Enquête sur l’activité des navires-ONG (partie II) : Jugend Rettet vs Frontex

Troisième partie de notre série : “Pêcheurs d’hommes” : enquête sur l’activité des navires-ONG en Méditerranée centrale

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Découvrez la « plus téméraire » des organisations immigrationnistes : « sauvetages » au plus proche des
côtes libyennes et pieds de nez aux autorités, « La jeunesse qui sauve » est lancée en 2015 et est un
produit de la gauche étudiante radicale allemande.

C’est en 2017 qu’elle va démontrer tout son zèle en ce qui concerne les « opérations de secours » au point d’alerter l’agence Frontex et de forcer le gouvernement italien de l’époque, pourtant de centre-gauche, à intervenir.

Cette ONG, qui a depuis quelques ennuis avec la justice italienne et dont le bateau est placé sous
séquestre, peut compter sur des soutiens de taille comme celui du très influent couple formé par Maria Furtwangler et le magnat de la presse allemande Hubert Burda, que l’on retrouve chaque année à Davos en tant qu’organisateur de l’une des fêtes les plus exclusives qui ont lieu en marge du forum.
C’est aussi Jugend Rettet qui a « révélé » la fameuse capitaine Pia Klemp passée ensuite chez Sea-Watch et maintenant sur le « Louise Michel » et ce, malgré sa mise en examen. Echange d’équipage ou de bateau, c’est un véritable « mercato » des ONG qui sera mis en lumière au fil des prochaines sorties du dossier.

Jugend Rettet inaugure également la longue liste des ONG allemandes présentent sur la route de Méditerranée centrale : une surreprésentation qui interroge et qui fera l’objet d’une étude spécifique.

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