Candace Owens accuse le sionisme de l’assassinat de JFK et d’être derrière l’affaire de l’USS Liberty

Source : reseauinternational.net – 3 février 2025

https://reseauinternational.net/candace-owens-accuse-le-sionisme-de-lassassinat-de-jfk-et-detre-derriere-laffaire-de-luss-liberty/

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Candace Owens a révélé des informations chocs lors d’un Space sur X, risquant sa vie pour aborder des sujets extrêmement tabous. Elle déclare que «nous vivons dans une nation occupée» où parler de certains sujets peut être mortel.

Des sujets interdits, des vérités cachées : Candace Owens brise le silence.

Elle évoque la gangrène du sionisme, qui a corrompu tout le pays (à ne pas confondre avec le judaïsme de la Torah). Elle aborde également l’assassinat de JFK par le Mossad, l’USS Liberty et d’autres sujets sur lesquels il est quasiment interdit de poser des questions.

Candace Owens critique l’inaction des hommes et affirme qu’elle est prête à être la première femme à porter ce combat, même au risque de mourir sur le champ de bataille, pour dénoncer la pédophilie, normalisée par l’influence sioniste.

https://twitter.com/sylviamiami1776/status/1825097053770277362

Dans l’assassinat de Kennedy, il n’est finalement pas intéressant de se focaliser sur celui que l’on considère comme le tueur, Lee Harvey Oswald, mais plutôt de se demander pourquoi Jack Ruby, de son vrai nom Jacob Rubenstein, d’origine juive polonaise, a assassiné Lee Harvey Oswald. Le problème, c’est que lorsqu’on cherche, on trouve. Jacob Rubenstein était lié à la fois à Meyer Lansky, chef du réseau juif qui dominait le Syndicat du crime, et à Menahem Begin, ancien dirigeant de l’Irgoun, une organisation armée de la droite sioniste en Palestine.

Avec la mort de Lee Harvey Oswald, plus aucune possibilité d’explication ni de procès : affaire classée. La dernière question que se pose tout enquêteur sérieux est : à qui profite le crime ?

Le président de la République Française, Charles de Gaulle, présent aux funérailles, déclare à son retour en France :

«Ça a l’air d’une histoire de cow-boys mais c’est une histoire d’OAS. La police est de mèche avec ultras (…). Ils se sont saisis de ce communiste qui n’en était pas un, tout en l’étant. C’est un minus habens et un exalté. C’était l’homme qu’il leur fallait. Un merveilleux accusé (…). Ils le gardaient en réserve ! (…). On ne pouvait pas le descendre sans une autre forme de procès. Mais un procès, vous vous rendez compte, c’est épouvantable. Des gens auraient parlé. On aurait remué des choses ! Alors la police est allée chercher un indicateur qui n’avait rien à lui refuser et qu’elle avait parfaitement en main et ce type s’est dévoué pour tuer le faux assassin sous prétexte qu’il fallait défendre la mémoire de Kennedy ! C’est de la rigolade ! Toutes les polices du monde se ressemblent quand elles font de basses besognes».

Source originale : Le Média en 4-4-2

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