Pologne : Le gouvernement « conservateur » veut recruter 400 000 migrants non européens
Source : heimatkurier.at – 8 juillet 2023
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Jusqu’à présent, la Pologne a été un pays largement homogène sur le plan ethnoculturel, avec tous les avantages que cela comporte. Mais cela pourrait bientôt changer. Le gouvernement « conservateur » du PiS ne se contente pas d’extorquer des réparations à l’Allemagne, il entend aussi recruter chaque année 400 000 travailleurs immigrés originaires d’Asie et d’Afrique. Une décision fatale.
Le parti polonais PiS (Recht und Gerechtigkeit en allemand) est souvent décrit par la presse comme un parti nationaliste ou d' »ultra-droite ». Cependant, si l’on analyse la politique migratoire du parti depuis son arrivée au pouvoir, cette image devient considérablement erronée. En effet, le nombre de migrants non européens a augmenté immédiatement et régulièrement depuis l’arrivée au pouvoir des conservateurs. La Pologne risque de répéter l’erreur des pays d’Europe occidentale et de s’engager sur la voie politique de l’échange de population.
Première brèche dans la « forteresse Pologne ».
Après avoir pris les rênes du gouvernement en 2015, le PiS a rapidement commencé à utiliser des quotas de main-d’œuvre pour recruter des immigrants ciblés non européens et musulmans. En 2016, 3 700 de ces migrants ont été introduits dans le pays, contre un peu moins de 9 300 en 2017. Mais la tendance s’est accélérée depuis : L’année dernière, on comptait déjà 135 500 travailleurs migrants, principalement originaires du Moyen-Orient et du Caucase. Cela entraîne bien sûr une baisse de la sécurité publique en Pologne comme dans les autres pays européens pratiquants cette politique. Les migrants travaillent notamment pour des entreprises américaines comme « Uber » en tant que chauffeurs de taxi. Beaucoup en profitent pour agresser sexuellement les passagères.
Pas encore assez
Malgré cela, le PiS n’en a pas encore assez de l' »enrichissement culturel ». Il a récemment annoncé son intention de faire venir au moins 400 000 travailleurs migrants dans le pays chaque année. À l’avenir, les documents nécessaires seront délivrés par voie électronique et non plus à l’ambassade. Des pays comme le Nigeria, la Turquie, le Pakistan, le Viêt Nam et le Kazakhstan figurent sur la liste des bénéficiaires des quotas de main-d’œuvre simplifiés. Mais la résistance se forme déjà contre cette mesure. Le vice-président du parti d’opposition de droite « Konfederacja » a annoncé son intention de combattre les plans du PiS à tous les niveaux. La force motrice derrière ces plans de migration désastreux sont probablement les sociétés américaines telles qu’Uber. Elles sont avides de main-d’œuvre bon marché pour maximiser leurs profits.
Politique du PiS – Un examen critique
La ligne directrice officielle du parti au pouvoir est considérée comme chrétienne-conservatrice avec un caractère nationaliste. Actuellement, il est occupé à faire entendre sa voix à travers une politique anti-allemande. Il veut extorquer à l’Allemagne 1,6 trillion d’euros de réparations. Il s’agit d’une démarche polémique, pour laquelle le gouvernement organise des conférences internationales. La politique migratoire n’a pas grand-chose à voir avec le principe directeur officiellement proclamé. Depuis son entrée en fonction, la « migration de travail » africaine a augmenté à elle seule de plus de 3600 ( !) pour cent. Au lieu de représenter les intérêts de ses électeurs et du peuple polonais, le gouvernement, sous la pression économique, inonde le pays de migrants de remplacement en provenance d’Afrique et d’Asie.
Une conséquence de l’hégémonie américaine ?
Qu’est-ce qui se cache derrière tout cela ? Depuis hier, la Pologne entretient des liens transatlantiques étroits avec l’Occident et les États-Unis. Comme dans le cas du gouvernement Meloni en Italie, il ne reste plus grand-chose des « positions de droite » lorsque les liens avec les États-Unis se font à nouveau sentir. Par conséquent, le peuple polonais, de loin le plus pro-américain d’Europe, ressent lui aussi les effets négatifs de l’hégémonie américaine. Cet exemple montre une fois de plus que tout pays qui aligne sa politique de sécurité et ses fondements économiques sur Washington sera contraint de transformer sa société selon les principes américains.
L’ambassadeur des États-Unis décerne des prix LGBTQ
Il ne s’agit pas seulement d’échanges de populations et de migrations de remplacement, mais aussi de l’adoption de l’agenda dit « LGBTQ ». Par exemple, la société américaine « Uber » a récemment parrainé un étrange événement LGBTQ à Varsovie, au cours duquel l’ambassadeur des États-Unis a lui-même remis un prix. Le lauréat était une femme qui encourageait les enfants à subir une opération de changement de sexe. Le mépris américain pour d’autres valeurs n’est en aucun cas limité à la Pologne, mais constitue un phénomène international. Au Japon aussi, les politiciens occidentaux, les ONG et les grandes entreprises font de plus en plus pression sur le pays pour qu’il adopte l’agenda LGBTQ.
Les dépendances mondialistes doivent être brisées
Tant pour l’avenir du peuple polonais que dans l’intérêt de l’Europe dans son ensemble, il faut espérer que la résistance du parti « Konfederacja » aux plans du gouvernement sera couronnée de succès. Pour que les peuples européens puissent décider de leur propre destin, le rétablissement de leur propre souveraineté est indispensable. Pour ce faire, l’hégémonie américaine doit être brisée et l’obligation de suivre les indications politiques américaines abandonnée. De même, l’UE doit devenir une alliance véritablement européenne et remplir ainsi sa véritable mission : Représenter et défendre les intérêts et l’existence des peuples européens, au lieu de leur imposer une transformation mondialiste de la société.
les polonais vendent leur ême au diable pour un dévelopement material et une protection militaire. accepter les lgbt, la domination financière mondiale, l’immigration non-controlée peut paraître un moindre mal à l’élite polonaise mais le peuple polonais devra se soulever, sous peine de se faire manger comme l’a été le peuple irlandais.