Le prélèvement d’organes sur les victimes des attentats de Nice « ne se justifiait pas », estime le procureur François Molins

« On a vu un médecin légiste qui reste campé sur ses positions et qui évite de répondre à certaines questions », détaille-t-elle. Elle martèle : « Je n’ai pas entendu lors de cette audience une seule justification de la nécessité du prélèvement des organes pour l’enquête ». 

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