Origines et conséquences de la dette publique américaine

L’accroissement de la dette publique américaine a suscité de nombreux commentaires. L’emballement récent tient pour partie à des causes atypiques, telle la crise des subprimes ou la pandémie. Néanmoins, il existe un problème de fond lié au double déficit, budgétaire et commercial des États-Unis. Notre analyse commence par l’examen de la dette, et se poursuit par l’étude du déficit budgétaire et du déficit commercial. Nous concluons que cette dette dans son état actuel ne peut que conduire à une crise majeure de l’économie américaine, et par contrecoup de l’économie mondiale.

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The Great British Betrayal

The fundamental transformation in the British economy since the 1980s is the movement away from an economy that made things to an economy that made money The prospects of reversing these trends is bleak, especially if political power shifts to a political Left equally committed to diversity and the repression of patriotic sentiment. But leaving the Conservative party in the dustbin of history may be a start to what remains of the English, Scottish and Welsh nations reasserting themselves.

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Contrer les dérives de la finance : la monnaie centrale numérique – Anice Lajnef

De nombreuses personnes ne comprennent pas l’intérêt de mettre en place une monnaie numérique de banque centrale car, de nos jours, les espèces prennent de moins en moins de place dans les paiements de la vie quotidienne, et la majorité des flux monétaires se réalisent numériquement. Cependant, la monnaie numérique de banque centrale (aussi appelée CBDC) est bien plus proche des pièces et des billets que ne peuvent l’être nos soldes sur un compte bancaire. Cette monnaie centrale est, comme son nom l’indique, émise par la banque centrale directement, comme le sont les pièces et les billets.

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« La finance n’est rien d’autre que le business de la dette » – Anice Lajnef

La crise de 2008 devait sonner le glas de notre système monétaire fondé sur la dette avec intérêts. La crise dite des subprimes, soit l’effondrement du château de cartes des crédits immobiliers américains, a provoqué à son tour l’effondrement d’un château de cartes bien plus grand : celui de la finance internationale…

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Moody’s abaisse la note d’Israël et ramène la perspective de « stable » à « négative »

L’agence de notation a également abaissé la perspective de la dette israélienne à « négative » en raison du « risque d’escalade » avec le groupe terroriste libanais Hezbollah, beaucoup plus puissant, qui opère le long de sa frontière nord.

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Guerres, famines, effondrements financiers… Chaque crise inventée est une histoire de couverture d’un crime ou d’une prise de pouvoir mondialiste de plus grande envergure

Aujourd’hui, les pouvoirs en place (TPTB) ont besoin d’un effondrement financier pour masquer les crimes financiers qu’ils commettent depuis des décennies en imprimant de la monnaie, en pillant les comptes bancaires (et les pensions) des Américains et en manipulant les marchés financiers pour s’enrichir pendant que les masses laborieuses restent asservies dans un cycle de pauvreté. Sans toutes ces opérations de contrefaçon de la monnaie, la plupart des Américains s’en sortiraient plutôt bien et pourraient récolter les fruits de leur propre travail, sans le fardeau de l’inflation autour de leur cou. Mais si un effondrement financier peut être imputé à la Russie (ou à la Chine, ou à l’Iran), alors les criminels qui ont mené ce vol de masse peuvent pointer du doigt un bouc émissaire et s’en tirer à bon compte.

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Les marchés pétroliers se dédollarisent selon JPMorgan

Bien que JPMorgan s’attende désormais à une « dédollarisation marginale », le rythme ne devrait pas être rapide. En effet, le dollar est trop largement utilisé dans le vaste écosystème financier mondial. « Une dédollarisation partielle, dans laquelle le renminbi assume certaines des fonctions actuelles du dollar parmi les pays non alignés et les partenaires commerciaux de la Chine, est plus plausible, surtout dans un contexte de concurrence stratégique »

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La Haute finance s’intéresse au cerveau et aux maladies mentales. Implant cérébral au menu.

Est-ce que les dépressifs vont devenir des patients captifs à qui l’on va insérer ces implants cérébraux? Imaginez un dépressif pris dans le système de santé publique actuel. Aura-t-il la force de s’opposer à un implant cérébral plus ou moins invasif?

Et là comme pour les injections covidiennes, nous reformulons les questions qui tuent:

Où sont les études qui démontrent de l’efficacité, mais aussi de l’absence d’effets secondaires graves.

En l’absence de telles études probantes, nous pouvons supposer que les victimes psychiques de la politique de confinement po

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