Chers amis, C’est avec une joie teintée d’une certaine fierté que je voulais partager avec vous une bonne nouvelle. J’ai récemment enquêté sur les manifestations de masse qui secouent la Serbie, ce pays victime d’une guerre menée par l’OTAN en 1999 pour lui arracher le berceau de son identité : le Kosovo. Peut-être le savez-vous ? J’ai passé de nombreuses années à couvrir la vie des malheureux chrétiens serbes du Kosovo, persécutés et menacés de mort par les albanais islamistes. Vaille que vaille, les derniers chrétiens de cette région résistent, avec l’aide de Belgrade notamment, pour ne pas disparaître. Actuellement, la Serbie est clairement la cible d’une autre forme de guerre, de basse intensité, mais une guerre tout de même. J’ai réussi, à force d’heures passées à décrypter la presse anglo-saxonne et grâce à mes contacts sur place, à reconstituer l’histoire de ces manifestations. Je suis venu à Radio Courtoisie pour exposer le résultat de ce travail le 7 mars au matin. Et nos révélations, ainsi que notre analyse, au micro de Ligne droite, ont eu un tel impact que nous avons fini par faire la « une » de Informer, le plus grand quotidien serbe !
Qu’ai-je dit, dans cet entretien ? Des choses que l’on pouvait déjà supposer. Et, avant même de lire ces lignes, sans doute l’aviez-vous déjà deviné… Mais vous le savez : c’est une chose de supposer, de soupçonner, de deviner, mais l’on a vite fait de vous accuser de complotisme, de délire idéologique et de balayer vos dires.
CE QU’IL FAUT, C’EST PROUVER !
Revenons-en deux mots sur l’affaire. Le 1ᵉʳ novembre 2024, l’auvent fraichement construit de la gare de Novi Sad, une ville à 80 km de Belgrade, s’est effondré, faisant quinze morts. Le drame serait lié à un défaut de construction pouvant résulter d’un marché frauduleux. Des milliers d’étudiants ont aussitôt manifesté pour réclamer justice et dénoncer des problèmes réels de corruption… C’est une jeunesse patriote, voire identitaire, qui manifeste avec, comme objectif, une profonde volonté de changement. La démission du premier ministre Milos Vucevic, annoncée mardi 28 janvier, n’a pas suffit à apaiser la colère. Parmi les mots d’ordre de ceux qui défilent contre le président Vucic, l’on entend : « Nous ne sommes plus seuls ». Et de fait… Les manifestants ne sont pas seuls.En remontant toute cette affaire, en décortiquant la presse étrangère, en récoltant des informations sur ces manifestations, en les recoupant à la source, j’ai pu faire la liste de toutes les ONG présentes aux côtés des manifestants. Et puis creuser, creuser, jusqu’à découvrir les liens discrètement ou ouvertement établis entre ces organisations et l’Open Society du milliardaire gauchiste George Soros. En pointe de l’opposition, se trouve la très controversée Amnesty International, qui a lancé une campagne de communication accusant le gouvernement serbe d’espionner l’opposition et la presse à l’aide du logiciel Cellebrite, fourni par Israël. Coup double pour l’ONG, qui apporte un soutien douteux au Hamas, aux frères musulmans et divers groupes islamistes. Mais qui est aussi, comme annoncé sur son propre site Internet, liée à l’Open Society. L’avantage de ces ONG, c’est qu’elles annoncent souvent, au détour d’une petite ligne dans un rapport d’activité, ou dans la liste des financements, l’origine de leurs financements, par exemple une Fondation ou une organisation quelconque… En remontant cette organisation coupe-feu, on trouve, en sources ouvertes, sans besoin de recourir à des histoires de services secrets, un autre lien qui établit sa connexion avec la galaxie Soros. Souvent, il s’agit d’une émanation directe. Ou de la présence d’un dirigeant de l’Open Society dans le conseil d’administration… Tout est disponible à condition d’y passer le temps. Et c’est ce que nous avons fait pour vous !
S’affichant ouvertement au cœur des manifestations, on trouve une foule d’associations gauchistes, par exemple l’Initiative des Jeunes pour les Droits de l’Homme, le CRTA (Centre pour la Recherche, la Transparence et la Responsabilité), le Comité d’Helsinki pour les Droits de l’Homme, Initiatives Citoyennes, l’Association des Journalistes Indépendants de Serbie (sic), le Mouvement Européen en Serbie, le Centre de Recherche Judiciaire (CEPRIS)…
TOUS SONT LIÉS A LA NÉBULEUSE SOROS
Parmi les soutiens de ces organisations, on retrouve aussi l’Union européenne, l’OSCE, le ministère allemand des Affaires étrangères et diverses ambassades européennes. L’Open Society Foundation soutient la quasi-totalité des ONG et mouvements structurant les manifestations. Tel est aussi le cas de l’Agence américaine pour le développement international (USAID) dont Elon Musk vient de geler l’activité. Le milliardaire américain a notamment dénoncé un soutien de plusieurs millions d’euros aux groupes LGBT en… Serbie. Des médias comme RFI, Euronews, Le Grand Continent ou le quotidien anglais The Guardian ont illustré le rôle clé joué par ces ONG dans l’organisation des manifestations en Serbie. Là encore, pas de complot : seulement des lectures approfondies. Imaginez : d’un côté, dans la presse de gauche, ces ONG se vantent de coordonner les actions, mobiliser via les réseaux sociaux, organiser des formations sur la désobéissance civile et les techniques d’agitation, d’offrir une assistance médicale et juridique ou de fournir un soutien logistique qui a permis d’inscrire le mouvement dans la durée ; et de l’autre, elles accusent de complotisme ceux qui, à droite, les dénoncent.
MAIS CETTE FOIS, LES LIENS SONT ÉTABLIS ET PROUVÉS !
D’où le succès de notre enquête, jusqu’en Serbie ! Des amis me disent que nos révélations sont déjà passées à la télévision et qu’elles ébranlent une partie des manifestants ou leurs parents. Après tout, qui aimerait savoir que ses enfants sont manipulés par des puissances extérieures ? Une chose est sûre, ces révélations, cette influence prise, nous les devons à nos auditeurs militants. À tous ceux qui, régulièrement, nous soutiennent par leur générosité. Autrement dit, c’est à vous que nous devons cette victoire ! Un immense merci. Si vous voulez comprendre les causes de la déstabilisation de la Serbie par les forces de Soros, regardez l’émission entière ici. Si cette victoire vous stimule, si vous aussi, vous pensez qu’il faut sans cesse contre-attaquer pour faire reculer nos ennemis, alors n’hésitez pas et soutenez-nous par un don ! Ces enquêtes prennent beaucoup de temps et demandent des moyens que vous seuls pouvez nous procurer.
Tant que vous nous aiderez, vous pouvez compter sur nous pour mener le combat. Par avance merci !
P.-S. : N’oubliez pas : vos dons sont défiscalisables à hauteur de 66% : un don de 100 euros ne revient en fait qu’à 34 ! Aidez-nous à combattre Soros et ses vassaux, aidez-nous à défendre les nôtres : faites un don maintenant !
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