l’enquête de santé des citoyens suisses ont été supprimées quelques jours après leur publication. »

Avant que les données ne soient publiées, le BfS a fait la déclaration suivante concernant son enquête sur la santé 2022 : « En 2022, 85 % de la population suisse âgée de 15 ans et plus se sentent en bonne santé et 83 % se sentent heureux. Dans le même temps, plus d’un tiers vit avec un problème de santé permanent. Le stress psychologique a augmenté par rapport à 2017. La tranche d’âge des 15 à 24 ans est particulièrement touchée, notamment les jeunes femmes. »

Cependant, cette évaluation du BfS ne correspond pas aux données qu’il a publiées. (Voir aussi : Les données des assurances confirment une forte augmentation des « morts subites » suite au déploiement de la jab COVID).

Les résultats supprimés de l’enquête sur la santé étaient des réponses à la question « Avez-vous déjà eu l’une des maladies ou l’un des problèmes de santé suivants au cours de votre vie ? », les crises cardiaques, les accidents vasculaires cérébraux et les cancers étant inclus dans la liste des maladies. Un décompte des réponses a montré que

• 170 000 personnes ont déclaré avoir eu une crise cardiaque – contre 33 339 en 2017 (soit une augmentation de plus de 19 %).

- 124 515 personnes ont déclaré avoir eu un accident vasculaire cérébral - contre 27 584 en 2017 (soit une augmentation de plus de 22 %).

- 344 166 personnes ont déclaré avoir un cancer - contre 116 603 en 2017 (soit une augmentation de près de 34 %).

Beck a calculé que, sur la base des statistiques du BfS expurgées, les cas en 2022 auraient « augmenté d’un facteur de quatre à cinq », même si le vieillissement et l’immigration étaient pris en compte et soustraits des données.

Le BfS a également apporté un changement notable à la question de son enquête sur la santé, ce qui soulève encore plus de soupçons. En 2017, on demandait aux participants s’ils avaient eu une crise cardiaque, un accident vasculaire cérébral ou un cancer l’année précédente, mais l’enquête de 2022 demande aux participants s’ils ont eu l’une ou l’autre de ces maladies au cours de leur vie.

Compte tenu de la question, M. Beck a fait remarquer que les chiffres de 2022 seraient logiquement plus élevés. Mais il s’est demandé pourquoi le BfS avait jugé bon de comparer des données récentes avec des données datant de cinq ans, avant de supprimer la comparaison incorrecte après avoir publié une déclaration contradictoire.

Pour en avoir le cœur net, M. Beck a utilisé le rapport Helsana sur les drogues afin de procéder à une comparaison correcte. Publié chaque année en Suisse, le Helsana Drug Report « analyse le marché pharmaceutique suisse et fournit des indications sur le coût et la consommation des médicaments ». Ses données pour l’année 2022 ont été publiées le 30 novembre 2023.

En s’appuyant sur les données d’Helsana, Beck est parvenu à un tableau montrant qu’en 2020, le nombre de patients cancéreux traités était supérieur de 9 % à la tendance établie à partir des données de 2013 à 2019. Cette différence est passée à 95 % en 2021 et à 106 % en 2022, ce qui a amené M. Beck à se demander si les vaccins COVID n’y étaient pas pour quelque chose.

L’augmentation des cas de cancer en 2020 étant très faible, Beck a estimé que la pandémie ne pouvait pas être à l’origine de l’augmentation massive du nombre de cas au cours des années suivantes. Seule la campagne de vaccination COVID de la Suisse a coïncidé avec l’augmentation soudaine des cas de cancer au sein de la population suisse.

La BfS a-t-elle tenté de dissimuler les lésions causées par le vaccin COVID-19 ?

Suite à la publication de ses statistiques de santé pour 2022, le BfS a justifié son action en déclarant simplement que « les enquêtes de 2017 et 2022 ne sont pas comparables ».

Selon M. Beck, ce simple aveu sans autre explication « ne contribue pas à renforcer la confiance dans le BfS », car les chiffres « pourraient refléter les effets négatifs des vaccinations contre le coronavirus. Et cela ne donne pas une bonne impression si le bureau publie d’abord de telles données et les supprime ensuite ».

« Si vous commettez une erreur aussi grave, il serait souhaitable qu’elle soit mieux communiquée », a déclaré M. Beck.

La vidéo de Beck, dans laquelle il explique son analyse, a été publiée en allemand et n’était pas sous-titrée en anglais. Transition News a toutefois publié un article sur la vidéo de Beck, également en allemand, mais qui peut être traduit en anglais à l’aide d’un outil de traduction en ligne.

Visitez VaccineDamage.news pour plus d’informations sur les dangers des vaccins COVID-19.