Ce n’est pas une troisième guerre mondiale, c’est la suite de la seconde
Il est très important de comprendre que la Seconde Guerre mondiale ne s’est jamais terminée par un traité, et je pense que les États-Unis en sont responsables.
Lire la suiteIl est très important de comprendre que la Seconde Guerre mondiale ne s’est jamais terminée par un traité, et je pense que les États-Unis en sont responsables.
Lire la suiteSource : numidia-liberum.blogspot.com – 18 novembre 2024 https://numidia-liberum.blogspot.com/2024/11/yemen-larsenal-incroyable-dansarallah.html Abonnez-vous au canal Telegram Strategika pour ne rien rater de notre actualité Pour nous
Lire la suitePour ce nouvel épisode de « Chocs du monde », le magazine des crises et de la prospective internationale de TVL, Édouard Chanot est en liaison avec Moscou et Fabrice Sorlin.
Poutine a proposé à la fin de l’été d’accueillir en Russie des citoyens étrangers fuyant la « décadence » et le « néolibéralisme occidental ». Manœuvre de propagande ou véritable porte vers la Russie ? « Chocs du monde » à voulu comprendre comment ce nouvel oukaze du président russe, ce « visa idéologique », est mis en œuvre quelques semaines plus tard. Pour nous répondre, Fabrice Sorlin, français de Russie, cofondateur du Mouvement international russophile, le MIR, et qui est animateur du canal Telegram « Conflit Russie/Ukraine ».
UNA GRANDE ESCLUSIVA DE L’AD. UN NUOVO EDITORIALE DI PATRICK LAWRENCE PER IL PUBBLICO ITALIANO. « La mera finzione è sufficiente nel nostro mondo post-7 ottobre. Si preferisce, proprio come osservava la Arendt ne Le origini del totalitarismo, che le persone sottoposte a una propaganda incessante arrivino a preferire l’inganno »
Lire la suitePeut-on espérer des réformes civilisationnelles de premier ordre dans des domaines tels que ceux de l’immigration, de l’éducation sexuelle et du dressage mental de nos enfants, de la distribution des richesses ou de l’éloignement des idéologies mortifères – comme l’écologisme ou le féminisme – par la voie électorale ? Ma vision de l’avenir démocratique des peuples occidentaux, blancs à l’origine, est absolument pessimiste. Quand je mets en regard l’accès aux mandats politiques de quelques personnalités avec leurs capacités réelles à faire rebrousser aux peuples européens le chemin qui les mène à leur suicide, je pense sincèrement que ces derniers n’ont aucun espoir de survivre
Lire la suiteTout l’Occident n’a plus ces instincts d’où naissent les institutions, d’où naît l’avenir : rien n’est peut-être en opposition plus absolue à son « esprit moderne ». On vit pour aujourd’hui, on vit très vite, — on vit sans aucune responsabilité : c’est précisément ce que l’on appelle « liberté ».
Lire la suiteComme les Russes, les Indiens, les Chinois, les Arabes ou les Africains… nous sommes des peuples qui ont le droit de retracer notre histoire. Il y a de la place pour tout le monde, et nous, Européens, gagnerons à nouveau le respect des autres peuples si nous le faisons. manifestons désormais notre rejet de la guerre, du génocide et de l’exploitation de l’autre.
Lire la suite« l’essence de la décision ultime reste impénétrable pour l’observateur et souvent, en vérité, pour le décideur lui-même… »
Lire la suiteL’honnête homme sceptique (complotiste ?), qui se cultivait jadis en lisant la presse de son choix, chaque jour, et la commentait avec ses amis, doit se muer en un honnête homme sceptique-complotiste de l’ère post-véridique qui se doit d’ingurgiter au moins quatre articles alternatifs par jour, selon ses centres d’intérêt et de les partager selon les divers modes offerts sur la grande toile. Il faut bel et bien partager et non pas cliquer « J’aime » comme l’immense majorité des zombis postmodernes. Le partage communautaire doit parier sur la viralité, amorce d’un pôle de rétivité qui transformera le sentiment de révolte, les révoltes, en courant prérévolutionnaire, antichambre d’une révolution qui laissera en plan les belles âmes, éliminera l’ennemi (en toutes ses variantes installées en nos sociétés depuis l’année fatidique de 1979). Cette révolution n’aura plus rien d’utopique.
Lire la suiteIl n’y aura pas de retour à l’« ancienne vérité », c’est-à-dire à la conception matérialiste et rationaliste de la réalité et aux critères de vérité fondés sur la correspondance positiviste entre le sens et le signifiant, comme nous le croyions dans la modernité. Il n’y aura pas et il ne peut y avoir de retour. Nous l’avons dépassée et, bien que nous soyons encore immergés dans la Modernité, nous n’y sommes pas arrivés de notre plein gré, mais nous avons été entraînés par l’Occident, qui nous a proposé de le suivre, mais nous ne pouvons pas le rattraper.
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