Le gouvernement néo-zélandais a exempté l’élite des vaccins contre le « mortel » virus Covid, tout en imposant le vaccin au public

Source : thepeoplesvoice.tv – 4 octobre 2023 – Baxter Dmitry

https://thepeoplesvoice.tv/new-zealand-govt-exempted-elite-from-deadly-covid-jabs-while-forcing-vax-on-public/

Traduction : Strategika

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Le ministère néo-zélandais de la santé a accordé des exemptions de vaccin à des membres clés de son personnel tout en mettant en place, de manière hypocrite, les obligations vaccinales les plus draconiennes au monde et en insistant pour que le public soit vacciné.

Les hypocrites exemptions de vaccin pour l’élite ont été accordées par le gouvernement de l’ancienne première ministre Jacinda Ardern avant qu’elle ne démissionne et n’accepte un nouveau rôle en tant que « tsar de la désinformation » du Forum économique mondial.

La décision d’Ardern de permettre à l’élite de refuser le vaccin tout en l’imposant aux gens normaux a été révélée par une demande de l’Official Information Act (OIA) HNZ00023978 datée du 2 août 2023 qui posait la question suivante :

« Selon la législation en vigueur en 2021, il existait des exemptions opérationnelles pour les personnes qui ne se faisaient pas vacciner contre le Covid 19. Votre site web décrit le processus de demande d’exemption opérationnelle en vertu de la clause 12a. Combien de demandes ont été reçues ? Combien ont été approuvées par le ministère ?

Matt Hannant, directeur intérimaire de la prévention, service national de santé publique, Te Whatu Ora a répondu :

« Du 13 novembre 2021 au 26 septembre 2022, un total de 478 demandes d’exemption pour interruption de service significative (SSD) ont été reçues. 103 demandes ont été acceptées, couvrant environ 11 005 travailleurs. Veuillez noter qu’il n’est pas possible de fournir le nombre exact de travailleurs couverts par les SSD. En effet, il était possible pour une organisation de soumettre une demande pour couvrir plus d’un travailleur.

Combien de membres du personnel du ministère de la santé et de contractants associés ont-ils bénéficié des exemptions vaccinales ?

Guy Hatchard rapporte : Je me suis renseigné et j’ai constaté que certains membres du personnel étaient prêts à divulguer des informations. Une source m’a dit que 95 consultants de la seule région de Dunedin ont bénéficié d’exemptions vaccinales. Une autre source a fait état d’un groupe de médecins travaillant dans le Northland qui se sont arrangés entre eux pour ne pas être vaccinés. Il semblerait que le total se chiffre en centaines, voire plus.

Il semble que les personnes bénéficiant d’exemptions aient été contraintes par des injonctions de silence. En d’autres termes, elles ne pouvaient dire à personne qu’elles avaient obtenu une dérogation – il s’agissait d’un processus secret que le ministère de la santé tenait à cacher au public.

En tout état de cause, tout médecin conseillant à un patient que la vaccination par l’ARNm Covid pouvait être risquée s’exposait à des mesures disciplinaires et nombre d’entre eux ont même été suspendus.

Le personnel médical s’est donc laissé manipuler dans une position où, s’il n’était pas lui-même vacciné, il devait néanmoins conseiller à ses patients de se faire vacciner – une recette pour une hypocrisie généralisée dans le service de santé.

Ce processus a certainement été approuvé par le Dr Ashley Bloomfield, qui a lui-même acquis une notoriété considérable en refusant des exemptions de vaccin aux personnes gravement blessées par leur première piqûre, insistant pour qu’elles poursuivent leur programme de vaccination. Étant donné les relations de travail étroites qu’entretient le Dr Bloomfield avec Jacinda Ardern et Chris Hipkins, il est fort probable qu’ils étaient tous deux au courant du processus et qu’ils l’ont approuvé. Les dirigeants de l’opposition ont également été tenus au courant.

Les critères d’octroi des exemptions impliquaient apparemment une évaluation de l’importance du personnel pour le fonctionnement des services de santé. En d’autres termes, les hauts responsables et les personnes occupant des postes chirurgicaux clés pouvaient insister pour ne pas être vaccinés et continuer à être autorisés à travailler. En revanche, les infirmières non vaccinées, par exemple, ne pouvaient pas obtenir de dérogation et perdaient leur poste.

Si les cadres supérieurs qui souhaitaient ne pas être vaccinés s’étaient exprimés publiquement, la question de la sécurité du vaccin Covid aurait pu être portée sur la place publique. Au lieu de cela, le ministère de la santé et le gouvernement ont gardé le silence sur toute discussion. Ils l’ont fait en liaison avec les médias grand public et sociaux pour en censurer le contenu et en contrôlant étroitement le personnel.

Alors pourquoi le personnel médical supérieur a-t-il choisi de ne pas se faire vacciner ?

Ils étaient peut-être au courant d’un article paru en 2019 dans la revue Frontiers in Oncology, intitulé Gene Therapy Leaves a Vicious Cycle (La thérapie génique sort d’un cercle vicieux) :

« …la thérapie génique est prise dans un cercle vicieux depuis près de deux décennies en raison de la réponse immunitaire, de la mutagénèse insertionnelle, du tropisme viral, de l’activité hors cible, des résultats cliniques indésirables (allant de la maladie à la mort des participants aux essais cliniques) et des réglementations disparates. »

Malgré ces preuves de dommages antérieurs et les doutes de consultants médicaux chevronnés qui étaient en mesure de procéder à une évaluation raisonnée et factuelle des risques, vous pensez peut-être que le vaccin était en fait sûr et efficace. Ce n’était pas le cas, comme l’ont démontré les recherches ultérieures. Aussi incroyable que cela puisse paraître, le gouvernement continue d’encourager le public à se faire vacciner.

Ayant analysé les données sociales au cours des cinquante dernières années, je comprends les médecins qui ont opté pour la prudence. Il s’agit d’une réaction normale face à de nouveaux médicaments. Il faut des années pour évaluer la sécurité. Quel est donc le degré d’innocuité du vaccin ARNm Covid ? : il est extrêmement dangereux.

Les données sur la surmortalité en 2023 dans les pays de l’OCDE.

Les pays de l’OCDE les plus vaccinés sont, dans l’ordre, le Portugal, le Chili, le Canada, l’Islande, la Nouvelle-Zélande, l’Espagne et l’Australie. Leur pourcentage moyen de population vaccinée est de 91 %. Leur taux moyen de surmortalité jusqu’à présent en 2023 est supérieur de 12 % à la moyenne historique sur cinq ans.

Les pays de l’OCDE les moins vaccinés sont la République slovaque, la Slovénie, la Pologne, l’Estonie, la République tchèque, la Hongrie et la Suisse. Leur pourcentage moyen de population vaccinée n’est que de 63 %. Leur taux moyen de surmortalité jusqu’à présent en 2023 est de 0 % par rapport à la moyenne historique sur cinq ans. En d’autres termes, leur taux de mortalité moyen est normal.

Quiconque suggère que le taux de mortalité chez les personnes non vaccinées est plus élevé que chez les personnes vaccinées va à contre-courant des preuves. Ce point de vue ne correspond pas aux données internationales.

La façon habituelle de résoudre cette incohérence serait de se référer à des études prospectives qui réunissent deux groupes, vaccinent un groupe et laissent l’autre groupe apparié non vacciné, et mesurent ce qui se passe sur une période suffisamment longue. Dans le cadre normal de l’homologation d’un vaccin, ces études auraient été menées pendant une dizaine d’années avant l’homologation. Personne ne l’a fait.

Dans l’essai de Pfizer, le groupe de contrôle non vacciné a été vacciné au bout de quelques mois, de sorte que les résultats comparatifs à long terme ne sont pas disponibles. Quoi qu’il en soit, au cours de ces quelques mois, le nombre de décès a été plus élevé dans le groupe vacciné que dans le groupe de contrôle non vacciné. Il existe également de nombreuses études publiées aujourd’hui qui différencient les résultats des personnes vaccinées et non vaccinées que nous avons signalées, y compris des citations de journaux.

À quel point le problème de la surmortalité est-il préoccupant ?

Selon l’OCDE, il y a eu 1,2 million de décès en excès en 2022 dans ses pays membres, dont la population totale s’élève à 1,2 milliard d’habitants. Soit une surmortalité pour 1 000 habitants.

Maintenant qu’il est admis que le Covid et la vaccination Covid ont tous deux vu le jour dans un laboratoire de biotechnologie, il semble peu important de savoir quelle proportion de la surmortalité est due au Covid et quelle proportion est due à la vaccination Covid, mais pour mémoire, en 2022, il y a eu environ 200 000 décès dus au Covid dans les pays de l’OCDE. En résumé, la surmortalité de l’OCDE non imputable à Covid s’élève à un million pour la seule année 2022. Ce chiffre s’élève probablement à quelques millions dans le monde entier, soit à peu près le nombre de décès annuels pendant la Première Guerre mondiale.

Vous comprenez pourquoi il est si important pour ceux qui participent à l’élaboration de la politique Covid et à la mise en œuvre des mandats (ce qui inclut tous les politiciens actuellement élus) de s’assurer que tout le monde continue à croire que davantage de personnes non vaccinées meurent que de personnes vaccinées, faute de quoi leur discours selon lequel la politique Covid sauve des millions de vies s’effondre complètement.

À la lumière de ce qui précède, nous pouvons maintenant évaluer les motivations de ceux qui continuent à se moquer des personnes blessées par le vaccin ou qui accusent les personnes hésitantes à se faire vacciner de chercher à ébranler le gouvernement. Le projet de désinformation, par exemple, financé par le cabinet du Premier ministre, qui, à l’instar de nombreux hommes politiques, a qualifié les lésions dues aux vaccins de théorie du complot. Ils tentent de dissimuler leurs propres erreurs qui ont porté atteinte à la santé de la nation.

Au cours des deux dernières années, le rapport Hatchard s’est contenté de déplorer que « aucun responsable ne semble prêt à se demander pourquoi la surmortalité se produit à un rythme sans précédent ». Les décès sont en fait un élément très stable de la vie. Au cours d’une année normale, il n’y a pas de surmortalité. Les actuaires des compagnies d’assurance passent leur vie à calculer avec une grande précision combien d’entre nous vont mourir et à quel moment. Ils fixent les primes d’assurance vie en conséquence. En ce moment, les actuaires doivent passer des nuits blanches parce que quelque chose a terriblement mal tourné, ce qui ne s’est jamais produit au cours des 100 dernières années, en dehors des guerres et des zones de conflit.

Un grand nombre de personnes tombent malades et meurent, alors qu’elles devraient être en vie et en bonne santé.

Le ministère de la santé a caché ces faits inquiétants tout en reconnaissant discrètement et hypocritement que son personnel avait le droit d’éviter ces risques. Il ne s’est pas contenté de jeter de la poudre aux yeux du public, il a imprudemment mis sa vie en danger. Cette situation a brisé des familles et des communautés, les dressant les unes contre les autres. Ils ont provoqué des tragédies qui ont touché des familles dans tout le pays, tandis que le ministère de la santé et le gouvernement ont recours à des procédures tortueuses et secrètes pour dissimuler ce qui se passe. En outre, ils ont l’intention de continuer à déployer d’autres vaccins expérimentaux.