L’Union Européenne fait pression pour un passeport vert numérique

Source : medias-presse.info – Francesca de Villasmundo – 2mars 2021 https://medias-presse.info/lunion-europeenne-fait-pression-pour-un-passeport-vert-numerique/140426/

C’était, dans un passé récent, une théorie des complotistes, vilipendée par la conscience morale universelle et la bien-pensance covidienne qui n’avaient de mots assez durs pour diaboliser ceux qui osaient hypothéquer sur une obligation vaccinale détournée via un passeport vert, sésame pour un retour « à la vie normale ».

Aujourd’hui, la théorie complotiste devient réalité : l’Union Européenne veut imposer un passeport vert numérique appelé Digital Green Pass pour les déplacements de travail ou de vacances, au nom de la « sécurité de tous ». Ce qui signifie en clair que le vaccin sera obligatoire pour pouvoir voyager.

Un projet qui présente de nombreux obstacles, compte tenu des nombreux sceptiques en France, en Allemagne et aussi en Italie qui ont déjà déclaré qu’ils ne recevraient pas d’injection de sérum. Pour eux qu’en sera-t-il ? Et qui garantira le secret des données médicales ?  Et puis il y a un autre problème objectif : tous les pays n’ont pas encore des doses suffisantes. Bien sûr, dans les mois à venir, des livraisons de millions de doses sont prévues mais vacciner tout le monde prend du temps. « Préparez-vous à une campagne de masse », exhorte alors une Union européenne qui rêve passeport numérique au plus vite.

« La proposition sera présentée d’ici mars », a annoncé Ursula von der Leyen, la présidente de la Commission européenne. « Ce mois-ci, nous présenterons une proposition législative pour le laissez-passer numérique. Le but est de certifier que les personnes ont été vaccinées, ou de préciser les résultats des tests de ceux qui n’ont pas pu se faire vacciner. » Le système « respectera la protection, la sécurité et le caractère privé des données personnelles la protection des données, la sécurité et la vie privée », assure la présidente de la Commission européenne sur Twitter en anticipant les voix critiques.

« Le green pass covid facilitera la vie des Européens. L’objectif est de leur permettre, progressivement, de se déplacer en toute sécurité dans l’UE ou à l’étranger, pour le travail ou le tourisme », a-t-elle souligné.

Ce passeport vert « sera une proposition législative. Ce ne sera donc pas facultatif, mais aura la valeur d’un instrument juridique basé sur les traités de libre circulation. Une fois présentées aux dirigeants, lors du sommet du 25 mars, sur cette base les mesures seront prises pour organiser la vraie mobilité », a ajouté la vice-présidente de la Commission européenne, Margaritis Schinas. Le porte-parole de la Commission européenne, Eric Mamer, a expliqué que l’exécutif travaille sur une proposition juridique visant à « faciliter la libre circulation en toute sécurité dans l’UE ».

L’objectif est que le laissez-passer soit en vigueur dans trois mois ou en été. « Le passeport concernera les déplacements entre une frontière et une autre, mais pas ce qui peut être fait avec le laissez-passer au sein de l’État membre », a déclaré le porte-parole.

Pour éviter la « discrimination », seuls 5% des Européens ont été vaccinés à l’heure actuelle, ce passeport vert contiendra également les résultats de tous les tests ou l’immunité réussie après la maladie du covid. Le laissez-passer vaccinal sera basé sur des certificats médicaux de vaccination sur lesquels les États membres se sont déjà accordés. Les lignes directrices sur les données qu’elles contiendront ont déjà été approuvées en janvier, et il faudra désormais trois mois pour les travaux techniques. La présidente de la Commission européenne a insisté sur l’importance de « développer une approche européenne » du système de passeport vaccinal. « Si nous n’y parvenons pas, les initiatives bilatérales » des États membres « créeront encore plus de difficultés » et même de grandes entreprises comme « Google et Apple sont prêtes à proposer des solutions à l’OMS ».

Alors, l’obligation de la vaccination pour tous, une théorie du complot ? Car l’on a beau alors torde les mots dans tous les sens, ce projet de passeport vert numérique vise bien à une obligation vaccinale détournée pour travailler et voyager. Et au fil des mois, il est fort probable que ce laissez-passer covidien deviendra tout autant obligatoire pour aller au restaurant, au cinéma, dans une salle de sport, pourquoi pas les magasins, les universités et autres lieux publics…  Et ceci n’est qu’une énième « théorie complotiste », qui a de fortes chances de se réaliser.

Bienvenue dans le “meilleur des monde” d’après !

Francesca de Villasmundo

Une pensée sur “L’Union Européenne fait pression pour un passeport vert numérique

  • 4 mars 2021 à 4 h 15 min
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    « L’Union Européenne fait pression pour un passeport vert numérique »
    Ne soyez pas naïfs !
    En réalité, les Etats occidentaux n’existent plus car ils ont été privatisés lorsque le contrôle de leurs monnaies est tombé dans les mains des banquiers privés, ce qui explique, en Europe, l’apparition des institutions européennes, qui ne sont que la formalisation politique (traités de Maastricht et Lisbonne) de cette capture des règles d’organisation des peuples par des intérêts privés.
    Depuis le XVIIIème siècle, les principaux banquiers sont étroitement interconnectés entre eux et ont des intérêts communs et liés. Les activités de ces banquiers sont structurellement internationales, leurs intérêts pouvant être qualifiés d’apatrides, ou plus exactement de supranationaux, en ce sens qu’ils n’ont aucun rapport avec un quelconque « intérêt national » au sens culturel et géographique du terme « national ».
    Tant que le destin des monnaies restera l’apanage des banquiers mondialisés, et continuera en conséquence à échapper aux peuples qu’elles contraignent, nous assisterons à la continuation de la mise sous tutelle financière, économique, juridique et politique de ces derniers.
    Pour ceux qui l’auraient oublié, cette vérité a été directement précisée par l’un des fondateurs de l’oligarchie financière : « Donnez-moi le contrôle de la monnaie d’une nation et je n’aurai pas à m’occuper de ceux qui font les lois » (Mayer Amshel Rothschild).
    Si l’on retourne aux fondamentaux, il apparaît en effet que la monnaie, et son pendant qu’est la dette, conjuguée au principe de l’entreprise anonyme qu’elle a juridiquement autorisé à se mettre en place, sont les armes du servage d’aujourd’hui au même titre que l’épée et la lance étaient celles du servage d’hier.
    NB :
    Les USA et ses alliés ne sont plus depuis le début du XXème siècle gouvernés par ce qu’on appelle un phénomène politique, qui représente l’intérêt commun, mais par un cartel d’entreprises dirigé par les principales banques globales d’investissement qui ont leur quartier général, depuis Oliver Cromwell, à la City de Londres. Précisons à propos des USA que la Réserve fédérale, la « FED », est née, en 1913, des menées des banquiers globalistes, dont le noyau dur se trouvait à Londres ; menées auxquels les intérêts Rothschild, notamment via le banquier Warburg, n’étaient pas étrangers. Précisons à propos de la « FED » que trois personnalités de premier plan étaient opposées à la création de cette banque centrale américaine : Benjamin Guggenheim, Isidor Strauss et Jacob Astor. Ils périront dans le naufrage du Titanic… en 1912.
    L’une des méthodes employées depuis plus d’un siècle par ces escrocs économiques pour faire de la guerre un « business », et accroitre leur mainmise sur la planète est le « casus belli » : 1898 avec le Maine, 1915 avec le Lusitania, 1941 avec Pearl Harbor, 1964 avec les incidents du golfe du Tonkin, 2001 avec le « 9/11 »,… Who’s next ?
    Blog : https://livresdefemmeslivresdeverites.blogspot.com/

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