L’ère du fermage massif de matériel génétique humain

Le refus de tests RT-PCR par des officiels et son imposition sur des particuliers soulève un peu plus qu’une simple question d’éthique. Les principaux officiels gérants la crise COVID dans les pays occidentaux ont refusé systématiquement de se soumettre à des tests RT-PCR pour se prémunir du vol de leur échantillons ADN mais l’on imposé à leurs populations respectives en tant que mesure sanitaire. Outre l’aspect mercantile des tests RT-PCR et autres, pudiquement baptisés antigéniques, ces outils sont donc liés à la collecte de matériel génétique et non à un quelconque diagnostic. En termes plus bruts, la pandémie a été une occasion rêvée pour la collecte forcée et massive de matériel génétiques à des populations non consentantes en temps normal mais trompées sur l’usage et la destination de cette collecte. Cela explique en partie pourquoi le président Emmanuel Macron et son proche entourage ont refusé de se soumettre à un test RT-PCR ou à un test antigénique lors de son déplacement en Fédération de Russie. Ils ne sont pas les seuls. Ils savent que ces « tests » sont des moyens de collecte d’ADN à des fins non médicales.

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