Désastre psychique de l’Occident : une visite au Kunstmuseum de Bâle – Anatoly Livry
Anatoly Livry est un universitaire franco-suisse né à Moscou. Docteur ès lettres, polyglotte, auteur de nombreux articles et ouvrages scientifiques, dont Nabokov le nietzschéen (édition « Hermann »), il a également enseigné à l’université Nice-Sophia Antipolis ainsi qu’à Paris IV-Sorbonne. Auteur de quinze livres publiés, Anatoly Livry est lauréat de quatre prix scientifiques internationaux, de deux prix littéraires russe et américain et d’un Prix international pour le « Courage Civique dans ses engagements de poète et de citoyen », ce dernier récompensant les analyses d’Anatoly Livry de la démocratie occidentale ainsi que le fait d’avoir théorisé et publié, en tant que Professeur-invité à l’Université d’État de Russie, son expérience de la procédure de qualification du Conseil National des Universités (CNU), 2011-2015.
Anatoly Livry est actuellement membre du CTEL de Nice-Sophia Antipolis, du laboratoire Littératures, Imaginaire, Sociétés (LIS) de l’Université de Lorraine (anciennement Centre de recherches Jean Mourot) ainsi que de la Société Française de Littérature Générale et Comparée (SFLGC) depuis 2013.
Depuis l’été 2012, Anatoly Livry est Professeur-invité de l’Université d’État de Russie Moscou-Lomonossov où il enseigne les littératures grecque antique, russe et française, le théâtre suédois et français, le cinéma suédois ainsi que les philosophies antique, allemande et russe. Théorisant sa propre expérience, Anatoly Livry enseigne la sémiotique du fonctionnement de l’Université française.
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Ce n’est pas la première fois qu’une visite au Kunstmuseum de Bâle est pour moi une révélation sémiotique 1. En effet, ce museum se situant au cœur de l’Europe entretient un lien quasi charnel avec notre civilisation et le désastre qu’il révèle est le symptôme du gouffre béant dans lequel plonge notre civilisation. Ce cataclysme trouve ses origines dans une sélection négative des élites, surtout universitaires, et ce, non après le catastrophique mai 68, mais depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale à laquelle la Suisse a participé non avec ses armes, mais avec sa psyché – et qu’elle a très visiblement perdue avec l’ensemble de l’Occident.
Le fait que chaque nouvelle exposition tendancieuse idéologiquement laisse muets les professeurs universitaires suisses et occidentaux confirme mes propos : le cerebral sorting académique permet ce « deux poids deux mesures » doctrinal, approuvant qu’un professeur universitaire contemporain, surtout s’il exerce dans les « humanités », n’ait plus aucun attachement à la Science et soit devenu un commissaire politique engagé inébranlablement en faveur de la doxa que je décris dans mon dernier livre 2. Il est cocasse qu’une banque helvétique bien connue pour sa gestion désastreusement idéologique qu’est Credit Suisse ait fréquemment financé ces bacchanales pseudo-scientifiques 3.
L’auto-extermination de l’Occident
L’Occident, sa civilisation et surtout les peuples blancs qui l’ont fondé sont-ils en train de périr par une malveillance extérieure ou est-ce leur cycle d’existence intrinsèque qui les pousse vers l’auto-effacement ? Ma réponse est pessimiste : les Caucasoïdes se précipitent d’eux-mêmes vers leur thanatos racial. L’un des premiers indices qui accompagnent leur mépris du mode existentiel de leurs ancêtres, c’est la dissolution de leur Logos, cette cessation volontaire d’exprimer des idées complexes et nuancées par l’abandon des idiomes de leurs aïeuls qui avaient pourtant escorté les Blancs vers une grandeur unique, laquelle ne sera peut-être jamais dépassée ni même égalée à l’avenir. La blancheur des Occidentaux ne se résume-t-elle pas à un résidu qui gonfle l’arrogance de certains ? Ce signe extérieur d’un cerebral sorting des espèces supérieures, ils l’ont pourtant volontairement abandonné.
Le principal vecteur de la culture d’un peuple, c’est son mode d’expression. La langue allemande contemporaine s’auto-détruit par une pulsion vers la simplification stylistique, orthographique : le ressentiment de la femelle malchanceuse corrompt la masculinité verticale de la langue allemande. La pensée germanique sombre dans le désastre, conduisant la philosophie, l’industrie, la politique germaniques vers la tombe. Le charlatanisme « postcolonial » ayant submergé nos universités empoisonne le logos français tout comme cela se fait avec les langues, et donc les structures cérébrales, scandinaves, italiennes, espagnoles…. La culpabilité de cette France se normalise et les futures générations de Français, même ceux de souche, sont élevées dans la haine de la civilisation française, qu’elle soit d’origine celte ou germanique. Massacrer la langue française devient « juste », car en rejetant sa complexité « fasciste » et sa grammaire charnellement liée à cette unique langue européenne sacerdotale, scientifique et politique que fut le latin, l’on se présente comme les nouveaux « saints » de cette religion de l’Occident qu’est le racisme systémique anti-Blancs 4.
La seule immense civilisation blanche qui jusque-là évitait cette supercherie « postcoloniale » était le monde slave. Et voilà que, avec la guerre en Ukraine (provoquée par les massacres de la population du Donbass depuis 2014, ce génocide approuvé par ces mêmes officines cosmopolites qui promeuvent l’exécration de la famille blanche traditionnelle chez eux en Occident 5, la mystification « postcoloniale » s’exporte chez les Slaves, même orientaux. Et à l’instar du Français qui, après avoir décolonisé une Afrique désireuse de prendre son indépendance, se fait submerger chez lui en France par les Congoïdes, les Arabes et les Berbères qui le colonisent tout en reprochant à ses enfants d’être des colonisateurs et en s’acharnant à « décoloniser » les Français chez eux (autrement dit, en émasculant cette verticalité mâle créatrice et en les élevant dans la haine raciale de soi), c’est maintenant le Russe qui est accusé d’être l’éternel colonisateur. Et c’est la langue russe, idiome civilisateur des Slaves de l’Est, qui est poussée par des professeurs de la slavistique occidentaux à se « décoloniser » au profit de dialectes malorussiens érigés en langue ukrainienne que même les marionnettes du régime de Kiev ne parviennent à manier dès lors qu’il leur faut vociférer des pensées quelque peu complexes, passant au russe, langue de celui qui est devenu leur ennemi depuis quelques décennies par une ingénierie sociale banale.
En effet, chaque grande langue civilisatrice se fait, comme tout ce qui se crée sur notre planète, par la violence et les armes. Dès qu’une caste guerrière d’un peuple étalait sa testostérone sur ses voisins et sur les castes inférieures de sa propre tribu, les artistes et les poètes de ce peuple commençaient à concevoir, poussés par la même puissance mâle, des œuvres splendides, nuançant cette langue, la perfectionnant avec une violence du Logos extrême. Et plus la puissance des armes et de l’État devenait suprême, plus le Logos de ce peuple atteignait son acmé. Telle fut dans l’histoire la monarchie française entourée d’aristocrates-guerriers d’abord francs puis aussi celtes. Ce fut la puissance guerrière prussienne qui a généré le génie de la langue allemande. Ce fut le pouvoir oppressant tant politique que militaire des Papes qui a aiguillonné le génie de la langue italienne. Ce fut lorsque la royauté suédoise disposait au XVIIe et au début du XVIIIe siècles de l’armée la plus efficace de l’Occident que cette minuscule nation des terres nordiques a généré une proportion inégalée de génies tant littéraires que scientifiques 6.
Tout comme ils l’avaient fait en Occident, les Germains qui ont gouverné les Slaves au sein de l’Empire russe ont imposé cette violence civilisatrice au Logos russe qui est devenu le mode d’expression des génies littéraires qui s’épanouissaient pendant que la machine militaire impériale russe imposait son κράτος à travers l’Orient et l’Occident, occupant jusqu’à la mer du Japon ou le fleuve Amour et prenant position, occasionnellement, en Europe jusqu’à Paris. Cette civilisation russe, qui est le fer de lance de l’existence des Slaves de l’Est, est en train d’être massacrée par des corporations internationales avec leurs laquais professeurs slavistes occidentaux qui exportent le plus stupidement possible ce charlatanisme « postcolonial » à Kiev, à Minsk mais surtout à Moscou et à Saint-Pétersbourg. Pas de Congoïdes pour l’instant : ce sont les pauvres « Ukrainiens » qui sont érigés au statut de victimes initiatiques éternelles non des Russes mais du Logos russe. Et tout comme les Français, les Britanniques ou les Italiens doivent dans la propulsion de leur civilisation tout à l’Afrique noire ou arabe, les Russes n’ont fait que piller l’immense culture ukrainienne, parasitant depuis des siècles les terres malorusiennes qui, de facto, existent en tant qu’État indépendant depuis 32 ans.
Une minable caste de professeurs universitaires occidentaux, victimes de la méthode globale et baignant dans cet anachronisme pseudo-scientifique qui domine depuis plusieurs générations, est en train de fabriquer à tout-va des « Ukrainiens » qui auraient fondé l’ensemble de la civilisation russe. Ils le font sans se gêner, utilisant les maillons faibles des Slaves orientaux, prévoyant déjà après la guerre vers laquelle ils ont poussé l’Ukraine de combler les lacunes en mâles ukrainiens par une immigration massive venant d’Afrique 7. Ainsi, à supposer une victoire malheureuse de cette chimère étatique ukrainienne 8, la première génération des descendants de cette Waffen-SS Galicie mythifiée sera composée au moins à 40 % de sang-mêlés.
Toutes les facultés d’études slaves d’Occident, et pas seulement celles des pays de l’OTAN, ont obéi à cette commande « postcoloniale » visant à glorifier le dialecte malorussien comme une grande langue de création, alors qu’elle n’a pourtant aucun acquis culturel derrière elle. Même la fameuse traduction Eneida par Ivan Kotliarevsky était un exercice de style argotique comme l’on ferait une traduction du Cyrano de Rostand en sénégalo-algérien de Seine-Saint-Denis. Nos musées occidentaux à New-York ou à Amsterdam, ou même au Kunstmuseum de Bâle, soudain affichent des expositions charlatanesques transformant en « Ukrainiens » des artistes russes du XIXe et du XXe siècles nés sur les territoires de la république d’Ukraine soviétique (élargie administrativement en 1954) devenue ensuite cet État ukrainien qui n’a été déclaré indépendant qu’en 1991. Tout cela se fait simultanément et pas une seule critique d’un professeur universitaire « russiste » ou « slaviste ». Cela démontre parfaitement la critique que je formule et publie depuis des décennies : ces professeurs sont des commissaires d’une haine systémique anti-Blancs et non des scientifiques 9. Leurs maîtres voient dans le Slave oriental l’image de leur propre ancêtre occidental encore empli de cette masculinité toxique créative et, poussés par ce Selbsthass, ils veulent faire tomber les gouvernements de Moscou ou de Minsk qui ont eu l’outrance de constitutionaliser la famille, l’ordre et les mœurs traditionnels.
Ainsi lisons-nous dans la présentation de l’exposition « Born in Ukraine » du Kunstmuseum de Bâle (avec un titre déjà inexactement traduit de l’original ukrainien « Народжені Україною ») qui durera jusqu’en juillet 2023 qu’un Ilya Repine serait « Ukrainien », bien que la langue russe qui a fait évoluer ce génie le poussait vers l’Académie Impériale des Beaux-Arts de Saint-Pétersbourg qui, elle, était la porte ouverte vers l’Occident et non vers quelque provinciale école des arts de Kiev. Repine a été un maître non seulement entièrement russe par ses ancêtres, par sa civilisation et sa langue, par son art pictural, mais surtout une personnalité nordique qui n’a jamais manifesté un attachement à une quelconque « Ukraine ». Dès qu’il a pu, il est parti en Finlande pour s’y installer et y mourir, laquelle était sa contrée préférée. Même cette notion d’« ukrainéité » n’apparaît nulle part dans la correspondance de ce grand artiste, ce qui fait de ces professeurs universitaires slavistes occidentaux qui n’osent élever leur voix contre cette supercherie d’authentiques charlatans.
L’« ukrainéité » de l’auteur
L’auteur de ces lignes a une mère juive native d’Odessa. Je connais donc personnellement cette terre de l’Union soviétique relevant actuellement de la république ukrainienne. Jamais l’idée d’évoquer l’appartenance à une quelconque « culture ukrainienne » qui serait l’égale de la civilisation russe, allemande, française ne serait venue à l’esprit de ces ressortissants de l’Ukraine soviétique. Tous s’élançaient vers Moscou ou vers Léningrad – sans parler du fait que pour cette élite juive originaire de l’Ukraine soviétique notamment, il s’agissait de fuir à l’âge adulte cette « ukrainéité » qui portait en elle, dans leur histoire récente, l’« holocauste par balles » pratiqué par leurs chers concitoyens ukrainiens : « L’antisémitisme traditionnel (SIC) s’est trouvé renforcé par l’image négative des juifs liée à la domination soviétique de 1940-1941. Les mouvements nationalistes clandestins [ukrainiens ] préparèrent avec la Wehrmacht des mesures antijuives pour les premières semaines de guerre. Ils prirent part aux pogroms de juin-juillet 1941. »10
Non, le dialecte malorussien n’est pas cette langue littéraire ardemment revendiquée par la population locale – et elle ne l’a jamais été. C’est pour cela qu’il y a eu une fuite, constante et de masse, non seulement de mes ancêtres Juifs ashkénazes d’Ukraine vers le Logos russe, mais aussi, et plus généralement, des Slaves d’Ukraine. Par exemple, ce graphomane supra-médiatisé qu’est David Bourliouk, qui s’est parfois certes réclamé d’une certaine ukrainéité (tout comme de nos jours, croyant choquer les bourgeois, une « chance pour la France » se prétendra de la « culture du neuf-trois »), quand il s’agissait de fabriquer ses navets, n’a jamais utilisé d’autre langue slave que le russe. Et Dieu sait que ce n’est pas un horrible occupant moscovite qui l’y avait contraint dans le cadre de l’URSS, derrière le rideau de fer. Non. Bourliouk, ce citoyen des États-Unis naturalisé, a passé la majeure partie de sa vie dans le monde d’abord japonais puis anglosaxon. Pourtant, quand il s’agit de s’exprimer dans une langue slave, ce n’est pas quelque dialecte non existant qu’il a choisi comme idiome créatif, mais bien le russe. Contrairement à ce que proclament les commissaires du navet du Kunstmuseum bâlois qui fondent leur mythologie de l’ukraniéité sur… rien : « Er wurde in Kyjiw geboren und bezeichnete sich selbst als Ukrainer: oder auch Dawid Burljuk. »11
En revanche, cette course effrénée vers la fabrication d’une mythologie ukrainienne – avec sa langue, sa culture, son histoire étatique – à laquelle l’on procède actuellement dans nos universités et nos salles d’exposition est un signe du temps qui témoigne de la haine viscérale de nos professeurs universitaires envers leurs langues occidentales, qu’ils considèrent comme « fascistes » (d’après une expression célèbre d’un autre graphomane cette fois francophone). D’ailleurs, ces professeurs de philologie – certains présidant même la section de leur « spécialité » au sein du Conseil national des universités français – ne parviennent plus à maîtriser les règles élémentaires de leur langue maternelle12. Sélectionnés par ceux qui vomissaient le mode d’expression de leur peuple (je parle des charlatans soviétoïdes post-soixante-huitards), ils n’ont maintenant aucune autre ambition que d’effacer sous le rouleau compresseur d’un golem ukrainien fraichement fabriqué selon un calendrier géopolitique l’immense civilisation russe, laquelle n’est que le reflet de leurs propres culture et langue germaniques, celtes… Et ces expositions reposant sur un discours abracadabrantesque que nous voyons au centre de nos villes européennes ne correspondent qu’à un stade inévitable dans le cheminement à rebours d’un homo sapiens qui devient de plus en plus un singe, s’exprimant par des onomatopées toutes plus politiquement correctes les unes que les autres.
L’anachronisme plus assassin que le ridicule
Le même ridicule anachronique, on le découvre dans ces expositions (par ex. « Born in Ukraine » du Kunstmuseum de Bâle) qui font un Ukrainien d’un Hovhannes Aivazian, ce mondialement connu peintre de marine russe d’origine arménienne devenu Ivan Aïvazovski – qui a donc russifié son nom de famille pour mieux se rattacher à la civilisation qui l’avait élevé. Né et mort dans la province de Tauride de l’Empire russe au XIXe siècle, il ne pouvait même pas connaître l’existence de cette « ukrainéité » que nos scientifiques (nos commissaires de la haine anti-Blancs bardés de titres académiques) présentent de nos jours sous prétexte que des apparatchiks soviétiques type Khrouchtchev ont changé un siècle plus tard, en 1954, sur le papier, l’appartenance de cette ex-province impériale russe, la rattachant nominalement à l’Ukraine soviétique. Prétendre publiquement qu’Ivan Aïvazovski serait né en Ukraine en juillet 1817 parce la Crimée est devenue une séquence administrative de l’Ukraine soviétique durant… la seconde moitié du XXe siècle et que donc ce peintre du XIXe siècle serait ukrainien est une forme de niaiserie, certes ordinaire de nos jours dans nos facultés. Ce serait comme supposer qu’Albert Camus venu au monde dans l’actuelle wilaya d’El Tarf était un homme de lettres arabo-musulman algérien ou que la célèbre graphomane native de l’Indochine française Marguerite Duras nous a laissé un héritage littéraire vietnamien influencé par la doctrine de Hô Chi Minh.
Si l’on continue ainsi, on aura le droit d’arguer qu’Emmanuel Kant, qui a passé sa vie à Königsberg, est un philosophe russe orthodoxe puisque l’actuelle Kaliningrad est une séquence de la Fédération de Russie.
Qu’importe tout cela à nos fabricants dégénérés de « postcolonialisme », ces commissaires politiques portant le titre de professeurs en slavistique : ce ridicule ne les tue pas. Ils exécutent gaillardement cette basse commande qui vise à exploser le dernier pilier de la civilisation blanche qu’est la culture russe. S’ils parviennent à intégrer dans leur propre élan autodestructeur anthropologique les Slaves orientaux, dans quelques décennies la langue russe, et par conséquent le dernier bastion des Caucasoïdes sur l’espace eurasien, sera anéantie. Il sera alors « juste » – si je peux renvoyer à cette idée de Nietzsche sur le Selbsthass des élites alexandrines13 – d’adopter un mode d’expression simiesque en russe, car cela reviendrait à lutter contre ces colonisateurs mâles de la pauvre Ukraine pendant que celle-ci se remplira de « chances » pour le pays qui viendront en masse d’Afrique subsaharienne. L’effacement des Caucasoïdes sera consommé – et par conséquent l’extinction de l’humanité tout entière.
La race des Ukrainiens, mais seulement la race des Ukrainiens – Quod licet Iovi, non licet bovi
Ce qui m’intéresse dans cet article, ce n’est pas de prendre position, mais de mettre à l’épingle le désastre psychique chez nos élites survenu à la suite d’une sélection négative des cadres d’abord universitaires, puis naturellement scolaires. Nous sommes en présence d’un « deux poids deux mesures » idéologique permanent, devenu une méthodologie ridicule pour notre Université, nos rédactions et maisons d’édition, nos hommes politiques et les états-majors de nos armées, pour nos musées et nos banques. Il n’en va pas autrement pour cette exposition du Kunstmuseum de Bâle « Born in Ukraine », financée par un Credit Suisse ruiné qui a lui-même subi un collapse international et qui se déshonore une fois de plus en entretenant ce cataclysme de la logique présenté comme une démarche supra-intellectuelle. L’Office fédéral de la culture (OFC) suisse apporte aussi son soutien à ce chef-d’œuvre du fanatisme14. Mais la plus grande horreur de ce qui se déroule réside dans le fait que pas un professeur universitaire, pas un maître de conférences – helvétique ou étranger – n’ose pointer cette absurdité.
Déjà « Born in Ukraine » est une traduction absolument incorrecte de l’original « Народжені Україною » qu’il faudrait traduire, si l’on voulait être exact, par « Engendré par l’Ukraine ». Ce titre présuppose non la notion du sol (comme l’exprime la mauvaise traduction), mais la notion de la race – ce qui est totalement interdit pour les peuples blancs de l’Occident et ces États liés à un peuple qui fait d’eux des nations. Et les commissaires de cette exposition ridicule confirment mon analyse. Ainsi présentent-ils le peintre dont le nom indique les origines ethniques ukrainiennes, Kliment Redko. Pourtant, si l’on s’intéresse au lieu de sa naissance, il s’agit d’une ville polonaise. Même après le passage sous le drapeau soviétique des territoires orientaux de la Pologne – car c’est grâce aux efforts guerriers de Staline que le territoire de l’Ukraine actuelle a été augmenté ! –, cette ville, à savoir Chełm, demeure polonaise. Il s’agit donc non d’un peintre « born in Ukraine », mais d’une personne de race ukrainienne née en Pologne et qui n’est donc pas du tout « born in Ukraine ».
Pire encore : si nous lisons la présentation des commissaires de l’exposition du Kunstmuseum financée par Credit Suisse – et soutenue par l’Office fédéral de la culture (OFC) suisse ! –, nous retrouvons la confirmation de mes remarques sur une vision racialiste pourtant interdite dans nos établissements des mondes universitaires et politiques occidentaux. Car les fabricants de cette exposition « Born in Ukraine » mettent clairement en avant la valeur raciale des peintres exposés : « Illia Repin war jedoch ein ethnischer (SIC) Ukrainer, der in der Ukraine geboren wurde. » : « Cependant, Ilia Repine était un Ukrainien ethnique qui est né en Ukraine »15. Pas de contradiction donc pour nos professeurs adoubés par les universités suisses ? Pourtant, ils s’insurgent chaque fois que l’on ose indiquer qu’il s’agit d’un Allemand de souche, d’une personne purement suisse ou d’un Français de souche. Cette expression « Français de souche » est même devenue péjorative (« souchien » qui fait songer au « sous-chien », naturellement16) dans nos centres de la bien-pensance qui véhiculent ce racisme systémique anti-Blancs auquel j’ai consacré mon dernier ouvrage philosophique. Quand il s’agit de détruire la chair des peuples occidentaux, on leur refuse d’emblée leur origine ethnique : cela est devenu une thèse de nos universités depuis des décennies déjà qui prétendent qu’il n’existe pas, par exemple, de « Français » purement français. Aux Occidentaux, l’on dénie toute ethnie qui leur serait propre vu que ces peuples blancs d’Occident (ce n’est pas mon cas, je suis Juif ashkénaze) seraient redevables à des injections venues d’Afrique et d’Asie profondes. Pour nos commissaires du Kunstmuseum de Bâle, soutenus par des professeurs universitaires de la slavistique sans aucun doute (car je ne trouve aucune critique académique pour ce navet doctrinal du Kunstmuseum, type : « Illia Repin war jedoch ein ethnischer (SIC) Ukrainer […] » ), il y aurait dans les faits une seule « pure » ethnie ukrainienne et elle serait engendrée par cette Ukraine, même si cette race a été transmise à un peintre né quelque part en Pologne – comme Kliment Redko, par exemple.
Un « deux poids deux mesures » absolu et présenté comme une normalité au centre de Bâle sous les applaudissements de la bien-pensance la plus bornée. J’assure aux financiers de ce navet qui siègent à Credit Suisse – ou à ceux qui soutiennent ce projet à l’Office fédéral de la culture (OFC) suisse – que si vous osez tenir ce genre de propos analysant un peuple blanc occidental – français, allemand, néerlandais… – et sa pureté ethnique au sein d’une faculté suisse ou occidentale en général, votre carrière académique sera terminée sur-le-champ. La sélection négative de nos professeurs universitaires qui est ouvertement menée depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale a porté ses fruits d’un abrutissement collectif devenu norme, voire le critère pour lequel vous êtes sélectionnés pour faire carrière – comme ce fut le cas, a contrario, pour l’auteur de ces lignes.
La double pensée et la loi sur l’interdiction des symboles nazis et racistes en Suisse 17
Ces illettrés devenus nos élites sombrent dans une course à l’interdiction, propageant des lois iniques à travers le monde sans-frontièriste de la bêtise et de l’ignorance. Ainsi, nous vivons actuellement l’anéantissement des dernières libertés suisses, ce qui est d’autant plus significatif que cela traduit le « deux poids deux mesures » résultant de la seule idéologie à l’œuvre dans notre espace, à savoir le racisme systémique anti-Blancs18. Je me demande donc ce que l’on fera quand cette loi passera – car elle va passer et sans aucune discussion sur le fond – du symbolisme ukrainien actuel s’exportant à travers la Suisse et tout l’Occident bien-pensant et surtout du Slava Ukraini marqué sur l’arrière des voitures et sur les boutiques à la recherche d’une clientèle boboisée. Car je le rappelle à nos professeurs universitaires devenus les commissaires du racisme systémique anti-Blancs que c’était la devise des bourreaux les plus zélés de mes ancêtres juifs ashkénazes qui avaient le malheur de vivre en Ukraine. Ce Slava Ukraini a été la devise des adeptes de Stepan Bandera et des membres de l’OUN dont les actions furent décrites, sans censure, dans des revues académiques de langue française et autres peer-reviews occidentales :
« La police auxiliaire ukrainienne, dont les membres étaient issus en grande partie des milices de l’O.U.N., participa en 1941 au rassemblement des juifs ; à partir de 1942, elle fut armée et se livra à des fusillades. Durant la dernière phase de l’occupation les policiers ukrainiens jouèrent un rôle déterminant dans la recherche et la liquidation des juifs qui s’étaient cachés. »19.
D’ailleurs, la chimère ukrainienne20 avec les cosmopolites occidentaux se moquent gaillardement de ces Juifs-là.
Une fois cette loi helvétique passée – à condition qu’on la respecte naturellement –, il faudrait supprimer ce « symbole nazi » à travers toute la Suisse – ce qui donnera pas mal de travail.
Cette chimère ukrainienne est bel et bien utilisée non pour gagner de quelconques libertés, mais pour lutter jusqu’au dernier Ukrainien contre cet empire russe qui a ancré le traditionalisme jusque dans sa constitution et qui demeure donc le dernier bastion blanc et chrétien (je n’oublie naturellement pas que c’est un empire multinational) gouverné par des mâles patriarcaux à l’image de ceux qui ont fondé notre civilisation. Voilà pourquoi j’ai comme l’idée que si une telle loi liberticide passe chez nous en Suisse, on oubliera mes ancêtres juifs ashkénazes massacrés par des supplétifs zélés ukrainiens du début des années 40.
L’ostracisme d’un penseur académique normalisé par la communauté « scientifique » internationale ou la faillite de l’expertise universitaire
Pourquoi une telle aberration acceptée par tous au sein de la communauté universitaire ?! Mon destin et ma carrière, commencée au sein de Paris-Sorbonne où d’emblée j’ai enseigné à des étudiants de troisième année à l’âge de 28 ans 21, puis poursuivie à l’Université de Nice-Sophia Antipolis où je suis devenu docteur, ponctuée de louanges 22 et de publications par des collègues universitaires du monde entier 23 (et notamment niçois donc 24), sont un exemple parfait que je porte actuellement à la connaissance de collègues et spectateurs. Mes séminaires touchent des dizaines de milliers d’étudiants, dans le sillage de mes interventions sur des canaux télévisuels d’État où je suis vu par des millions de personnes 25.
Plus d’une vingtaine de plaintes pénales ont été déposées contre moi par des professeurs universitaires français 26. Ma thèse de doctorat a été plagiée par un collectif international de professeurs universitaires, plagiat qui a été publié bien que le voleur m’eût écrit avant de commettre son forfait – par suite de quoi mon nom et ma thèse de doctorat soutenue en 2011 à l’Université de Nice-Sophia Antipolis ont été effacés de son plagiat. Les professeurs universitaires qui ont préfacé les publications multilingues de ma thèse de doctorat par la suite plagiée ont subi des pressions et se sont retournés contre moi. Idem pour le très pleutre directeur de ma thèse de doctorat – par ailleurs responsable d’une collection dans la Bibliothèque de la Pléiade chez Gallimard 27.
Chaque année, je fais connaître les immondices qui anéantissent non seulement ma carrière, mais surtout la pluricentenaire Science occidentale. Chaque année, l’on me refuse, par une décision soviétoïde du Conseil national des universités français, le simple droit de chercher un poste de maître de conférences en France. Et ces décisions sont rendues par écrit par des professeurs universitaires français avec des fautes de plus en plus ridicules – et tout cela au nom de la république française. Lorsque des sommités de l’Université française interviennent pour rappeler à leurs collègues la tradition de la Science occidentale dans le cadre du dossier de Dr Anatoly Livry, elles sont souvent ignorées, parfois injuriées. Et naturellement, quand nos braves rédacteurs occidentaux sont chargés de faire la lumière sur le dossier de Dr Anatoly Livry, en bons soldats obéissants du système, ils se précipitent, pour prendre des renseignements à mon propos, vers mes ex-collègues non moins systémiques – justement ceux qui, maîtres de conférences, ont participé au plagiat collectif de ma thèse de doctorat pour s’assurer le titre de professeur universitaire. Voilà pourquoi, ayant accumulé ces preuves du déshonneur des professeurs universitaires français, avec comme acmé mon actuel séminaire « Les 10 000 fautes des professeurs universitaires français »28, j’estime que je possède quelques fondements pour constater la sélection purement négative de nos éducateurs universitaires qui se solde donc par le non moins catastrophique cerebral sorting de nos gouvernants qui amènent nos enfants vers la condition de singe – un singe totalement bien-pensant naturellement, politiquement correct et « anti-raciste ».
Dr Anatoly Livry, Altdorf, Suisse
Notes :
1 Cf. par exemple Anatoly Livry, « Van Gogh et Magog », Rivarol, n° 2916, Paris, le 31 juillet 2009,
p. 15, https://www.instagram.com/p/CasjBv0oxYC/.
2 Cf. Dr Anatoly Livry, Le Racisme systémique anti-Blancs ou l’Holocauste des peuples blancs, Notre
Lendemain, Moscou, 2022, 288 pages, avec une préface du Professeur Anatole Klyosov, ISBN : 978-
5-907585-15-7.
3 « Born in Ukraine The Kyiv National Art Gallery in Basel », Hauptbau EG, 6.12.2022 – 2. 7. 2023,
https://kunstmuseumbasel.ch/fr/expositions/2022/born-in-ukraine
4 Cf. Dr Anatoly Livry, « Le Racisme systémique anti-Blancs ou l’Holocauste des peuples blancs –
Entretien avec Dr Anatoly Livry », Le Harfang, Drummondville (Québec), automne 2022, p. 9-11.
5 Dr Anatoly Livry, « Le racisme anti-Blancs, perspective nietzschéenne » in Méthode, La revue
officielle de l’Institut franco-russe de Donetsk et du Département Français des Sciences et Techniques
de l’Université Nationale Technique de Donetsk, février-mars 2021, p. 83-85
6 Cf. Dr Anatoly Livry, LA RACE ET L’HELLADE – Blancheur et supériorité chez les Grecs anciens,
Alba Leone, Paris, 2021, 145 pages, ISBN : 978-2-9701493-0-9,
https://danielconversano.com/product/anatoly-livry-la-race-et-lhellade/
7 Cf. Dr Anatoly Livry, «Il futuro dell’Ucraina è mulatto», Geopolitica, Moscou, avril 2023 :
https://www.geopolitika.ru/it/article/il-futuro-dellucraina-e-mulatto.
8 Cf. Dr Anatoly Livry, «Украина–двухголовая Химера» (The Ukrainian state as a two-headed
Chimera), Proceedings of the Academy of DNA Genealogy, Boston-Moscou-Tsukuba, ISSN 1942-
7484, Volume 15, n°6, June 2022, р. 897-899.
9 Cf. Dr Anatoly Livry, « La sélection universitaire des russophobes. Les pires ennemis de la
Russie. », Den TV, Moscou, le 23 janvier 2023, 117 400 vues,
https://www.youtube.com/watch?v=_0z4riTSnbs&t=3
10 Dieter Pohl, « Le génocide en Galicie orientale », Revue d’histoire moderne et contemporaine, tome
47 n° 2, avril-juin 2000, La violence nazie, traduit par Olivier Collé, p. 305,
https://doi.org/10.3406/rhmc.2000.2014.
11 « Il est né à Kiev et se définit lui-même comme Ukrainien : ou Dawid Burljuk » : „Wem gehört Illia
Repin? » Interview zur Ausstellung: Born in Ukraine, p. 1/2, http://anatoly-livry.e-
monsite.com/medias/images/kunstmuseum-gut.jpg
12 Voici les fautes (sur trois lignes) que le professeur universitaire français nivière écrit dans sa langue
maternelle qui est le français. En effet, outre la ponctuation erratique qu’il n’a même pas pris le soin de
corriger alors qu’il s’agit d’une décision rendue au nom de la République française, nivière utilise
malheureusement l’expression « attester de » (alors qu’attester est transitif
direct !!! : https://www.dictionnaire-academie.fr/article/A9A3055), http://anatoly-livry.e-
monsite.com/medias/files/cnu-23-13.pdf.
13 Dr Anatoly Livry, Thèse de doctorat de Anatoly LIVRY, Nietzsche et Nabokov, ANRT, Lille, 2014,
332 pages, ISBN : 978-272-9-58538-9, anatoly-livry.e-monsite.com/medias/files/nietzsche-and-
nabokov-definitif.pdf.
14 « Die Ausstellung wird unterstützt durch: Office fédéral de la culture (OFC). »,
https://kunstmuseumbasel.ch/fr/expositions/2022/born-in-ukraine.
15 „Wem gehört Illia Repin? » Interview zur Ausstellung: Born in Ukraine, p. 1/2, http://anatoly-livry.e-
monsite.com/medias/images/kunstmuseum-gut.jpg.
16 « Souchiens » pour « Français de souche » : Houria Bouteldja relaxée en appel», Le Parisien, le 19
novembre 2012, https://www.leparisien.fr/faits-divers/souchiens-pour-francais-de-souche-houria-
bouteldja-relaxee-en-appel-19-11-2012-2335217.php.
17 « Rapport sur l’interdiction des symboles nazis et racistes »,
https://www.admin.ch/gov/fr/accueil/documentation/communiques.msg-id-92233.htm
18 Cf. Dr Anatoly Livry, « Le Racisme systémique anti-Blancs ou l’Holocauste des peuples blancs –
Entretien avec Dr Anatoly Livry », Le Harfang, Drummondville (Québec), automne 2022, p. 9-11 ,
http://anatoly-livry.e-monsite.com/medias/files/livry-harfang.pdf.
19 Dieter Pohl, « Le génocide en Galicie orientale », Revue d’histoire moderne et contemporaine, tome
47 n° 2, avril-juin 2000, La violence nazie, traduit par Olivier Collé, p. 305,
https://doi.org/10.3406/rhmc.2000.2014.
20 Dr Anatoly Livry, « Украина – двухголовая Химера », газета Завтра, Москва, 23 мая 2022,
https://zavtra.ru/blogs/ukraina_dvuhgolovaya_himera
21 Cf. p. ex. : http://anatoly-livry.e-monsite.com/medias/files/sorbonne-3eannee.pdf.
22 Cf. p. ex. : Professeur Alain Tassel, ancien doctorant de Pierre Brunel de Paris IV-Sorbonne, Doyen
de la Faculté LASH de Nice-Sophia Antipolis, http://anatoly-livry.e-monsite.com/medias/files/livry-
tassel-1.pdf.
23 Cf. p. ex. : « Il faut défendre Anatoly Livry », François Garçon, Maître de conférences HDR,
Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, directeur du Master 2 professionnel Cinéma Télévision
Nouveaux médias, docteur en histoire après des études aux universités de Genève et d’Oxford (St
Peter’s College), co-lauréat du prix d’histoire Gustave Ador, lauréat d’une bourse Besse (Oxford) et
du Fonds National Scientifique suisse.
24 René Guerra, Chevalier de l’Ordre National du Mérite, Chevalier des Arts et des Lettres, Maître de
conférences honoraire, ancien directeur du Département de Russe à l’Université de Nice – Sophia
Antipolis, Agrégé de l’Université, Docteur HDR, « Nietzsche, Nabokov et docteur Anatoly
Livry » dans HERALD of the University of the Russian Academie of Education, The Magazine is
inscribed by the Higher Certifying Commission on the index of leading reviewing scientific periodicals
for publications of main dissertation of academic degree of Doctor and Candidate of
Science, Moscou, 2015, n° 4, p. 21-23.
25 Plus de 1 800 000 personnes ont visionné une seule de interviews de Dr Anatoly Livry donnée à la
télévision d’État de Biélorussie (BelTA, Minsk) en mai 2022 :
https://www.youtube.com/watch?v=1YPHQCXEqkg&t= (1 849 231 vues au 29.05.2023).
26 Cf. Dr Anatoly Livry, « Renouer avec la Grèce antique. Entretien avec Dr Anatoly Livry », Le
Harfang, Drummondville (Québec), printemps 2022, p. 6-9, http://anatoly-livry.e-
monsite.com/medias/files/livrx-harfang.pdf
27 Professeur Patrick Quillier, Président du jury de l’agrégation de lettres modernes 2011, directeur de
la thèse de doctorat d’Anatoly Livry, http://anatoly-livry.e-
monsite.com/medias/files/quilliercourageux002.pdf.
28 Cf. p. ex. Dr Anatoly Livry, « « L’Arabie heureuse » de B. Franco, professeur à la Sorbonne »
dans Proceedings of the Academy of DNA Genealogy, Boston-Moscou-Tsukuba, ISSN 1942-7484,
volume 16, n°2, mars 2023, p. 439-448, http://anatoly-livry.e-monsite.com/medias/files/16-3-2023-
439-448.pdf.