Rapport trimestriel de situation Covid planétaire du Samedi 1er avril2023 0h00 GMT
Par Dominique Delawarde
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Si le nombre de décès se réduit chaque jour un peu plus (134 400 au 1er trimestre 2023 sur l’ensemble de la planète), il est important de noter que sur ce premier trimestre 2023, les 30 pays de l’OTAN, très vaccinés, ont eu un taux moyen de mortalité COVID de 81,9 décès/million d’ h,plus de 10 fois fois supérieur à celui du reste du monde pour la même période: 7,93 décès /million d’h. Cela veut clairement dire que ces pays se remettent moins vite de l’épisode Covid que le reste de la planète. Tous les pays de l’OTAN, sans aucune exception, ont un taux de mortalité par millions d’habitants supérieur à la moyenne du monde non otanien…. ???
Avant propos: «On peut débattre de tout, sauf des chiffres»(lorsqu’ils ne sont pas mensongers, bien sûr). Propagande gouvernementale reprise inlassablement en Octobre et Novembre 2021 par la «meute» des médias mainstream français… et abandonnée depuis parce que les chiffres deviennent dérangeants…..
Il convient donc de faire parler les chiffres déclarés par les États eux-mêmes.
Année | VACCINS | Nombre de tests positifs Covid déclarés | Nombre de décès Covid déclarés |
2020 | Quelques millions en Décembre | 84,3 millions | 1,83 millions |
2021 | 9,2 milliards de doses | 204 millions | 3,62 millions |
2022 | 3,9 milliards de doses | 376,5 millions | 1,24 million |
1er trimestre 2023 | 0,24 milliards de doses | 19,2 millions | 0,14 million |
TOTAL Pandémie 2020 + 2021+2022 + 1er trim 2023 | 13,34 milliards de doses | 684 Millions | 6,83 millions |
Remarques sur le tableau ci dessus:
Avec près de 376,5 millions de tests positifs déclarés en 2022 dans une population mondiale de 8 milliards d’habitants qui avait déjà reçu 9,2 milliards de doses de vaccin en 2021, on réalise que la contamination n’a jamais été réduite par le vaccin, bien au contraire, puisqu’elle a été 4,5 fois plus importante en 2022 sur des populations vaccinées qu’en 2020 sans vaccin. Qui ne connaît pas parmi ses proches des gens double ou triple vaccinés qui ont attrapé le Covid en 2022 ?
Le slogan «Tous vaccinés, tous protégés» était donc un énorme mensongerépété ad nauseam par les pseudo-scientifiques, les politiques et leurs relais médiatiques.
La grande majorité des contaminations et des décès des années 2022 et 2023l’a été dans des pays très vaccinés d’Europe et d’Amérique du Nord (Voir les détails dans les tableaux qui suivront). L’Europe est d’ailleurs restée l’épicentre de l’épidémie depuis dix huit mois, sans discontinuer, ce qui est la preuve que la stratégie du tout vaccinal n’y a jamais fonctionné. Elle ne compte que 9,5% de la population mondiale mais déclare encore sur les quinze derniers jours, près de 40% des tests positifs et plus de 42% des décès enregistrés sur la planète. C’est un fait difficilement contestable, même par les «déconneurs» du Monde ou de Libération qui ont réponse à tout.
Où est passé le miracle vaccinal en Europe ? Cherchez l’erreur .
Avec le variant Omicron (et ses sous-variants BA) très contagieux mais très peu létaux, surtout et y compris dans les pays peu vaccinés d’Afrique ou d’Asie, le nombre de nouveaux cas quotidiens déclarés sur la planète (pour la plupart Omicron) a été multiplié par 6 entre le 1er décembre 2021 et le 25 janvier 2022 (3,4 millions de cas/j). Il a ensuite été divisé par plus de 42 pour s’établir aujourd’hui à 80 000 tests positifs /jour, (moyenne sur 7 jours.) au 1er avril 2023 0h00 GMT. Autant dire que la pandémie est quasiment terminée.
Alors que le nombre de décès sur une population pourtant très vaccinée a culminé à 74 000 décès/semaine dans la 2ème semaine de février 2022, il est désormais inférieur à 5 000 décès dans la dernière semaine de mars 2023, soit une division par quinze de la mortalité hebdomadaire. La Covid est donc devenue une maladie respiratoire moins létale que la grippe saisonnière.
Malgré une vaccination de masse menée tambours battants depuis début décembre 2020, l’épidémie aura été deux fois plus meurtrière en 2021 qu’en 2020 (contamination et nombre de décès) sur l’ensemble de la planète. La vaccination n’a donc pas fait reculer l’épidémie partout où elle a été appliquée en 2021. Pour 2022, les chiffres de contamination ont été bien pire (multiplication par 4,5) et la mortalité, à peine meilleure,qu’en 2020, sans vaccin. Pour 2023, les pays en développement les moins vaccinés d’Afrique et d’Asie se sortent beaucoup plus vite de l’épidémie que les pays développés les plus vaccinés: c’est un fait.
Alors même que l’efficacité du virus et de ses variants s’atténue avec le temps et que de nouveaux traitements précoces efficaces ont été découverts, la létalité de cette épidémie aurait dû reculer nettement avec l’apport de 13,36 milliards d’injections vaccinales pour une population de 8 milliards d’habitants; injections vaccinales «vendues» par Big Pharma pour une efficacité de 90 à 95% sur les formes graves. Ca n’a manifestement pas été le cas au cours de l’année 2021 et le recul a été faible en 2022. En 2023, l’épidémie semble toutefois s’éteindre progressivement et surtout naturellement.
C’est probablement la raison pour laquelle l’immense majorité de la population mondiale a désormais renoncé aux rappels de vaccination, les fameux « boosters », malgré les recommandations persistantes dans certains pays, dont la France. A deux injections annuelles recommandées, le nombre de 9,1 milliards d’injections de l’année 2021 aurait du se maintenir en 2022 et en 2023. Or, il est tombé à 3,9 milliards en 2022 et ne devrait pas dépasser 1 milliard en 2023 puisqu’il n’y a eu que 240 millions de doses injectées au 1er trimestre 2023 sur la planète. On notera avec intérêt que la mortalité a nettement diminué en 2023, alors même que les populations ont renoncé d’elles-mêmes aux recommandations gouvernementales d’un booster tous les six mois.
Comme toutes les autres épidémies avant elle, nouveaux variants ou pas, l’épidémie Covid-19 finit enfin par régresser naturellement sous l’effet de plusieurs facteurs :
– La prolifération des variants rend chacun d’entre eux moins létal au fil du temps. C’est le cas du Omicron et de ses derniers sous-variants.
– Le réservoir de personnes fragiles et atteintes de comorbidité, donc susceptibles de faire des formes graves de la Covid s’est progressivement «vidé» par décès des plus fragiles. On ne meurt pas deux fois.
– Dans de nombreux pays, une meilleure prise en charge des patients et l’apparition et l’application de nouveaux traitements précoces pour les personnes atteintes de la Covid ont réduit considérablement la mortalité liée à ce virus.
– L’immunisation naturelle d’une partie croissante de la population mondiale qui, testée ou non, a contracté la maladie et en a guéri, devrait également contribuer à la baisse de la létalité. A cet égard, le variant Omicron et ses sous-variants, très contagieux mais très peu létaux, ontjoué le rôle de véritables vaccins naturelspour ceux qui ont contracté la maladie, sans être porteurs de multiples facteurs de co-morbidité.
Notons qu’avec la guerre en Ukraine qui impacte la planète entière, les médias ont un nouvel os à ronger. Les grands titres de l’actualité s’en trouvent considérablement changés mais les médias et les politiques continuent à surfer sur la peur et à manipuler l’opinion sur ce nouveau sujet. C’est d’ailleurs le rôle qui leur est attribué, dans tous les pays du monde, dans le cadre de leur participation à «la guerre de l’information».
En France, la campagne présidentielle de 2022 a été largement occultée, elle aussi, par la crise ukrainienne, dont les conséquences risquent fort d’impacter nos vies beaucoup plus que la Covid 19, surtout si la gestion de cette crise est aussi maladroite et contre-productive que celle de la Covid-19, tant au niveau national qu’européen ou otanien, ce qui semble être le cas.
Vouloir régler les problèmes qui vont se poser en empruntant toujours plus d’argent, en vivant à crédit, en «sanctionnant» toujours plus ceux qui ne partagent pas le narratif dominant, sans prendre en compte les effets boomerang, ne sont pas des stratégies efficaces et durables, tant pour la crise sanitaire que pour la crise ukrainienne. L’explosion de la dette aura forcément une limite … et ne pourra qu’accélérer le déclassement de certains pays, dont le notre, déjà en courset bien avancé.
Pour en revenir à la Covid-19, les données présentées par différents pays (UK, France, Israël, Italie) montrent que seulement 12% environ des décès attribués à la Covid peuvent être attribués uniquement à la Covid et de manière certaine. 88% des décès auraient donc pu être attribués à l’une ou l’autre des multiples comorbidités dont souffraient les patients décédés. Autrement dit, le nombre de 6,83 millions de décès sur trois ans est certainement surévalué, et pas qu’un peu. Il pourrait fort bien être de l’ordre de 1 millions qui, répartis sur trois ans, deviendrait un nombre dérisoire au niveau planétaire. De là à dire que cette «pandémie» a été plus médiatique et politique que réelle, il n’y a qu’un pas que je n’hésite plus à franchir .….
Annexes de l’article ici en pdf:
Je me pose cette question (je n’ai jamais entendu le moindre début de réponse).. Avec 1 foetus il font combien de doses de vaccins ; et donc : Combien de Foetus avortés il a fallu pour produire ces milliards de doses ??
Beurk..
« De là à dire que cette «pandémie» a été plus médiatique et politique que réelle, il n’y a qu’un pas que je n’hésite plus à franchir .…. »- Bravo mon général… Vous revenez à la réalité. Alors, on arrête la propaganda, maintenant ou on continue sur la lancée.
Merveilleuse masturbation de l’esprit que de pétrir des chiffres faux pour arriver en fin du compte à reconnaître que dès le début, ce n’était qu’un canular dont certain ont fait un fond de commerce et apporté de l’eau au moulin des « génocidaires » mondialistes. A moins que ça ne soit un démembrement du canular principal.
Dans tous les cas de figures, bravo, mon général.
Je m’excuse pour les quelques coquilles qui ponctuent mon petit texte… C’est la faute au carême ou à l’empressement d’en finir vite.