Trump, premier président américain ayant publié un message officiel pour l’Immaculée Conception

Source : medias-presse.info – 9 décembre 2025 – Pierre-Alain Depauw

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Le président américain reconnaît le rôle de Marie dans les 250 ans d’histoire des États-Unis, inclut l’intégralité du Je vous salue Marie dans son premier message présidentiel pour la fête catholique de l’Immaculée Conception et demande l’intercession de Marie pour la paix dans le monde dans un message historique.

Le président Donald Trump est entré dans l’histoire en devenant le premier président américain à prononcer un discours présidentiel officiel le jour de la fête catholique de l’Immaculée Conception, célébrée le 8 décembre.

Depuis les origines mêmes du pays, les États-Unis vouent une grande dévotion à l’Immaculée Conception ; elle est la sainte patronne de ce pays, comme de l’Espagne , et l’année prochaine marquera le 250e anniversaire de l’indépendance.

Une reconnaissance historique de la tradition catholique

Dans son message, Trump reconnaît que « depuis près de 250 ans, Marie joue un rôle unique dans la grande histoire américaine ». La déclaration présidentielle souligne la profonde dévotion que les catholiques américains et les saints américains vouent à Marie, la mère de Jésus.

Trump souligne que la fête de l’Immaculée Conception est considérée comme une « fête d’obligation » dans l’ Église catholique , ce qui signifie que les fidèles catholiques sont tenus d’assister à la messe.

Le rôle de Maria dans l’histoire américaine

Le message présidentiel retrace l’histoire de la dévotion mariale aux États-Unis, depuis l’évêque John Carroll, premier évêque catholique du pays et cousin de Charles Carroll, signataire de la Déclaration d’indépendance, qui, en 1792, consacra la jeune nation à la mère du Christ.

Trump mentionne également comment les catholiques attribuent la victoire du général Andrew Jackson sur les Britanniques lors de la bataille de La Nouvelle-Orléans à l’intercession de Marie. « Chaque année, les catholiques célèbrent une messe d’action de grâce à La Nouvelle-Orléans le 8 janvier en souvenir de l’aide de Marie qui a permis de sauver la ville », précise le communiqué.

Personnalités marquantes et héritage marial

Ce message met en lumière des figures américaines légendaires telles qu’Elizabeth Ann Seton, Frances Xavier Cabrini et Fulton Sheen, qui ont consacré leur vie à glorifier Dieu en servant les autres et ont entretenu une profonde dévotion envers Marie.

Le président évoque la basilique du Sanctuaire national de l’Immaculée Conception , située au cœur de la capitale fédérale, qui honore Marie et est la plus grande église d’Amérique du Nord. Il souligne également que près de 50 universités américaines portent le nom de Marie et que l’hymne « Ave Maria » demeure cher à d’innombrables citoyens.

Une prière pour la paix dans le monde

Dans son message, Trump fait référence à la Première Guerre mondiale, lorsque le pape Benoît XV commanda et consacra une statue de Marie, Reine de la Paix, portant l’Enfant Jésus et un rameau d’olivier, afin d’encourager les fidèles chrétiens à suivre son exemple de paix en priant pour la fin de la guerre. « Quelques mois plus tard, la Première Guerre mondiale prenait fin », rappelle le président.

« Aujourd’hui, nous nous tournons une fois de plus vers Marie pour y puiser inspiration et réconfort, tandis que nous prions pour la fin de la guerre et pour une ère nouvelle et durable de paix, de prospérité et d’harmonie en Europe et dans le monde entier », ajoute le communiqué.

Le Je vous salue Marie dans le message officiel

Dans une démarche sans précédent, Trump a inclus l’intégralité du Je vous salue Marie dans son discours présidentiel : « Je vous salue Marie, pleine de grâce, le Seigneur est avec vous. Vous êtes bénie entre toutes les femmes, et Jésus, le fruit de vos entrailles, est béni. Sainte Marie, Mère de Dieu, priez pour nous, pauvres pécheurs, maintenant et à l’heure de notre mort. Amen. »

Le message se conclut en reconnaissant « avec une profonde gratitude » le rôle de Marie « dans la promotion de la paix, de l’espoir et de l’amour en Amérique et au-delà de nos frontières », alors que les États-Unis approchent du 250e anniversaire de leur indépendance.

Message présidentiel à l’occasion de la fête de l’Immaculée Conception

Aujourd’hui, je rends hommage à tous les Américains qui célèbrent le 8 décembre comme une journée sacrée en l’honneur de la foi, de l’humilité et de l’amour de Marie, la mère de Jésus et l’une des figures les plus importantes de la Bible.

Lors de la fête de l’Immaculée Conception, les catholiques célèbrent ce qu’ils considèrent comme la libération de Marie du péché originel en tant que Mère de Dieu. Elle est entrée dans l’histoire comme une jeune femme lorsque, selon les Saintes Écritures, l’ange Gabriel l’a accueillie à Nazareth avec la nouvelle d’un miracle : « Je vous salue, pleine de grâce ! Le Seigneur est avec vous », annonçant qu’« elle concevra et enfantera un fils, et elle lui donnera le nom de Jésus ».

Dans l’un des actes les plus profonds et les plus importants de l’histoire, Marie accepta héroïquement la volonté de Dieu avec confiance et humilité : « Voici la servante du Seigneur ; qu’il me soit fait selon votre parole. » La décision de Marie changea à jamais le cours de l’humanité. Neuf mois plus tard, Dieu s’incarna lorsque Marie donna naissance à un fils, Jésus, qui offrirait sa vie sur la croix pour le rachat des péchés et le salut du monde.

Depuis près de 250 ans, Marie occupe une place prépondérante dans l’histoire américaine. En 1792, moins de dix ans après la fin de la guerre d’Indépendance, l’évêque John Carroll, premier évêque catholique des États-Unis et cousin de Charles Carroll, signataire de la Déclaration d’indépendance, consacra la jeune nation à la Vierge Marie. Moins de vingt-cinq ans plus tard, les catholiques attribuèrent à Marie la victoire éclatante du général Andrew Jackson sur les Britanniques lors de la bataille décisive de La Nouvelle-Orléans. Chaque année, le 8 janvier, les catholiques célèbrent une messe d’action de grâce à La Nouvelle-Orléans en souvenir de l’aide apportée par Marie pour sauver la ville.

À travers les siècles, des figures américaines emblématiques telles qu’Elizabeth Ann Seton, Frances Xavier Cabrini et Fulton Sheen, qui ont consacré leur vie à glorifier Dieu par le service d’autrui, ont professé une profonde dévotion à Marie. La basilique du Sanctuaire national de l’Immaculée Conception, située au cœur de la capitale des États-Unis, honore Marie comme la plus grande église d’Amérique du Nord. L’hymne intemporel « Ave Maria » demeure cher à d’innombrables Américains. Elle a inspiré la création de nombreuses églises, hôpitaux et écoles. Près de 50 universités et établissements d’enseignement supérieur américains portent le nom de Marie. Dans quelques jours, le 12 décembre, les catholiques des États-Unis et du Mexique célébreront la dévotion inébranlable à Marie, née au cœur du Mexique, où se dresse aujourd’hui la magnifique basilique Notre-Dame de Guadalupe, en 1531. À l’approche du 250e anniversaire de la glorieuse indépendance américaine, nous reconnaissons et rendons grâce, avec une profonde gratitude, pour le rôle de Marie dans la promotion de la paix, de l’espoir et de l’amour aux États-Unis et au-delà de nos frontières.

Il y a plus d’un siècle, en pleine Première Guerre mondiale, le pape Benoît XV, chef de l’Église catholique romaine, commanda et consacra une majestueuse image de Marie, Reine de la Paix, tenant l’Enfant Jésus dans ses bras et un rameau d’olivier, afin d’encourager les fidèles à suivre son exemple de paix et à prier pour la fin de l’horrible carnage. Quelques mois plus tard, la Première Guerre mondiale prenait fin. Aujourd’hui, nous nous tournons à nouveau vers Marie pour y puiser inspiration et réconfort, tandis que nous prions pour la fin de la guerre et pour une ère nouvelle et durable de paix, de prospérité et d’harmonie en Europe et dans le monde entier.

En son honneur, et en ce jour si particulier pour nos citoyens catholiques, nous nous souvenons des paroles sacrées qui ont apporté aide, réconfort et soutien à des générations de croyants américains dans les moments difficiles :

Je vous salue Marie, pleine de grâce, le Seigneur est avec vous. Vous êtes bénie entre toutes les femmes, et Jésus, le fruit de vos entrailles, est béni. Sainte Marie, Mère de Dieu, priez pour nous, pauvres pécheurs, maintenant et à l’heure de notre mort. Amen.

Une pensée sur “Trump, premier président américain ayant publié un message officiel pour l’Immaculée Conception

  • 13 décembre 2025 à 21 h 41 min
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    LE CULTE DE MARIE AU MOYEN AGE
    Les siècles qui avaient brillé du Christianisme de Johanna avaient remis en lumière la grande Myriam, et le culte de cette personnalité, entourée du prestige des choses lointaines, s’était répandu dans tout l’Orient.
    Il avait une place prépondérante dans les Mystères et devait, par cette voie, arriver jusqu’aux temps modernes.
    Les Catholiques comprirent que, pour faire accepter leur doctrine, il était indispensable d’offrir au peuple la continuation de cette légende mariale, dont on connaissait si peu l’histoire réelle qu’il était facile d’y intercaler la nouvelle légende de la Mère de Jésus devenu un Dieu sauveur. On pensa même que la Mère ferait accepter le fils, et on ne se trompait pas ; le culte de Marie se propagea facilement, et c’est elle qui, pendant tout le Moyen Age, eut dans la religion nouvelle la place prépondérante.
    En 608, le pape Boniface IV consacra le Panthéon de Rome à Marie. C’était rétablir le culte de la Femme. On lui rendait son nom antique « Notre-Dame », si peu en harmonie avec la pauvre femme de Judée de la légende évangélique, si peu Dame.
    Sans cette réintégration de la Femme dans la religion, le culte catholique eût certainement sombré. C’était une imitation lointaine du Paganisme, en laid, car la Sainte Vierge, dont le principal mérite est de ne pas être une femme comme les autres, est présentée sous un aspect qui l’enlaidit ; enveloppée de voiles, elle cache la radieuse beauté de la Femme. Son expression de douleur, sa maternité, qui prime tout, sont des conditions qui vont créer un art spécial, dont le Moyen Age va remplir les églises, la reproduction du laid, les contorsions de la souffrance comme idéal.
    C’est que le mensonge ne peut pas créer la beauté, qui restera toujours le privilège du vrai.
    L’Église n’a accepté et glorifié Marie qu’à l’époque où elle n’a plus craint de voir renaître le culte des anciennes Déesses.
    Dans les Evangiles catholiques, on a supprimé tout ce qui glorifiait la femme. Et cependant, à l’époque où on les faisait, Marie, la grande Myriam, était célébrée en maints endroits ; elle avait des temples dans les villes et des chapelles dans les campagnes, mais les Catholiques n’en parlent pas.
    Lorsque, après la conversion de Constantin, on chercha à introduire la religion nouvelle en Gaule, on comprit qu’il faudrait des siècles pour détruire le culte de la Nature (1), qui y régnait, et la glorification de Marie, l’antique Déesse égyptienne. L’Église aima mieux faire des concessions ; elle rendit un culte à Marie à cause de sa rivalité avec les Johannites, bien plus puissants qu’elle, à cette époque, malgré les persécutions. Ce fut une surenchère : l’Eglise s’appropria la Sainte et l’exalta avec exagération, tout en l’incorporant dans sa légende, pendant que les Fraternités qui, dans les Loges de saint Jean, lisaient son nom à l’envers et en faisaient « Hiram », la cachaient de plus en plus ; et c’est par cette ruse que les Catholiques ont dominé le monde et que les Johannites ont disparu.
    Rappelons que « Hiram » doit se lire de droite à gauche comme lisent les Hébreux et non de gauche à droite suivant l’usage des Européens : Hiram alors devient Myriam ou plutôt Maria. Le heth final, H, en hébreu se prononce A.
    L’Église a multiplié les temples, les fêtes, les pèlerinages et les prières, pendant que les défenseurs de la Vérité se cachaient et se taisaient.
    L’abbé Orsini nous fait remarquer « ce soin héréditaire et incessant des souverains pontifes, d’animer en mille manières la dévotion publique envers Marie ; cet empressement de toutes les nations à se mettre sous son patronage ; cette ardeur des anciens Pères, des saints de tous les siècles, des peuples entiers, à défendre ses prérogatives contre ceux qui les attaquaient. ».
    C’est que, en effet, c’est toujours quand l’homme a tort qu’il met le plus d’acharnement à répandre les doctrines par lesquelles il se justifie.
    Le culte de Marie fut une justification.
    Toutes les religions de l’antiquité ont adoré la Femme. Le Catholicisme l’avait d’abord supprimée pour lui substituer un homme. Mais, comme l’homme n’adore pas un autre homme, il en est résulté que le Catholicisme n’a été qu’une religion pour les femmes faibles, qui ont adoré le Principe mâle dans Jésus.
    Quant aux hommes qui ont voulu retrouver une satisfaction à donner à leurs aspirations religieuses, ils ont introduit dans leur religion le culte de la Vierge Marie, pour perpétuer l’antique culte de la Femme.
    Le culte de Marie se répandit plus vite que celui de Jésus, parce que Marie représentait une Déesse antique et avait un passé glorieux depuis Myriam, tandis que la légende de Jésus, avec toutes ses invraisemblances, ne pouvait être écoutée que comme une histoire sans valeur.
    Puis, dans la Gaule, déjà, on attendait la Vierge qui doit enfanter (Virgini Parituræ) ; on était donc préparé à la recevoir, mais on n’attendait pas un homme, d’autant plus qu’on voyait déjà, dans ce culte renversé des Catholiques, qui adoraient l’homme et n’adoraient pas la Femme, la cause des mauvaises mœurs qui régnaient partout et allaient prospérer.
    C’est ce renversement des facultés psychiques des sexes qu’on appelait le Satanisme.
    Donnant à l’homme la Divinité de la Femme, il y avait une apparence de logique à lui donner aussi le culte rendu à la Déesse, mais cette substitution fut grotesque et fit naître, pendant tout le Moyen Age, la querelle résumée dans l’histoire du Satanisme.
    L’Église, qui n’a jamais été qu’une société politique, n’a pas su appliquer aux besoins moraux de l’humanité les vérités profondes des lois de la Nature. Ses prêtres sont impuissants à comprendre l’antique science et le secret des Mystères.
    L’IMMACULÉE :
    Dans toutes les Écritures antiques, la Maternité est considérée comme immaculée et les Déesses-Mères sont dites Vierges-Mères.
    Ce cas n’est pas une exception, il s’applique à la généralité des femmes.
    C’est que, dès cette haute antiquité, on connut la loi du Sexe féminin (voir l’article sur la psychologie et la loi des sexes), et ce qui le prouve, c’est qu’elle est expliquée dans tous les Livres sacrés.
    Il n’est pas étonnant qu’à une époque où l’on faisait à la femme un crime de sa sexualité, on ait donné à celui dont on voulait faire un Dieu une Mère Vierge, croyant ainsi rehausser sa valeur morale. Cela prouve l’ignorance de ces hommes, qui ne savaient pas que toute femme est pure dans la conception, ainsi que l’exprimaient les quatre mots cachés sous les initiales I. N. R. I.
    La Maternité est immaculée parce que le sexe féminin ne participe pas à la chute dans le péché, et cela parce que son élément de vie n’est jamais donné à la génération ; elle le garde en elle. C’est pour cela qu’elle est l’Être en soi. Ses actes sexuels ne portent pas la vie au dehors, mais la portent en elle-même ; en remontant suivant sa polarité spéciale, elle féconde son propre esprit.
    Et c’est cela qu’indique le mot Vierge.
    Quand on parle devant des libres-penseurs de l’Immaculée-Conception, ils s’esclaffent et répondent : « Quelle bourde ! comment peut-il y avoir une conception immaculée, c’est-à-dire opérée autrement que par les procédés des modernes ? »
    Cette réponse prouve qu’ils ne connaissent pas la loi des sexes, pas plus du reste que l’évolution des langues. S’ils connaissaient cette dernière évolution, ils sauraient que le mot Vierge signifie intégrité de l’Esprit. La première religion ne s’occupait que du plan spirituel. C’est dans les religions masculinistes qu’on a mis la psychologie féminine sur le plan sexuel, et alors le mot virginité est devenu intégrité du sexe.
    La question n’est donc pas de savoir si la femme, vierge ou non, est plus ou moins sexuée, mais de savoir qu’elle est autrement sexuée, et c’est ce que toute l’antiquité théogonique savait.
    Les religions masculinistes, qui ont supprimé toutes les lois de la Nature, se sont figuré que la vie sexuelle de la Femme la rapproche du sexe masculin, alors que c’est tout le contraire, elle l’en éloigne.
    Cette question fut un sujet de dispute au Concile d’Éphèse, en 431, quand Marie fut déclarée Mère de Dieu.
    NB : Dans les Mystères de Jérusalem, ancêtres de la Franc-Maçonnerie (« Opérative »), pour faire comprendre la réaction spirituelle que la sexualité produit chez la femme, on représente l’esprit par une étoile : l’Etoile flamboyante, au milieu de laquelle se trouve la lettre « G », « ghimel » en hébreu. Cette lettre, dit René Guénon, représente le principe divin qui réside dans le « cœur » de l’homme « deux fois né ».
    Cette lettre « G » est la première du mot qui indique le sexe féminin dans une multitude de langues. Cette lettre, suivant les idiomes différents, est C, G, K, Q, X.
    Parmi les noms du sexe féminin qu’une de ces lettres commence, citons « Gunè », femme en grec, « Graal », Vase sacré (sexe) en celtique, « Qvina », femme en suédois, « Queen », reine en breton ; en sanscrit, « Ga » signifie être creux, envelopper, contenir. En annamite (aujourd’hui le Viêt Nam) et dans l’Afrique centrale, « Ghé » exprime l’idée de cavité, de vase, de récipient.
    Cette signification s’est conservée dans cette expression : Vase d’élection.
    Dans les Mystères antiques, on expliquait pourquoi elle est la super-âme, l’Un suprême appelé Guhya, ou Secret. On trouve en hébreu le mot Ghilloulim, et en latin Guttin, vase à boire.
    Quand vint la période de réaction, on altéra les mots, on changea leur signification ; quelquefois on les retournait. C’est ainsi que de Ghimel on fit « Melchi », comme de Carmel on faisait « Melkart ». Et comme les initiés étaient appelés « Tsedek », on appela les apôtres du dogme féminin « Melchi-Tsedek » (Melchissédec).
    Lien : https://livresdefemmeslivresdeverites.blogspot.com/2017/07/viergemarieetmysteredelimmaculeeconception.html

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