« Zone de libre échange Gaza-Arish-Sderot » : Netanyahou dévoile un plan de recolonisation de Gaza

Alors que l’avenir de Gaza divise le cabinet de guerre et complique les relations entre Israël et ses voisins arabes, le cabinet du premier ministre, Benjamin Netanyahou, a rendu public un plan d’investissement pour la colonisation de l’enclave.

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Coincidose géopolitique. Des beautés de la manipulation programmée : de Gaza à Téhéran

L’affaire de Gaza est tombé à pic pour amener de l’eau au moulin du conditionnement psycho-islamique quand se profilait une crise politique sans précédent en Israël. L’offensive du Hamas depuis Gaza a pris des allures de pogrom aussitôt exploitée par la propagande israélienne… En France BFMTV ou CNews fustigeaient heure après heure l’agression criminelle du Hamas. La coïncidose géopolitique sioniste se profilait.

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Benjamin Netanyahou en sursis

Cette «Conférence pour la Victoire d’Israël» était une menace directe adressée aux Anglo-Saxons qui tentent de ramener Benjamin Netanyahou à la raison2. Dans les heures qui suivirent, Washington prit des mesures extraordinaires contre les suprémacistes juifs dont il s’accommodait jusqu’alors, notamment une interdiction de collecte et de transfert de fonds via les banques occidentales. Il fut suivi en cascade par Londres, Berlin, Paris et finalement par ses principaux alliés.

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À Jérusalem, la « Conférence pour la Victoire d’Israël » menace Londres et Washington – Thierry Meyssan

La « Conférence pour la victoire d’Israël – les colonies apportent la sécurité : retourner dans la bande de Gaza et le nord de la Samarie » n’était pas une simple réunion de suprémacistes juifs. Un rabbin, condamné en Israël à la prison à perpétuité pour ses crimes, s’y est exprimé au nom des successeurs du groupe Stern qui assassina les dirigeants britanniques de la Palestine mandataire. C’était une déclaration de guerre contre les Anglo-Saxons. En participant à cet événement, le Premier ministre, Benjamin Netanyahu, menaçait Washington et Londres. Le président Joe Biden a immédiatement interdit toute collecte de fonds et transfert d’argent vers ces extrémistes. C’est la première fois que les États-Unis prennent des sanctions contre des Israéliens.

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