Du pain, des jeux et des coups : la dérive d’une société brutalisée
Source : edition.francesoir.fr – 25 mai 2025 – Xavier Azalbert
https://edition.francesoir.fr/opinions-editos/du-pain-et-de-jeux
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Dans une vidéo et des images où l’on distingue une manche rouge, telle que celle portée par Brigitte Macron, celle-ci semble asséner un coup de poing à son époux le président de la République, à bord de l’avion présidentiel.
Cet incident soulève des questions brûlantes : Brigitte Macron, dont l’identité de genre est questionnée et qui a mené Emmanuel Macron à déclarer à un journaliste avoir subi une dépression, a-t-elle pris des cours de MMA ? Plus gravement, ce geste porte-t-il atteinte à l’intégrité du chef de l’État ? Même si l’Elysée s’est évertuée à désamorcer le coup en parlant d’un moment de « décompression et de complicité», cet acte pose de vraies questions, d’autant plus que dans le monde de l’entreprise et du coaching, on apprend à ne pas transporter ses problèmes privés dans la sphère professionnelle. Ne devrait-il pas en être de même au sommet de l’État, où la solennité de la fonction exige un comportement exemplaire ? Cette scène, qui oscille entre violence et dérive personnelle, résonne étrangement avec le sujet de cet édito : l’institutionnalisation de la brutalité dans notre société.
Un coup en Asie en 2025 qui résomme comme le cri dans l’octogone en 2024
Le 28 septembre 2024, à Paris, un combattant brésilien, encore haletant d’un combat acharné de MMA, crache sa rage en mondovision : « F*ck Macron ! F*ck les mondialistes ! ». Une saillie brutale, mais un éclair de lucidité. Il enchaîne, « Ils essaient d’imposer un agenda politique corrompu. Si la politique et l’économie vous intéressent, je vous invite à lire « Démocratie : le dieu qui a échoué » de Hans-Hermann Hoppe. Vous comprendrez alors, je l’espère, que la démocratie est une illusion. La démocratie n’est pas le vrai gouvernement. Donc lisez Hans-Hermann Hoppe, et vous comprendrez pourquoi le monde est devenu fou aujourd’hui. ».
Ce n’est pas qu’un coup de gueule. C’est un révélateur. Le MMA, ou Mixed Martial Arts (arts martiaux mixtes), n’est pas un simple sport. C’est le miroir d’une société en chute libre, orchestrée par des élites qui nous veulent abrutis, divisés, soumis. Comment en est-on arrivé là, à glorifier des cages où s’entredéchirent des hommes, des femmes, et même des enfants ?

Le MMA : un monstre moderne
Le MMA, né officiellement le 12 novembre 1993 lors de l’UFC 1 à Baltimore, est un cocktail explosif de disciplines : boxe, jiu-jitsu brésilien, lutte, muay-thaï, karaté, judo. Géré par l’Ultimate Fighting Championship (UFC), une machine à cash brassant près d’un milliard de dollars par an, ce sport attire 600 millions de téléspectateurs pour ses grands événements. Dans « l’octogone », cette cage à huit côtés, tout est permis ou presque : coups de poing, de pied, de genou, étranglements, clés de soumission. Seuls les coups à la gorge, aux parties, aux yeux ou à l’arrière du crâne sont interdits. Le reste ? Une orgie de violence, où le sang gicle sous les hurlements d’une foule en transe.
Mais le MMA ne se contente pas des adultes. Aux États-Unis, la United States Fight League autorise des compétitions dès 8 ans. En France, la Fédération Française de MMA (FMMAF) ouvre ses tournois aux adolescents dès 12 ans (catégorie U14), et des clubs proposent du « Baby MMA » pour des gosses de 3 ans ! FMMAF Code Sportif. Des gamins s’étranglent, se fracassent, sous les regards fiers de parents galvanisés. En 2016, João Carvalho, 28 ans, s’effondre après un combat à Dublin. Mort cérébrale. Un drame noyé dans l’euphorie des foules. Le MMA, c’est le Colisée 2.0, sans les lions… pour l’instant.

La glorification de la violence
Le MMA n’est pas un accident. Il prolonge l’abrutissement des masses entamé il y a 40 ans par les jeux vidéo de combat. Des générations entières, dès l’enfance, se gavent de Mortal Kombat ou de Street Fighter, où des avatars s’éventrent dans un déluge de coups. Une étude de Craig Anderson (2010) montre que ces jeux violents accroissent l’agressivité chez les jeunes. Les parents, eux-mêmes biberonnés à ces jeux, les transmettent à leurs gosses, bouclant la boucle d’une dégénérescence transgénérationnelle. Le père cogne virtuellement avec son fils, la mère applaudit, et tous s’habituent à la violence comme exutoire. Et tout cela quand les femmes ne prennent pas les coups réellement.
Le MMA, c’est cette glorification portée dans la vraie vie. Une violence réelle, bestiale, où des femmes se défigurent à coups de pied YouTube, où des ados s’étripent sous les beuglements d’un public en rut. Soyons clairs : apprendre à se défendre, pour une femme ou un jeune, est légitime. Tabasser un agresseur jusqu’à ce qu’il renonce à l’idée même de récidiver, pourquoi pas ? Mais quand des adolescentes se brisent les os pour le plaisir d’une foule hystérique, quand des parents s’enorgueillissent de voir leur gamin de 10 ans jouer les gladiateurs, c’est autre chose. C’est l’institutionnalisation de la barbarie, un retour à l’état animal savamment orchestré.
Les élites et leur cirque
Et qui tire les ficelles ? Les élites mondialistes, bien sûr. Le MMA, comme le wokisme ou la télé-réalité, est un outil pour détruire la société traditionnelle. Pourquoi ? Parce qu’un peuple abruti, hypnotisé par le spectacle du sang, ne se révolte pas. Comme le « dupain et jeux » des Romains, le MMA canalise la colère populaire, la vide dans l’octogone pour que les puissants dorment tranquilles. Guy Debord l’avait vu venir : dans La Société du spectacle, il décrivait un monde où le divertissement noie la pensée critique. Aujourd’hui, l’UFC est la star de ce show, pendant que l’école et les médias tirent la culture vers le bas et que les réseaux sociaux achèvent le boulot.
Revenons au combattant brésilien. Pourquoi tant de haine contre Macron ? Parce qu’il incarne cette élite déconnectée, cette « démocratie » bidon qui trahit le peuple. Depuis son élection le 14 mai 2017, Emmanuel Macron a saccagé la solennité de sa fonction. Ses éructations ordurières – « J’ai très envie d’emmerder les non-vaccinés », « Ça m’en bouge une sans toucher l’autre » – ont choqué. Pire, après le cyclone Chido, il hurle aux Mahorais dévastés : « Si ce n’était pas la France, vous seriez dix mille fois plus dans la merde ! », avant d’oser ajouter : « Alors il faut que tout le monde se respecte. » L’hypocrisie à son sommet. Et que dire de son comportement ? Ses étreintes forcées avec des sportifs, les sifflements au stade de France, son délire frénétique lors de la finale de la Coupe du Monde 2022, ont fait jaser. Sur X, dans les rédactions, beaucoup se sont demandés : était-il shooté, sous l’emprise de stupéfiants ou autres, pour gesticuler comme un possédé ? Je me suis même interrogé si « Macron était malade » ou encore s’il n’avait pas « rendu les Français malades avec la maltraitance institutionnelle de la population ? » Toutes ces frasques, applaudies par les mondialistes, attisent la rage d’un peuple humilié, une rage que le MMA transforme en spectacle. Pour Macron, c’est au choix :: le « show must go on » ou le Bernard Madoff de la politique française qui fait disparaitre les millions plus vite qu’un mouchoir sur une table dans un train, lors de son retour de Kiev, pour une énième représentation du cirque Macron.
Une humanité dénaturée
Le pire ? Le MMA tord la nature humaine. Non, l’homme n’est pas fait pour s’égorger et trouver ça génial. Notre essence, c’est la solidarité, l’entraide, la collaboration. Sans ces valeurs, les 8 milliards d’humains que nous sommes n’auraient jamais survécu aux dangers de nos débuts. Nos ancêtres, armés de bouts de bois, n’ont triomphé qu’en s’organisant en groupes soudés, dirigés par des chefs légitimes et compétents. Mais aujourd’hui, nos « élites » – sortis d’usines à traîtres comme l’ENA ou Sciences-Po – sont tout le contraire. Illégitimes, incompétentes pour le bien commun, elles excellent à servir les intérêts des puissants. Depuis Sarkozy, Hollande et surtout Macron, la France s’effondre : faillite économique, cohésion nationale pulvérisée, culture en lambeaux. Diviser pour régner et abrutir par la violence : voilà leur recette.
Assez du cirque ! Du pain et des jeux…
Rien n’est perdu tant qu’on respire. Mais il est temps de réagir. Le MMA n’est pas une fatalité, pas plus que cette société dégénérée qu’on nous impose. Oui, le MMA forge la discipline, le courage. Mais à quel prix ? Quand des gosses de 8 ans s’étranglent pour divertir des foules, quand la violence devient le seul langage d’un peuple trahi, c’est la fin de l’humanité. Alors, citoyens, réveillons-nous ! Exigeons des lois pour protéger nos enfants : interdiction des combats MMA avant 16 ans, comme en Suède. Éduquons nos jeunes à la critique, pas à la sauvagerie. Remplaçons les jeux vidéo violents par des activités qui unissent. Et, surtout, chassons ces élites qui nous mènent au chaos.
J’en profite aussi pour vous signifier avoir saisi la CADA d’une demande que les bulletins de santé du président soient communiqués ou établis. Le Dr Perrochon, médecin du président, a aussi été alerté de cette demande en réservant mes droits de mettre en cause sa responsabilité civile et professionnelles dans cette affaire.
Eh oui ! Le Dr Perrochon n’a pas aidé le président Macron à satisfaire aux engagements, qu’il avait pris envers les Français lors de ses campagnes de 2017 et 2022, de communiquer ses bulletins de santé.
Et cela il ne peut pas l’ignorer. N’est-il point temps que cesse le cirque ?
Des moyens légaux existent : usons-en. Si les lois bloquent, forçons nos institutions à les changer pour que le peuple impose sa volonté à ses dirigeants à tout instant, et non l’inverse. Hommes et femmes de bonne volonté, battons-nous !
Pas dans une cage, mais dans les urnes, dans la rue, pour un avenir où la solidarité triomphe, où l’humanité retrouve sa grandeur. Car c’est là, et nulle part ailleurs, que se joue le vrai combat.
« La violence ne vit pas seule, elle est incapable de vivre seule : elle est intimement associée par le plus étroit des liens naturels au mensonge. La violence trouve son seul refuge dans le mensonge, et le mensonge son seul soutien dans la violence. » (A. Soljenitsyne)
Du Pain et des Jeux… vidéo : « Bit » Génération
« Big Brother 2.0 » ou l’Identité numérique et « les 3 grands marchés » (avec l’aide de certains développements de Philippe Guillemant : physicien quantique, spécialiste en Intelligence Artificielle et en identification numérique).
Le traçage GPS actuel et la technologie qui l’environne, ne permettent pas encore à « Big Brother » de savoir ce que vous faites et avec qui vous le faites, c’est-à-dire « calculer » avec précision votre comportement en temps réel.
En effet, Le GPS qui n’est précis qu’entre 1 et 10 m ne permet pas de faire des analyses comportementales précises, des prédictions, etc.
Avec le grand marché des objets connectés, le traçage par « Big Brother », via la 5G, va pouvoir rendre cela avec infiniment plus de précisions. Grâce au numérique, il sera possible de localiser quelqu’un et de détecter ses mouvements à 1mm près, et à partir de là, et les progrès de la technologie aidant, être capable de tout savoir sur un individu, ce qu’il fait, où il le fait, quand il le fait, avec qui elle le fait, etc.
Partout où il y aura la possibilité de consommer quelque chose, il y aura des objets connectés : dans les rues, dans les maisons, sur les lieux de travail, dans les boutiques, les véhicules, etc., Ainsi, les appareils connectés pourront vous aider à trouver tout ce que vous cherchez et, ainsi, vous « simplifieront » la vie… Mais la condition pour pouvoir bénéficier de l’aide d’un appareil connecté ne se fera que si vous portez sur vous un identifiant numérique qui soit reconnu automatiquement (puces, tatouage, etc.).
À partir de là, plus besoin de réfléchir, de penser, de faire le moindre effort intellectuel, puisque que la machine le fera pour vous.
Résultat : Plus aucune initiative et in fine, d’autonomie. Le pire c’est que c’est vous qui le solliciterez, du moins une majorité d’entre vous, parce que ça rendra énormément de services, surtout aux naïfs et aux paresseux, mais aussi, peut-être, aux hommes de valeur, traumatisés par le rythme infernal du modernisme, et en voie d’élimination.
Ainsi, le grand marché des objets connectés est financièrement plus important que celui de la vaccination.
L’autre grand marché est celui de la vaccination, parce que l’on voit bien poindre à l’horizon le fait que chacun devra être vacciné (tous les ans voire plusieurs fois par an), afin de s’assurer qu’une identité numérique, une « marque » vous a été attribuée, au moins par ce biais ; la mise en place, par vaccin interposé « scientifiquement correct », de cette identité numérique permettra d’empêcher tout individu qui n’est pas vacciné de pénétrer dans certains lieux, d’avoir accès à certains produits, etc.
Enfin, le dernier grand marché de l’identité numérique c’est celui qui est lié au système financier dont tout le monde sait (normalement) qu’il est totalement corrompu, qu’il ne repose sur aucune valeur réelle (production, travail, etc.), et est en voie d’effondrement total.
Pour « rebooter » ce système, lorsque le processus des identités numériques sera en place, celles-ci pourront être gérées directement par une banque centrale qui vous permettra de vous réserver un segment sur un « cloud » qui correspondra à tout ce que vous aurez (éventuellement) le droit d’acheter ou de vendre. Rappelons que le paiement « sans contact » est actuellement plafonné parce que cette technologie, qui n’est pas encore en place, représente un risque pour les banques.
Après l’adhésion satisfaite d’une myriade de « fidèles », tout d’abord « libérés », puis « branchés », ensuite « câblés », et aujourd’hui « connectés », voici venu le temps des « transhumanisés ».
Au sujet du transhumanisme, de cybernétique et autres AI, Liliane Held-Khawam, dans « L’humanité vampirisée », parle de « golémisation » des masses. Cette « golémisation » des masses « qui est à nos portes, dit-elle, permettrait au petit nombre détenteur de l’ensemble des richesses terrestres de dominer et surtout de contrôler l’humanité, et la vie en général. Si notre hypothèse devait être vérifiée, ajoute t-elle, nous serions face à un génocide planétaire d’une ampleur surnaturelle ; nous considérons que le fait de forcer la main à des populations pour leur faire changer leur nature sans leur consentement relève du génocide. »
NB : Liliane Held-Khawam, dans son ouvrage « Coup d’Etat Planétaire », écrit : « La technologie 5G permettrait de nouvelles applications pour l’industrie, les services publics, et les utilisateurs privés. La 5G va par exemple permettre au système d’accumuler des quantités massives de données issues de l’internet des objets. Swisscom prend sur son site l’exemple d’un parc de machine réparti dans le monde avec des centaines de capteurs dans chaque machine. La mise en réseau des machines permet un contrôle en temps réel du processus de production, ce qui donne la possibilité d’obtenir des pronostics de défaillances. Ce qui vaut pour la machine, vaut pour l’humain. La 5G permettra de surveiller les habitants de la terre à chaque instant de leur vie, comme l’avait annoncé Brzezinski. Le modèle sociétal a prévu que le citoyen fasse l’objet de surveillance continue. Pour cela, il faut que la moindre de ses activités passe par le web. Grâce à la 5G, l’internet des objets va venir compléter la surveillance à laquelle il est déjà soumis à travers son ordinateur, téléphone, télévision, voiture ou carte bancaire. C’est dans cette stratégie imposée du tout numérique que les États sont sommés à prendre le virage de la dématérialisation de leurs services. La Commission européenne, en véritable chef d’orchestre, a multiplié les directives au sujet du numérique. Un document suisse nous explique que “la mise en place d’un Marché Unique Numérique (MUN) est un objectif prioritaire de l’actuelle Commission.” »
À toutes fins utiles, rappelons que les Commissaires européens sont nommés (non élus) à la Commission européenne par les chefs d’État ou de gouvernement des États membres, c’est-à-dire en réalité par les « puissances d’argent » qui ont financé leurs campagnes, et sont donc sous le contrôle de l’oligarchie, dans leurs pays respectifs.
L’apport constant de la « Technologie Electronique » devrait assurer l’Oligarchie psychopathes, c’est-à-dire « Deep State » dans ses rouages les plus profonds, de tous les moyens pour ficher, identifier, et contrôler tous les individus des populations de l’Occident. Quant à ceux qui ne représenteront aucune « Rentabilité Exploitable » pour elle, celle-ci veillera à ce qu’ils s’éliminent d’eux-mêmes à travers tous les empoisonnements « scientifiquement corrects », et les guerres intestines locales qu’elle aura pris soin de faire éclater ici et là en leur ayant servi, et de la « Chute de l’Economie » des États-Nations, et des « Oppositions et des Revendications » des divers groupes composant ces mêmes États.
Lien : https://livresdefemmeslivresdeverites.blogspot.com/2017/07/introduction-livres-de-femmes.html