L’ère du fermage massif de matériel génétique humain

Le refus de tests RT-PCR par des officiels et son imposition sur des particuliers soulève un peu plus qu’une simple question d’éthique. Les principaux officiels gérants la crise COVID dans les pays occidentaux ont refusé systématiquement de se soumettre à des tests RT-PCR pour se prémunir du vol de leur échantillons ADN mais l’on imposé à leurs populations respectives en tant que mesure sanitaire. Outre l’aspect mercantile des tests RT-PCR et autres, pudiquement baptisés antigéniques, ces outils sont donc liés à la collecte de matériel génétique et non à un quelconque diagnostic. En termes plus bruts, la pandémie a été une occasion rêvée pour la collecte forcée et massive de matériel génétiques à des populations non consentantes en temps normal mais trompées sur l’usage et la destination de cette collecte. Cela explique en partie pourquoi le président Emmanuel Macron et son proche entourage ont refusé de se soumettre à un test RT-PCR ou à un test antigénique lors de son déplacement en Fédération de Russie. Ils ne sont pas les seuls. Ils savent que ces « tests » sont des moyens de collecte d’ADN à des fins non médicales.

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Le CDC admet que la « pandémie de Covid » était le produit d’un test inapproprié

Discrètement, sans l’attention des médias, les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) ont retiré le processus PCR comme test valide pour la détection et l’identification du SRAS-CoV-2.
Les CDC admettent que le test PCR ne peut pas différencier le SRAS-CoV-2 des virus de la grippe.
Il est extraordinaire que le retrait du test par le CDC n’ait reçu aucune attention de la part des médias ou des politiciens.

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Tests PCR : “Les prélèvements nasopharyngés ne sont pas sans risque”, avertit l’Académie Nationale de Médecine

Si certaines complications peuvent être considérées comme bénignes (désagrément, douleur ou saignement), de graves complications commencent à être décrites dans la littérature médicale depuis quelques semaines, notamment des brèches de l’étage antérieur de la base du crâne associées à un risque de méningite.

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