Si vous ne defendez pas « le cash », votre servitude sera scellée: plus moyen de financer une révolte contre la tyrannie.
L’UE criminalise de plus en plus l’argent liquide et la Bundesbank est profondément préoccupée par son avenir
Lire la suiteL’UE criminalise de plus en plus l’argent liquide et la Bundesbank est profondément préoccupée par son avenir
Lire la suiteEl peligro claro y presente en Europa de adoptar la Moneda Digital de
Banco Central, MDBC o CBDC en ingles, como la única y exclusiva unidad
de transacciones financieras, evitando y prohibiendo el uso del efectivo
físico de eficacia probada, tiene consecuencias graves y nocivas para la
libertad de los ciudadanos de la UE, así como para la estabilidad de la
democracia en Europa. Es con este peligro en mente que una revisión
sumaria del ejemplo estadounidense sobre las protecciones derivadas del
uso de efectivo puede servir como referencia y brújula para advertir las
consecuencias catastróficas de instalar oficialmente el tecnofeudalismo
sobre poblaciones desprevenidas.
The clear and present danger in Europe of adopting CBDCs as the only and
exclusive unit of financial transactions, eschewing and forbidding the use of
the tried-and-true physical cash, has severe and noxious implications for
the freedom of EU citizens as well as the stability of democracy in Europe.
It is with this danger in mind that a summary review of the American
example on the protections stemming from the use of cash can serve as a
reference and compass in adverting the catastrophic consequences of
officially installing techno-feudalism upon unsuspecting populations.
Loin des fintech du paiement qui innovent, des banques en ligne de plus en plus nombreuses pour équiper les clients de nouvelles cartes bancaires aux services divers et variés, l’Italie se replie sur elle et dit non aux banques. Les pièces et les billets resteront monnaie courante dans un pays où l’économie souterraine était estimée à 183 milliards d’euros en 2019. Les paiements par carte, quant à eux, seront encore un peu plus bannis, comme le souhaite la nouvelle présidente d’extrême droite du conseil des ministres italien, Giorgia Meloni.
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