Pourquoi les juifs aiment tellement l’antisémitisme ?

Source : reseauinternational.net – 30 août 2024 – Israel Shamir

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Ce n’est pas parce qu’il y a des tracts antisémites pour affirmer que les juifs contrôlent Hollywood et les médias. Ce n’est pas parce que les rabbins prétendent que la vie est horrible et que les juifs seront donc éternellement maltraités par les goyim. Ce mot très spécial est devenu un principe central du judaïsme, et pourtant, comparé aux deux mille ans de philosophie anti-juive, l’antisémitisme est une petite et récente aberration. Le mot est né à Vienne au XIXe siècle et c’est l’aboutissement de la théorie raciale qui était à la mode à l’époque. Celle-ci avançait l’idée qu’il y avait deux races principales, les aryens et les sémites. Les racistes prétendent que les juifs sont intrinsèquement sémitiques, comme les chats sont intrinsèquement des chats. Les juifs naissent ainsi et meurent ainsi. La communauté juive internationale aime cette idée. Mais pourquoi sommes-nous obligés d’y souscrire ?

La «juiverie» organisée est apparue à la fin du premier siècle après J.-C., après que le christianisme a commencé à pénétrer dans le monde grec et romain. De même que la Crucifixion a été suivie de la Résurrection, l’Église du Christ est apparue. Elle a pris le nom d’Israël. Peu de temps après, un puissant groupe antichrétien est apparu, dont la principale raison d’être était de calomnier le nom du Christ. Ils ont pris le nom de juifs. Leur premier texte, le plus populaire du premier millénaire, s’appelait Maaseh Taluy, une parodie de la Crucifixion du Christ. Il était également appelé Toledot Yeshu, et faisait de Judas leur héros. Des centaines d’exemplaires de ce texte ont été retrouvés dans la Geniza du Caire et ailleurs. Depuis lors, les juifs ont constamment et inlassablement combattu le christianisme chaque fois qu’ils le pouvaient.

Les rabbins prétendent que les juifs attendent leur Messie. Est-ce une simple coïncidence si leur Messie correspond à l’Antéchrist mentionné dans l’Apocalypse ? Il y a eu un certain nombre de prétendants juifs au titre de roi-messie, comme Simon bar Kokhba (qui tuait les chrétiens) Sabbatai Zevi et d’autres, mais aucun n’a jamais acquis la moindre renommée en dehors des cercles juifs. Les juifs considèrent que les sectes protestantes sont plus utiles à leurs objectifs que les Églises apostoliques d’Orient et d’Occident ; au XIXe siècle en France, ils travaillaient en étroite collaboration avec les huguenots. L’Église chrétienne a conservé le nom d’Israël, bien que le terme soit devenu de plus en plus associé au judaïsme au fil des ans. L’Église chrétienne et les juifs sont comme deux jumeaux, l’un bon, l’autre mauvais. Ils sont nés presque au même moment et ils ne peuvent pas s’entendre. Les chrétiens ont l’obligation de convertir les juifs, mais il n’y a aucune chance que les juifs deviennent tolérants envers les chrétiens ; ils ont toujours été une tribu combattante.

Sous l’Ancienne Alliance, Dieu a enseigné aux juifs à être xénophobes, à résister aux compromis syncrétiques et à exterminer ceux qui agissent mal. Et pourtant, le Moyen-Orient en tant que région n’a jamais entretenu de ressentiments envers les juifs. Récemment, TUR a publié une interview d’Avi Shlaim sous le titre «L’expérience des juifs arabes expose les mythes de l’antisémitisme au Moyen-Orient». En bref, il n’y a pas et il n’y a jamais eu d’attitude négative envers les juifs – non pas parce qu’ils seraient de la même race sémitique, mais parce que les juifs ne sont dangereux que pour les chrétiens. Les juifs s’en sortent bien dans les pays sémitiques, mais n’ont jamais connu un succès aussi spectaculaire qu’aux États-Unis et en Angleterre. L’Inde compte également des juifs, mais là encore, sans un bloc significatif de chrétiens à pourfendre, ils restent les vestiges d’une secte religieuse ignorée et disparue.

«Je comprends !» pourrait s’exclamer notre lecteur. «L’Église maltraite les juifs et ceux-ci se soulèvent pour survivre, comme ils ont survécu à Amalek et aux légions romaines !» Non, mon bon monsieur. En fait, c’est l’Église qui est périodiquement la cible d’attaques concertées de la part du judaïsme international, souvent pendant des centaines d’années. Parfois, les attaques juives prennent la forme de génocides, comme cela s’est produit à plusieurs reprises en Palestine, le berceau du christianisme. Parfois, les juifs se contentent de piller les églises, comme cela s’est produit en France au début du XXe siècle.

L’inimitié éternelle entre juifs et chrétiens a commencé au pied de la Croix et se poursuit aujourd’hui. René Guénon cerne cette relation antagoniste en termes d’«initiés» et de «contre-initiés». Un contemporain de Guénon, Alexandre Douguine, l’explique comme suit :

«… la contre-initiation est l’ensemble des organisations secrètes qui, bien que possédant des données initiatiques et ésotériques, dirigent néanmoins leurs activités et leurs efforts vers un but qui est à l’opposé direct de l’initiation normale. En d’autres termes, au lieu de tendre vers l’absolu, elles se dirigent vers la disparition et la dissolution fatales au milieu du «règne de la quantité» dans son crépuscule extérieur. En accord avec l’ésotérisme islamique, Guénon appelait les hiérarques de la contre-initiation Awliya es-Shaytan, c’est-à-dire les «saints de Satan». Les représentants de la contre-initiation se tiennent derrière toutes les tendances négatives de la civilisation moderne et dirigent secrètement le cours des choses sur la voie de la dégradation, de la matérialisation et de la perversion spirituelle».

En bref, les juifs et l’Église chrétienne sont en opposition, en tant qu’initiations. L’Église attend et combat pour le Christ, et les juifs attendent et combattent pour l’Antéchrist. C’est pourquoi il ne peut jamais y avoir de paix entre eux ; ils sont en guerre éternelle. Et contre toute attente, les juifs sont en train de gagner cette guerre.

Les signes de leur victoire sont clairs. Si nous pouvons être favorablement considérés comme des gens stupéfiants et courageux lorsque nous exprimons nos doutes sur le christianisme ou lorsque nous nions publiquement la Crucifixion/Résurrection, nous risquons une peine de prison si nous laissons entrevoir un doute sur l’Holocauste, la parodie juive de la Résurrection. Le négationnisme et d’autres formes de liberté d’expression sont maintenant criminalisés jusqu’en Suède, l’État européen censé être le plus libre.

Les juifs ont même volé le nom d’Israël, qui appartient à l’Église chrétienne. Ils ont été autorisés à financer une hérésie appelée le sionisme chrétien, qui exerce aujourd’hui ouvertement son pouvoir aux États-Unis. Les sionistes chrétiens sont le genre de chrétiens qui rêvent de crier «Crucifiez-le» aux côtés des juifs. Les juifs promeuvent actuellement une renaissance limitée du racisme, afin de redonner vie au mot ridicule d’antisémitisme. Il est grand temps de revenir aux anciens termes : l’Église chrétienne est le véritable Israël, tandis que les juifs sont les ennemis du Christ – et cette inimitié éternelle n’a rien à voir avec la race. La race et le sionisme ont été injectés dans l’Église du Christ par les juifs pour annoncer l’arrivée de leur Antéchrist.

Les chrétiens devraient continuer à s’efforcer de baptiser les juifs, car les ex-juifs baptisés sauvés par le Christ peuvent (par la puissance du Saint-Esprit) devenir exactement comme les gens parmi lesquels ils vivent. Les mécanismes financiers du judaïsme international (bourses, banques, assurances et divers dispositifs d’extraction de rentes) devraient finalement être abolis comme antichrétiens. Le capital mal acquis amassé par les juifs doit être confisqué et redistribué aux populations qui les accueillent. Ce serait un exemple de justice chrétienne, car les juifs amassent leurs vastes richesses en dépossédant les chrétiens. Ce serait aussi un exemple de prudence chrétienne, car les juifs exercent instinctivement leur pouvoir en préparant le monde à l’Antéchrist. Enfin, il faudrait interdire aux juifs de posséder et d’exploiter des entreprises de médias, car leur inimitié éternelle propage inévitablement des idées antichrétiennes.

Ce serait un bon début pour réveiller notre foi chrétienne et entreprendre la revitalisation de nos sociétés. Vous dites que ce n’est qu’un rêve creux, mais ce n’est pas le cas. Les États-Unis, principal garant des souhaits juifs sur le monde, sont aujourd’hui en proie à une révolution. Jamais auparavant (depuis 1945) les voix antijuives n’ont été aussi puissantes. Les deux frères Tate, Candace Owens, les opinions effrontées de Carlson Tucker et de Musk secouent Internet. Pavel Durov a refusé de censurer ses opinions honnêtes (et les vôtres) et il a été rapidement arrêté. C’est de la gauche rendue folle que surgit l’exubérance juvénile de Jackson Hinkle pour freiner l’exercice sans entrave du pouvoir juif mis à nu.

Il semble que la domination juive maléfique sur l’Amérique soit enfin sur le point de connaître sa fin tant attendue. Nous devrions nous préparer de manière réfléchie à tirer parti de ce moment historique important. Ce n’est pas trop tôt, car notre monde est à quelques minutes de cette troisième guerre mondiale tant désirée par les juifs. La répudiation des juifs ramènera les États-Unis dans la salutaire grâce du Christ. Elle permettra aux Palestiniens de reconstruire leur patrie, elle rétablira la paix avec la Russie, elle chassera les bellicistes du Congrès. Il ne peut y avoir aucun inconvénient à renier l’Antéchrist. Il suffit de dire après Candace Owens : Vive le Christ Roi !

Illustration : Crédits : REUTERS Droits d’auteur : JOHANNA GERON