Le traité de l’OMS sur les pandémies est mort – pour l’instant
Source : globalsouth.co – 25 mai 2024 – Peter Koenig
https://globalsouth.co/2024/05/25/whos-pandemic-treaty-is-dead-for-now/
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Traduction : Strategika
Peter Koenig est un analyste géopolitique et un ancien économiste principal à la Banque mondiale et à l’Organisation mondiale de la santé (OMS), où il a travaillé pendant plus de 30 ans. Il est l’auteur de Implosion – An Economic Thriller about War, Environmental Destruction and Corporate Greed et co-auteur du livre avec Cynthia McKinney « When China Sneezes : From the Coronavirus Lockdown to the Global Politico-Economic Crisis » (Clarity Press – 1er novembre 2020). Peter est chercheur associé au Centre de recherche sur la mondialisation (CRG). Il est également Senior Fellow non-résident de l’Institut Chongyang de l’Université Renmin de Pékin.
Le 24 mai 2024, lors d’une réunion de haut niveau précédant l’Assemblée mondiale de la santé (WHA) (17 mai – 1er juin 2024), à Genève, la direction de l’OMS et les principaux délégués des pays membres ont décidé d’abandonner – pour l’instant – le Traité sur les pandémies . Ce traité n’aurait eu aucune chance s’il avait été soumis au vote de l’Assemblée mondiale de la santé. Au lieu de cela, ils ont décidé de discuter lors de l’Assemblée de la suite à donner à ce traité mort-né.
Ici selon Le Monde et l’ AFP https://www.lemonde.fr/en/international/article/2024/05/25/pandemic-agreement-talks-end-without-a-deal_6672596_4.html# .
Sachez toutefois que cet article de presse ne donne pas les véritables raisons de la fin des négociations sur le traité sur les pandémies et sur les accords révisés du RSI. L’article cherche à ménager la chèvre et le chou, et surtout à éviter de mentionner la grande question de la tyrannie sanitaire potentielle que ces accords pourraient signifier pour le monde entier. Au lieu de cela, ils affirment que les négociations doivent se poursuivre, car le monde a besoin d’un « filet de sécurité » pour les futures pandémies.
Comme si le monde n’avait pas été capable jusqu’à aujourd’hui de faire face aux maladies et autres catastrophes de manière indépendante par des nations souveraines. Et en gérant en sauvant leurs économies de l’effondrement.
Il est clair qu’au cours des derniers mois, de nombreux gouvernements dans le monde, en particulier dans le Sud, mais pas exclusivement, se sont sentis plus que mal à l’aise à l’idée d’accepter ce que beaucoup ont appelé une dictature sanitaire de l’OMS – sous la forme d’un « One World Health » (OWH) – comme dans « one fits all » – semblable au gouvernement mondial ou à l’ordre mondial unique (OWG / OWO) que les mondialistes veulent imposer aux 8,1 milliards d’habitants de la planète.
Par ailleurs, il ne faut pas oublier que la priorité numéro un des mondialistes reste la réduction massive de la population mondiale. C’était l’une des principales raisons de l’agenda frauduleux du vaxx, et le nouveau traité sur les pandémies et le RSI révisé encourageront cette stratégie encore davantage.
Ceux qui poussent et ont poussé à la création d’un OWG / OWO dans le passé et avec une intensité croissante depuis le début de l’Agenda 2030 de l’ONU et de la Grande Réinitialisation du Forum économique mondial (WEF), veulent également une Santé mondiale unique (One World Health).
Cela signifie que le directeur général de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, aurait le pouvoir de décider de l’existence d’une pandémie et d’imposer les mesures préventives ou curatives à prendre …passant au dessus de la souveraineté de chaque pays.
De plus en plus de pays réalisent ce que cela signifie pour leur système de santé et, surtout, pour leur économie, surtout si l’on considère les confinements inutiles et les autres mesures imposées durant l’affaire covid, qui ont détruit l’économie et la société, ont provoqué des faillites, mais qui n’ont eu aucun impact sur la réduction des malades – si tant est qu’il y ait eu une « pandémie » réelle…
Ce que le covid et ses « mesures » tyranniques ont fait, c’est déplacer le capital du bas et du centre – les petites et moyennes entreprises – vers le haut, vers les multimilliardaires, les institutions financières primaires (Blackrock / Vanguard, Wall Street et al) et les entreprises technologiques, vers ce qu’on appelle les Sept Magnifiques (Alphabet, Amazon, Apple, Meta, Microsoft, Nvidia, Tesla).
Cette tendance se poursuit, surtout depuis que les riches et les puissants ont accès à l’intelligence artificielle (IA) pour accélérer le transfert de capitaux. Mais les hommes d’affaires et les politiciens ont également remarqué la destruction de leurs économies et s’en sont inquiétés, ce qui les a rendus plus attentifs à tout ce qui vient de l’OMS et du WEF.
Ce qui a peut-être déclenché le grand réveil, c’est que l’OMS elle-même n’a pas respecté ses propres règles constitutionnelles, à savoir envoyer la version finale de ces documents quatre mois avant l’Assemblée mondiale de la santé aux 194 pays membres, c’est-à-dire au plus tard le 27 janvier 2024.
Cela n’a pas eu lieu et n’a pas eu lieu jusqu’à l’ouverture du sommet.
Entre-temps, 49 sénateurs républicains américains ont écrit au président Biden pour lui demander de ne pas signer le traité / RSI ; et 22 procureurs généraux de leurs États américains respectifs ont fermement déclaré que leurs États n’adhéreraient à aucune des règles imposées par ces traités.
Ce seul fait constitue un message fort de la part des États-Unis et pourrait avoir influencé d’autres pays hésitant entre le oui et le non, à rejeter la proposition de l’OMS.
Voir aussi ceci : https://www.globalresearch.ca/who-health-tyranny/5856975 et cela: https://www.globalresearch.ca/slovak-pm-shot-gravely-injured/5857332 .
Ce qui se passera ensuite n’est que spéculation. Il est clair qu’ils ne lâcheront pas l’affaire. C’est ancré dans le caractère de la secte qui prétend régner sur le monde.
La prochaine étape pourrait être de présenter les traités/accords à l’Assemblée générale des Nations unies en septembre à New York, afin de susciter un débat plus large.
Il reste à voir ce qui en résultera.
Mais ce qui est important, c’est de ne pas rester les bras croisés en pensant que tout est fini. Ce n’est pas le cas.
Ces gens-là ne s’arrêteront pas. Nous, le peuple, DEVONS sortir de ces organisations et prendre un nouveau départ, quelle que soit la forme qu’il prendra. Il ne faut plus faire confiance à nos gouvernements et à leurs institutions – WEF, OMS, ONU, Finance, Pharma et surtout les « Sept Magnifiques ». Nous n’avons pas besoin d’un monde entièrement numérisé, qui réduise l’humanité à l’esclavage – jamais.
