Quand la Russie défend les blancs contre l’administration Biden…

Par Nicolas Bonnal

Né en 1961 à Tunis, Nicolas Bonnal étudie beaucoup, voyage plus encore et commence à publier en 1995 : Mitterrand le grand initié. Il publie ensuite aux belles lettres le Coq hérétique sur l’exception française, la première étude en français sur Tolkien et Internet novelle voie initiatique. Il publie aussi des romans (les territoires protocolaires) et un recueil de contes (les mirages de Huaraz) après une vacance de cinq ans en Amérique du sud. Il revient vivre en Andalousie, puis publie des livres sur le cinéma (le paganisme, Kubrick, Ridley Scott, sans oublier les westerns). Anarchiste réactionnaire,  proche des libertariens américains et des traditionalistes européens, Nicolas Bonnal  se réclame aussi du genre pamphlétaire (un livre sur Céline) et décidément antimoderne. Il a publié des textes sur une dizaine de sites dont France-courtoise.info, bvoltaire.fr, dedefensa.org, fr.sputniknews.com et pravdareport.com. Plusieurs de ses livres ont été traduits (russe, brésilien, ukrainien, espagnol). Son blog : nicolasbonnal.worpress.com

Biden pourchasse les blancs présumés suprématistes et ce preux catholique WASP ne sait plus quoi inventer à coups d’impôts, de menaces, de sanctions, de guerres et autres pour complaire à ses maîtres malthusiens qui sortent tous du chapitre de Rauschning – dans Hitler m’a dit : le devoir de dépeupler. Sa politique étrangère pue autant que sa politique intérieure où son pouvoir oligarchique s’appuie sur des minorités manipulées pour éliminer ce qui reste de l’ancienne majorité blanche. Tocqueville comme Soljenitsyne remarquaient que moins un pouvoir résiste (la royauté française, le tsarisme), plus il exaspère les énergumènes qui rêvent de l’abattre. La lutte contre le blanc devient de toute façon le fer de lance du totalitarisme mondialiste : on le voit à la manière dont les eurocrates, les leaders mondialistes et surtout les infatigables princes des ténèbres anglo-saxons, adorateurs de la technologie, rêvent de liquider leurs peuples au nom de l’écologie.

C’est ici que la Russie a montré le bout de sa chapka. Ce pays dépeuplé par le racisme anti-slave aura résisté à Napoléon (avatar du 666 selon Gogol et Tolstoï, voyez les Âmes mortes et Guerre et paix, et mon livre sur Dostoïevski) et à Hitler, responsable avec Churchill et quelques autres de la mort de soixante millions de blancs et aussi de juifs ; j’insiste sur ce point parce qu’on voit aussi que le mondialisme de Nemrod et de Babel a fait des juifs une cible prioritaire, c’est ce que rappellent les brillants et courageux rabbins Dynovisz et Itshak. Ce n’est pas un hasard aussi si on veut lancer des braillards néo-nazis contre la Russie pour achever à coups de nucléaire ou autre ce qui reste de blancs en Europe, des fois que la porcherie du camp de concentration électronique leur prenne trop de temps…

Voyons donc Lavrov et son intempestive communication sur cette question qui va désoler tous les Macron et Laurent Joffrin de la planète. Cette information vient du moscowtimes.com, reprise par Zerohedge.com et par Dedefensa.org :

« Le ministre russe des affaires étrangères, Sergueï Lavrov, observe qu’il y a une recrudescence de “l’agression contre les blancs” aux USA et que cela nuit aux efforts de lutte contre le racisme. Lavrov a fait ces commentaires lors d’une interview avec des politologues diffusée à la télévision nationale.
» “Nous avons été les pionniers du mouvement de promotion de l’égalité des droits des personnes de toute couleur de peau”, a déclaré M. Lavrov, ajoutant que “tout le monde veut se débarrasser du racisme”.

On se souvient que la Russie pense aussi faire venir des fermiers boers de leur bantoustan sud-africain (90 000 blancs tués depuis trente ans) ; et Lavrov de remarquer que l’on est passé goulument d’un extrême à l’autre :


» Cependant, il a souligné combien il était important « de ne pas passer à l’autre extrême que nous avons vu lors des événements type-‘BLM’ (Black Lives Matter) et des agressions contre les personnes blanches, les citoyens américains blancs.”

Lavrov souligne la volonté américaine comme française d’anéantir la culture ou ce qu’il en reste au motif qu’elle est blanche. Exit Hugo, Balzac, Shakespeare, Mozart, Bach, tout ce qu’on veut. Hitler n’en demandait pas tant, la Ursula Leyen ou Joe Biden oui :


» Lavrov a également insisté sur le fait que des forces au sein des États-Unis tentaient de répandre une “révolution culturelle” dans le monde entier en tentant d’imposer de force la “diversité” dans tous les domaines et de toutes les façons.
» “Hollywood est maintenant aussi en train de changer ses règles pour que tout reflète la diversité de la société moderne”, a-t-il dit, qualifiant cela de “forme de censure”.
» “J’ai vu des Noirs jouer dans les comédies de Shakespeare. Simplement, j’ignore quand on se décidera à faire jouer un Othello blanc”, a déclaré Lavrov.
» “Vous voyez que c’est absurde. Le politiquement correct poussé jusqu’à l’absurde conduira à des effets extrêmement malfaisants”, a-t-il conclu. »

On cherche aussi à désarmer le citoyen américain, à l’accuser de tous les crimes – Giuliani avait rappelé que 94% des nombreux noirs tués en Amérique le sont par des noirs) :


» Comme nous l’avons souligné précédemment, après chaque fusillade de masse, journalistes et gauchistes accusent les Blancs avant même que l’auteur n’ait été identifié.
» Dans le cas de la fusillade du supermarché de Boulder, cela s’est retourné contre eux massivement après qu’il a été révélé que le tireur était un immigrant islamiste du Moyen-Orient.
» Après la fusillade d’Atlanta, qui visait des salons de massage, les médias ont une fois de plus déclenché l’hystérie du “suprémacisme blanc”, bien que les autorités n’aient trouvé absolument aucune preuve que l’attaque était motivée par la race. »

Hitler réincarné en gauchiste prépare sa revanche en instaurant sa dictature politiquement correcte dans tout l’occident. Tout blanc est criminel, telle est la logique au bout du rouleau compresseur de l’idéologie woke :


» Cela a conduit Damon Young, collaborateur du New York Times, à affirmer que “la blanchité est une pandémie” et que “la seule façon de l’arrêter est de la localiser, de l’isoler, de l’extraire et de la tuer”.

Cela rappelle la phrase de Goldberg dans livre sur le fascisme libéral, non traduit en français : le blanc sera le juif du vingtième siècle.


Et Lavrov de ponctuer peu sereinement :

» Ce récit, en plus de la Critical Race Theory, qui enseigne que tous les problèmes des États-Unis sont la faute des Blancs, a clairement créé une atmosphère où la haine raciale dirigée vers les Blancs n’est pas seulement tolérée, elle est ouvertement encouragée. »

Ils haïssaient la Russie par tous les pores, et cette haine rabique veut et va déclencher la catastrophe.

On voit où une telle hargne destructrice peut les mener. Le Reset relève de la pathologie, la servitude électronique aussi. Bill Gates semble atteint et ses solutions de pyromane pour sauver le monde sont aberrantes. Cette bêtise en rassure certains, nous non. Bernanos avait souligné le rôle eschatologique de l’imbécillité dans sa France contre les…robots.

Sources :

https://www.dedefensa.org/article/lavrov-denonce-le-racisme-antiblanc-aux-usa
https://www.unz.com/article/federal-government-achieves-full-anarcho-tyranny-this-cant-go-on/
https://www.themoscowtimes.com/2021/04/01/russia-warns-of-anti-white-aggression-in-us-a73446

4 pensées sur “Quand la Russie défend les blancs contre l’administration Biden…

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