Les derniers balbutiements du suprémacisme juif – Thierry Meyssan

Durant 75 ans, les Occidentaux ont imposé leurs volontés à leurs anciennes colonies du «Moyen-Orient élargi», soit par l’intermédiaire des djihadistes, soit directement par leurs armées. En soutenant durant quatre mois les massacres perpétrés par les fascistes juifs du groupe Jabotinsky-Netanyahou, les Occidentaux ont perdu leur prestige. Quelle que soit la suite d’Israël, avec Benny Gantz et Yaïr Lapid plutôt qu’avec Benjamin Netanyahou et Itamar Ben-Gvir, la puissance d’Israël, fondée sur le mythe de l’incompatibilité des juifs avec le fascisme, s’est effondrée. Désormais, il sera possible d’exhumer tous les crimes commis par ce groupuscule, pour le compte de la CIA, durant la Guerre froide, au Moyen-Orient, en Afrique et en Amérique latine.

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Benjamin Netanyahou en sursis

Cette «Conférence pour la Victoire d’Israël» était une menace directe adressée aux Anglo-Saxons qui tentent de ramener Benjamin Netanyahou à la raison2. Dans les heures qui suivirent, Washington prit des mesures extraordinaires contre les suprémacistes juifs dont il s’accommodait jusqu’alors, notamment une interdiction de collecte et de transfert de fonds via les banques occidentales. Il fut suivi en cascade par Londres, Berlin, Paris et finalement par ses principaux alliés.

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Meyssan : “Netanyahu traite Gaza comme les nazis traitaient le ghetto de Varsovie”

Dans son point quinzomadaire, Thierry Meyssan revient entre autres sur cette immense tache que notre conscience occidentale porte désormais : l’inhumanité avec laquelle le gouvernement Netanyahu traite les Palestiniens de Gaza. Dans une étrange réplique aux crimes commis par les nazis sur les populations juives civiles désarmées, l’armée israélienne s’acharne sur les Palestiniens de Gaza. Jusqu’où ? La complicité occidentale dans ce massacre innommable restera longtemps comme une très grave faute.

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Aux origines de la pensée de M. Nétanyahou

Tous se retrouveront néanmoins pour recourir au terrorisme dans leur « lutte de libération » : de l’attentat de l’Hôtel King David, qui fit 200 morts et blessés le 22 juillet 1946, au massacre du village palestinien de Deir Yassine (9 avril 1945), où tombèrent 250 civils, les pages les plus noires de la naissance de l’Etat d’Israël et de l’expulsion de 800 000 Palestiniens sont signées par les hommes de Menahem Begin et de M. Itzhak Shamir, dont on sait le rôle qu’ils joueront, trente ans plus tard, à la tête du Likoud et de l’Etat juif.

M. Benyamin Nétanyahou a de qui tenir.

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UN MONDE DE MYOPES

75 ans que les Palestiniens ont été chassés de leur pays, colonisés ou parqués dans la bande de Gaza, la plus grande prison à ciel ouvert du monde finalement transformée en camp de concentration. Un homme qui, de sa naissance jusqu’à l’âge adulte y a été enfermé, trouve là toutes les conditions réunies pour devenir un résistant actif, un combattant, un soldat, un patriote, que ses ennemis appellent du vilain nom de terroriste. Quel qualificatif donner au pilote israélien qui a su mettre sa bombe sur l’hôpital de Gaza sur l’ordre d’un général surement très respectable, tout autant que l’honorable premier ministre Netanyahu, grand maître des opérations criminelles contre le peuple palestinien ?

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Pourquoi faut-il exterminer Amalek ? Petite leçon biblique – Laurent Guyénot

Dans la sainte Bible qui sert de socle au roman national d’Israël, il y a la promesse de la Terre Promise, et il y a le commandement du génocide d’Amalek, femmes, enfants, nourrissons et bétail compris (car Israël ne fait pas la différence entre ses ennemis et son bétail). C’est bien le même Dieu qui parle. Conquérir Canaan et exterminer Amalek, c’est une seule et même chose, car pour conquérir Canaan, il fallait traverser le territoire d’Amalek, et ce peuple s’y est opposé.

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