Cocaïne : la France bascule dans l’ère du « tsunami blanc »

Source : breizh-info.com – 9decembre 2025

https://www.breizh-info.com/2025/12/09/254568/cocaine-la-france-bascule-dans-lere-du-tsunami-blanc/

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Pour la première fois en France, la cocaïne génère un chiffre d’affaires supérieur à celui du cannabis. Une bascule historique révélée par l’OFDT, qui pointe l’explosion du marché des drogues dures, l’impuissance publique, et la transformation silencieuse du visage de la toxicomanie.

C’est une révolution souterraine, mais aux conséquences ravageuses. Selon une étude publiée fin 2025 par l’Observatoire français des drogues et des tendances addictives (OFDT), le marché de la cocaïne en France est désormais plus lucratif que celui du cannabis : 3,1 milliards d’euros dépensés en 2023, contre 2,7 milliards pour le cannabis. En tout, le marché des drogues illicites atteint un chiffre d’affaires de 6,8 milliards d’euros, soit trois fois plus qu’en 2010.

Ce basculement, qui propulse la cocaïne en tête du podium des drogues consommées en valeur, est la conséquence d’une dynamique entamée depuis plus d’une décennie. D’après les auteurs de l’étude (Christian Ben Lakhdar et Sophie Massin, université de Lille), la consommation de psychostimulants a explosé, tirée par des prix attractifs, une pureté en hausse, une logistique améliorée et une demande croissante – y compris en milieu festif, professionnel ou estudiantin.

Une drogue de plus en plus accessible

Contrairement à l’image de la cocaïne réservée aux élites, son accès s’est démocratisé. Les routes d’approvisionnement, par les ports du nord de l’Europe, d’Espagne ou les hubs logistiques français, assurent une disponibilité constante. Loin d’être une drogue de luxe, la cocaïne est devenue un produit de consommation banalisé, vendu dans les cités, les clubs ou sur les réseaux sociaux. Le conditionnement et le marketing ont suivi : sachets élégants, livraison à domicile, emballages colorés.

Résultat : une progression de +244 % en valeur entre 2010 et 2023, selon l’OFDT. Et une diffusion de plus en plus large, y compris chez des publics plus âgés. L’âge médian des consommateurs de cocaïne mis en cause par la police est désormais de 31 ans, contre 24 ans pour le cannabis. L’usage récréatif cède la place à une consommation régulière, presque sociale.

Des chiffres qui masquent la violence

Loin des clichés, le trafic de cocaïne ne s’est pas substitué à celui du cannabis : il s’y ajoute. Et avec lui, son cortège de violences. Dans plusieurs départements, notamment en Île-de-France et sur le pourtour méditerranéen, les saisies et les affaires liées à la cocaïne explosent. En Guyane, le nombre de mis en cause pour trafic dépasse les 300 pour 100 000 habitants. Le rapport du ministère de l’Intérieur du 3 décembre 2025 note une hausse annuelle de 14 % des mis en cause pour trafic de cocaïne, contre seulement 4 % pour le cannabis.

Le cercle est vicieux : plus la cocaïne rapporte, plus les narcotrafiquants investissent, innovent, purifient et baissent les prix. L’étude note aussi une augmentation inquiétante du marché des drogues de synthèse : +637 % pour l’ecstasy-MDMA, +470 % pour les amphétamines entre 2010 et 2023. La logique industrielle s’impose au marché de la mort.

Un marché qui prospère sur l’effondrement étatique

Face à cette déferlante, les réponses de l’État paraissent dérisoires. Les politiques de réduction des risques, les campagnes molles de prévention et les opérations ponctuelles dans les quartiers sensibles peinent à enrayer une mécanique devenue globale, industrielle, internationalisée.

Le marché du cannabis, en légère stagnation depuis 2017, laisse place aux psychostimulants. L’étude Tendances souligne que la consommation chez les jeunes recule… pour mieux être remplacée par d’autres produits. La résine a laissé place à l’herbe, puis à l’ecstasy et à la cocaïne, voire au crack, en hausse de +44 % depuis 2017.

C’est un effondrement moral doublé d’un aveu d’impuissance. Dans un pays où l’État régule tout, mais ne maîtrise plus rien, les cartels dictent leur loi. L’économie parallèle prospère, les caïds s’enrichissent, les banlieues s’arment, pendant que les discours officiels sur la « santé publique » masquent mal le renoncement sécuritaire.

L’étude le reconnaît elle-même : les chiffres sont encore sous-estimés, faute de données complètes. La réalité, probablement plus sombre, appelle à une réponse politique et régalienne, pas uniquement sanitaire. La pacification ne viendra pas des sociologues mais de l’ordre, de la guerre contre les narcos, mais aussi d’une réflexion quasi sociétale sur l’explosion des consommations de stupéfiants, d’anti-dépresseurs, d’alcool, et donc d’un malaise généralisé propre à notre société.

Pour le reste, il faudra un sursaut de volonté et de courage, enraciné dans la défense de notre civilisation, de nos frontières, de notre peuple. Tant que les cartels ne craindront pas d’être physiquement éliminés, tant qu’ils auront pignon sur rue, tant que les jeunes seront livrés à eux-mêmes dans des zones de non-droit, la poudre continuera de recouvrir ce qu’il reste de notre société.

2 pensées sur “Cocaïne : la France bascule dans l’ère du « tsunami blanc »

  • 12 décembre 2025 à 20 h 19 min
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    LA DROGUE EN « COL BLANC »
    Quelques extraits de l’ouvrage de Yann Moncomble intitulé « Le pouvoir de la drogue dans la politique mondiale » :
    Le 20 février 1988, la police espagnole arrêtait au cours d’une rafle anti-drogue à la sortie d’un pub de Benidorm (Espagne), Jean-Paul Etienne Pasqua, neveu du ministre de l’Intérieur français (de l’époque) Charles Pasqua. Il portait sur son abdomen et ses jambes, accrochés avec du sparadrap, près de 2 kilos de haschisch. L’incident a donné lieu pendant le week-end à un contact téléphonique entre le ministre français et son homologue espagnol. Excipant de son illustre parenté, Jean-Paul Pasqua aurait tenté de se débarrasser des quatre policiers qui l’avaient appréhendé en leur proposant une somme de 5 000 francs. À l’époque, l’affaire devait être examinée par le tribunal d’Alicante. Mais à l’issue du contact téléphonique, plus de nouvelles. (En ce qui concerne Charles Pasqua, nous conseillons la lecture de « D… comme drogue », d’Alain Jaubert. C’est « stupéfiant ! »)
    Le 25 juillet 1986, L’Hebdomadaire « Minute » révélait l’affaire suivante : Le 18 février 1986, une patrouille, remarquant un automobiliste en train d’effectuer une manœuvre pour échapper à un contrôle de police, le prend en chasse. L’ayant rattrapé à l’angle des rues Vergniault et Tolbiac, elle le découvre en possession d’un couteau à cran d’arrêt et de 20 grammes de résine de cannabis. Mais il y a plus grave dans son cas : il transporte également un peson, l’instrument de mesure de précision qui sert aux trafiquants à peser la drogue. En vertu de la législation en vigueur, son compte est bon ; garde à vue, mise à disposition du commissaire chef de la brigade des stupéfiants, présentation au parquet. Mais rien de tel ne se passe pour le jeune homme en question : arrêté à trois heures du matin, il sera remis en liberté à trois heures quarante. Pour une raison qui semble lumineuse : il s’appelle Michel Badinter, neveu de Robert Badinter, encore ministre de la Justice au moment des faits. Le neveu Badinter demeurant rue Wurtz, sans profession, a été libéré sans même qu’on lui ait pris sa photo ni ses empreintes digitales, contrairement aux instructions en cours actuellement. Et cela sur intervention de l’état-major de la police judiciaire et du substitut de service, qui a été réveillé pour l’occasion. La protection des pourris et des pourrisseurs étant assurée par la justice même qui devrait les poursuivre implacablement, on ne s’étonnera pas que la consommation de cocaïne fasse dans les milieux branchés des progrès effrayants.
    À ce propos, rappelons que la Première Chambre du tribunal de Paris, présidée par Jean-Michel Guth, rendait le 10 juillet 1986 un jugement condamnant L’Hebdomadaire « Minute » à verser 25000 francs de dommages et intérêts à Françoise Sagan, à la suite de la publication, en février 1986, dans deux numéros consécutifs, d’articles relatant l’interpellation par la police de trois revendeurs de drogue présentés comme ayant été les fournisseurs de l’écrivain. Rebondissement : Françoise Sagan, amie intime de François Mitterrand était, le 17 mars 1988, inculpée d’infraction à la législation sur les stupéfiants. Bonjours tristesse… Interrogée sur RTL dans la soirée, elle déclara : « Il m’est arrivé de prendre un peu de cocaïne, comme à pas mal de gens. Mais de là à me traîner devant les tribunaux, je trouve ça hallucinant. » Et en plus elle fait des jeux de mots ! Le 5 mars 1990, débute les débats devant la 6e Chambre correctionnelle de Lyon, mais avec des absents de marque à la barre : Françoise Sagan, les journalistes François Debré et Maurice Najman, l’écrivain Philippe Cardinal et Laura Travelli-Picasso, inculpés tout comme leur amie Sagan. Le fait qu’ils aient choisi de ne pas venir s’expliquer fait dire à certains avocats qu’il y aurait plusieurs justices. À la 6e Chambre du tribunal correctionnel de Lyon, on a vu souvent de petits usagers ramasser un an de prison ferme pour beaucoup moins. Enfin, dans cette « affaire Sagan », où Minute avait eu raison avant tout le monde, cette dernière avait, à l’époque, bénéficié du soutien du journal « Globe », de Georges Marc Benamou, avec la publication du Manifeste des 32, ainsi rédigé : « Puisque Françoise Sagan n’est accusée que d’un usage strictement personnel de stupéfiants, la violation du secret de l’instruction, la manipulation et les suites médiatiques qui lui sont données nous paraissent équivoques et scandaleuses. Dans ces conditions : nous sommes contre la drogue, nous sommes contre toutes les drogues. Nous sommes contre ceux qui en font commerce. Mais ‘‘coupables’’ d’avoir ou de pouvoir, un jour, fumer un joint, boire un verre de trop, ou toucher à la cocaïne, nous nous étonnons de ne pas avoir été inculpés avec elle… » Et signé par Barbara, Jean-Jacques Beineix, Pierre Bergé, le sponsor de « Globe » et de « S.O.S. Racisme », Jane Birkin, Sandrine Bonnaire, Claire Bretecher, Jean-Claude Brialy, Michel Ciment, Costa-Gavras, Régis Debray, Régine Deforges, Jacques Doillon, Arielle Dombasle, Marguerite Duras, Dominique Fernandez, Bernard Frank, Inès de la Fressange, Jean-Paul Gaultier, Jean-Paul Goude, l’inénarrable organisateur des festivités du 14 juillet 1989, Juliette Gréco, Jean-François Josselin, Jacques Laurent, de l’Académie française, Eli Médeiros, Olivier Orban, Gérard Oury, Michel Piccoli, France Roche, Sonia Rykiel, Jean-Paul Scarpitta, Philippe Sollers, Philippe Starck, Danielle Thompson, Nicole Wisniak.
    En octobre 1986, lorsque Marylin et Robert Vigouroux (maire de Marseille à l’époque) se rendirent à Panama pour parrainer la reconduction du contrat de la S.E.M. (Société des Eaux de Marseille), ils y furent reçus comme des chefs d’Etat. Une exposition sur la mode avait été organisée par Marylin Vigouroux à l’ambassade de France et le couple séjourna sur l’île privée du général Noriega. Quelque temps après, « éclatait » le scandale Noriega-trafic de drogue. Cela n’empêcha pas Robert Vigouroux de rencontrer une nouvelle fois le général Noriega lors d’une escale à Panama en 1988. Le maire de Marseille revenait du congrès de la Fédération Mondiale des Villes Jumelées (F.M.V.J.) qui s’était tenu à Lima et le protocole d’accord de jumelage entre Panama City et Marseille fut alors signé.
    À toutes fins utiles, précisons que la F.M.V.J. est une association fondée en 1957 et dotée de moyens importants pour arriver, à travers des jumelages entre diverses villes du monde, à abattre les frontières entre les nations en vue d’un « conglomérat plus vaste » ; il s’agit d’une organisation mondialiste dont les statuts, il convient de le rappeler, furent rédigés par… Robert Badinter, membre du B’nai B’rith.
    Et comment ne pas rappeler l’affaire Christina Von Opel, richissime héritière de la famille de constructeurs d’automobiles, condamnée à dix ans de prison en novembre 1979. La police avait trouvé dans sa villa de la Côte d’Azur une tonne et demie de haschisch. Peu de temps après l’arrivée des socialistes au pouvoir, Christina Von Opel bénéficiait d’une grâce présidentielle en tant que mère de famille. Il est vrai que toutes les mères de famille emprisonnées n’ont pas la chance de voir leur avocat devenir ministre de la Justice. Vous l’avez deviné : son avocat était Robert Badinter…
    Citons encore ce passage du livre de Yann Moncomble dans lequel Aldous Huxley est cité : « Au cours des années 50, le magazine Playboy corsa son ordinaire de pornographie et de science-fiction en se référant à maintes reprises à l’usage de plus en plus fréquent de drogues de « type récréatif ». Dès la sortie de son premier numéro, en 1953, cette publication d’un type assez spécial préconisa ouvertement l’utilisation de la drogue. C’est ainsi que l’article de Sir Arthur Conan Doyle, intitulé « La solution à Sept pour cent », sous forme de roman, constitua une propagande cynique en faveur de l’utilisation de la cocaïne. Le texte en question était accompagné d’une illustration en couleurs occupant une page entière du magazine et montrant Sherlock Holmes s’injectant dans le bras le contenu d’une seringue hypodermique emplie de cocaïne. Une telle publicité éhontée en faveur d’un stupéfiant est malheureusement monnaie courante en 1981 ; en 1953, elle était révolutionnaire. En 1960, la campagne commença pour de bon. Au début de la même année, Playboy publia un assez long article intitulé « Le Jazz et les drogues », qui faisait ressortir le rôle de la cocaïne, de la marijuana et de l’héroïne dans l’opulente sous-culture de la musique de jazz et de rock. En 1962, Playboy devait publier un reportage illustré du rédacteur Dan Wakefield dans lequel ce dernier vantait les effets de la marijuana et préconisait l’usage de cette substance. Avec cet article le « Forum » de Playboy fut officiellement lancé en tant que lobby avéré de la drogue aux Etats-Unis. Son numéro de novembre 1963 était presque exclusivement consacré à toute une série d’articles qui glorifiaient l’utilisation du LSD. L’un de ces articles était dû à la plume de Sir Aldous Huxley, le futurologue britannique et cadre supérieur qui avait été détaché aux Etats-Unis l’année où Playboy sortit son premier numéro, en vue de superviser le fameux projet ci-dessus. Dans ce numéro spécial sur le LSD, Playboy inaugura la carrière publique d’un autre universitaire de Harvard qui travaillait à ce projet, le Dr Timothy Leary. Un mois plus tard, la performance exceptionnelle de Huxley fut suivie d’une interview que cette revue eut avec Lord Bertrand Russell (membre de la Fabian Society), le grand manitou britannique de la drogue et du sexe. Russell donna un sérieux coup de pouce à la glorification par Huxley de l’usage de la drogue en déclarant qu’à son avis, c’était là une déclaration très sensée de nature politique. À cette occasion, rappelons qu’en 1957, Lord Bertrand Russel, dans son ouvrage « The Impact of Science Upon Society », écrivait que « lorsque les techniques de contrôle psychologique seront perfectionnées, chaque gouvernement qui sera responsable de l’éducation pendant plus d’une génération sera capable de contrôler, sans risque, ses citoyens, sans être obligé de recourir à l’armée ou à la police. ». De 1966 à 1967, Playboy publia une sorte de dialogue continuel entre le gourou du LSD Timothy Leary et Masters & Johnson, l’équipe de sexologie née dans la maison de Hugh Hefner (patron de Playboy). L’article de Leary, probablement sa contribution la plus révoltante à l’usine de propagande de Playboy en faveur de la drogue, était intitulé « Le LSD et le Sexe ». Dès 1972, le Dr Pierre Bensoussan, adepte de l’antipsychiatrie et auteur du livre « Qui sont les drogués ? » souhaite que certaines drogues, telles que la marijuana, le haschisch et le LSD ne soient plus hors-la-loi. Le Dr Bensoussan était un ami de Timothy Leary, ancien professeur à Harvard qui avait tenté de créer au cours des années 60 une « église psychédélique » Favorable aux Black Panthers… L’équipe dirigeante de Playboy a su s’entourer de personnages importants. Le codirecteur de la Playboy Foundation est un avocat de Chicago, Burton Joseph, membre de l’Anti-Defamation League (A.D.L.),une organisation non gouvernementale, fondée par le « B’nai B’rith », chargée de recueillir des informations et de la documentation sur toute expression d’antisémitisme et d’antisionisme qui nuise à ses buts, partout où cela arrive…
    NB : « A Woodstock (aout 1969), écrit le journaliste Donald Phau dans « The Satanic Roots of Rock », presque un demi-million de jeunes se réunirent pour qu’on les drogue et qu’on leur lave le cerveau dans une ferme. Les victimes étaient isolées, entourées d’immondices, bourrées de drogues psychédéliques, et on les maintint éveillées pendant trois jours, tout ceci avec la complicité totale du FBI et de hauts fonctionnaires du gouvernement. La sécurité du concert fut fournie par une communauté hippie (truffée d’agents spéciaux) entraînée à la distribution massive de LSD (souvent mélangé à du Coca-Cola). Ce furent de nouveau les réseaux du renseignement militaire britannique qui initièrent tout ».
    Le financement original du festival de Woodstock fut opéré par l’héritier d’une grande société pharmaceutique de Pennsylvanie, John Roberts, et deux autres associés dont Joel Rosenmann. Quand il est question de drogue et d’expérimentation psychiatrique, le lobby pharmaceutique n’est jamais loin.
    Ainsi, une fois « ramollis », les USA étaient mûrs pour l’introduction d’autres drogues tels que la cocaïne, le crack et l’héroïne. Ce fut aussi le début d’une époque qui allait rivaliser avec la « Prohibition » et avec les énormes sommes d’argent qui commenceraient à s’amasser.
    Cela doit sérieusement nous interroger sur la volonté et l’insistance qu’émettent certaines élites ces derniers temps, au sujet de la dépénalisation de l’usage personnel des stupéfiants, sous prétexte, entre autres, de combattre la toxicomanie. En effet, derrière ces immenses tragédies se profile un lobby qui semble disposer de moyens colossaux, qui est présent dans tous les pays et qui vise, à travers l’activisme de ses médias complices, ainsi que de ses « experts » et autres marionnettes politiciennes, à modifier la législation en obtenant la dépénalisation des drogues dites « légères », les substances dérivées du cannabis comme la marijuana et le haschisch, et en en minimisant les effets, passage indispensable à créer les futurs consommateurs de drogues « lourdes ». On répand ainsi la conviction qu’une loi doive et puisse seulement réglementer le « droit » des personnes, en particulier des jeunes, à essayer la « légère » ivresse narcotique de ces substances, bien différente, on tend à le souligner, par une fausse symétrie, de celle des drogues « lourdes », qui engendrent des altérations dramatiques du comportement, accompagnées de graves violations de l’ordre public. Une approche réellement scientifique démontre au contraire que le jeune qui s’approche occasionnellement des drogues même « légères » est exposé à devenir très vite consommateur habituel de drogues aussi bien lourdes que légères, entraînant des malaises très graves et progressifs, tels que par exemple la réactivation d’états latents de schizophrénie ou des atteintes plus ou moins étendues aux facultés cérébrales.
    Lien : https://livresdefemmeslivresdeverites.blogspot.com/2017/07/introduction-livres-de-femmes.html

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  • 12 décembre 2025 à 18 h 46 min
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    Une conséquence parmi d’autres de la décadence civilisationnelle généralisée…qui s’infiltre insidieusement, et pas uniquement par le martellement médiatique et l’école, dans toutes les têtes, si l’on n’y prend pas garde.

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