APPEL AUX RÉSISTANTS – Embrasement de la France et risque de guerre civile : changement de paradigme ou verrouillage final

Par François Dubois Adj (e.r)

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François Dubois est ex-gradé de la Gendarmerie nationale, officier de police judiciaire, instructeur et formateur de formateur dans les écoles de Gendarmerie. Dans son livre « Alice au Pays de Lucifer » publié chez KA’éditions, il analyse les dimensions philosophiques et théologiques du périple épique d’Alice et livre une véritable autopsie des paraboles auxquelles elle va se heurter, dévoilant par la même occasion, les mécanismes de l’inversion des valeurs qui mettent en péril notre société.

Propos liminaires

C’est en tant qu’amoureux de la nation que j’écris ce texte. Écrit rapidement et dans
l’urgence, j’y développe mon analyse à froid. Je précise eu égard au contexte, être sportif,
en excellente santé, et n’avoir aucunes pensées suicidaires. J’invite mes anciens
camarades des forces de l’ordre à lire et à partager le plus possible ce texte. Vous qui êtes
actuellement en premières lignes, fusibles d’une situation qui vous dépasse, vous devez
comprendre de quelle façon et dans quel contexte vous êtes actuellement
instrumentalisés. Ce contexte de déliquescence nationale dans lequel vous opérez si
difficilement est voulu, provoqué et appuyé par des forces très puissantes. Je m’exprime
ici en toute liberté sans vous inciter à la révolte, mais en espérant que ce texte vous aide à
conscientiser votre rôle et à prendre les décisions personnelles qui s’imposent.

Affaire Mahel : contexte

Nos élites, corrompues et apatrides dans l’âme, œuvrent désormais depuis plus d’un
demi-siècle à la destruction intégrale de notre pays. Hélas, le mal est fait, et l’heure n’est
pas à se lancer dans de grandes démonstrations historiques, géopolitiques ou
théologiques pour expliquer les rouages de ce désastre [1] ! Certains Français dégustent
aujourd’hui l’âpre goût de la merde qu’ils ont lâchement cautionnée pour s’inscrire au
sein du cercle désigné par leur maître comme celui de la « bien-pensance ».
Le réseau Soros, Attali, Minc qui a accouché de Macron a parfaitement compris cette
phrase de Nietzsche : « La plus grande dispensatrice d’aumône, c’est la lâcheté. » De la création
de « sos-racisme » en passant par celle de « touche pas mon pote », ils ont, au nom de la
tolérance, sciemment promu l’émergence d’une sous culture ethnicisée et
communautarisée, en réalité exhausteur de racisme à géométrie variable et de
fragmentation sociale. Ils se sont appuyés pour ce faire sur la lâcheté de la population,
consécutive depuis les années 80 à un sabordage médiatique culpabilisant de l’image du
Français, grand perdant de la seconde guerre, sauvé par les gentils américains et
historiquement présenté comme un pleutre délateur de juifs.
Beaucoup de ces lâches ignorants ont ainsi cherché à se racheter une conduite sur les
bases d’une histoire caricaturée, honteusement simplifiée pour ne pas dire parfois
falsifiée. Tolérant l’intolérable, il n’était plus question pour eux de s’insurger face aux
vagues migratoires incontrôlées et non choisies. Pis encore, dans leurs petits esprits
étriqués de gauchistes, celui qui s’en insurgeait devenait un vilain facho,
caricaturalement assimilé à un adorateur du III ème Reich [2] .
Aujourd’hui, dans cette situation de pré-guerre civile, l’urgence est avant tout de
comprendre les dangers auxquels nous sommes exposés. Ce qui est arrivé devait se
produire. Ce n’était qu’une question de temps. Récemment, les commandes massives de
blindés de gendarmerie « centaures » équipés d’un tourelleau télé-opéré, sur lequel se
situe une AANF1 7.62 x 51 mm (arme de guerre), ou encore la grande campagne de rappel
des armes détenues illégalement, constituent un faisceau d’indices qui ne peuvent
qu’abonder dans le sens de mes propos.
Ces dispositions font d’une pierre, deux coups. Elles ont, en premier lieu, vocation à faire
face aux risques d’émergence d’un mouvement social spontané type « gilets jaunes ». Ce
risque est redouté, parce que hors de contrôle s’il est un jour organisé et structuré. Mais

elles ont aussi potentiellement vocation à participer à une opération de purge,
conséquence d’un embrasement erratique parfaitement anticipable et attendu des cités,
puis, par effet domino, de la population ancrée politiquement à gauche. Attendu, parce
qu’il y existe des accointances puissantes entre les mafias qui tiennent ces quartiers et
l’état profond, ainsi que ses services de renseignements ; le tout, intégrant le maillage de
la franc-maçonnerie qui chapeaute une extrême gauche prête à instrumentaliser
politiquement les émeutes et à rallier les cités avec ses « antifas » aux ordres. Les racailles
sont les idiots utiles d’un système ambivalent qui a posé tous les jalons nécessaires à leur
révolte, et dans le même temps, tous les jalons nécessaires à leur détestation.
Cela avec pour objectif de la part de la gouvernance, de reprendre le contrôle par la force
dans un premier temps, puis dans un second, d’instaurer un contrôle intégral de la
population et de nouveaux moyens numériques en guise de verrouillage définitif. Ces
moyens seront acceptés par les masses parce qu’ils s’imposeront comme l’alternative
indispensable à la sortie du chaos.

Affaire Mahel : les origines

Le fait divers à l’origine de ces événements n’est pas un accident hasardeux car il résulte
de la conjonction de deux phénomènes orchestrés par les élites, les ayant de facto
conduites à anticiper ce qui allait se produire.
Le premier facteur est consécutif à la communautarisation d’une frange ethnicisée de la
population qui a de plus en plus évolué à la marge au point de s’inscrire dans une
déviance qui ne la fait plus adhérer aux normes de la société.
Dès le départ, il existait chez ces populations issues majoritairement de couches sociales
précaires en provenance du continent Africain, des incompatibilités sociologiques
profondes, notamment quant-à la structure de la famille et à la place qu’occupe le garçon
au sein de cette cellule familiale, qui rendaient dans certains cas très difficile toute
intégration et toute assimilation. Ce problème sociologique d’ordre migratoire est
d’autant plus complexe qu’il varie en fonction des pays, des ethnies et des classes sociales
impactées. Les premières vagues migratoires italiennes et portugaises de l’après guerre
n’ont causé aucune difficultés majeures précisément parce que, même pour les classes
populaires, la cellule familiale était structurée dans ses rapports (place du garçon par
rapport au père et à la mère, rapport à l’autorité, etc…) de façon similaire sur l’ensemble
du continent européen. Ce faisant, ces population n’ont subi aucun « backlash »
sociologique [3] . Il n’y a pas de lien direct avec l’Islam (nous en parlerons plus loin).
Le rejet des normes sociétales s’accompagne de l’instauration de nouvelles normes
propres à définir l’identité du groupe : le jeune des banlieues n’est donc pas en mal de
repères parce que précaire économiquement, mais parce que, conduit par ses
déterminismes sociaux à ne pas pouvoir s’accorder avec le modèle qui est censé
l’assimiler. Il instaure alors ses propres normes qui lui servent à transformer sa déviance
sociologique en une identité à part entière (cela se traduit par des marqueurs sociaux tels
que le langage, les codes vestimentaires etc…) et à s’émanciper pour être autonome, d’un
point de vue économique, mais aussi vis à vis des représentants de l’autorité. S’il n’évolue
pas au sein d’une famille structurée qui ne produit pas un garçon roi, le banlieusard peut
rapidement devenir un affranchi qui ne rend compte à aucune autorité et qui ne se
reconnaît que parmi les siens, un véritable étiquetage social au sens de Becker.
Évidemment, tous les jeunes issus des banlieues ne sont pas comme cela, les délinquants
sont ceux dont la structuration et l’autorité de la famille sont pour le moins inexistantes.
Le personnage de Mahel ne déroge pas à la règle, n’accordant aucune légitimité à la loi, il

entendait faire sa propre loi en se soustrayant une fois de plus à l’autorité. N’en déplaise à
Sandrine Rousseau et aux autres misérabilistes LFI au raisonnement simpliste, ce n’est
pas la pauvreté qui fait d’eux des délinquants. Ces populations brassent parfois des
quantités astronomiques d’argent. Je l’ai constaté sur le terrain. Offrez leur des
infrastructures, l’accès à la culture, des aides, encore plus d’argent, vous ne changerez
rien. Certains dealers roulent en Ferrari, s’arrêtent-ils pour autant d’être délinquants ?
Mahel était donc un jeune difficilement contrôlable, cela se traduit dans les faits par les
diverses infractions qu’il a commises.
Le deuxième facteur à l’origine de ce drame est humain. Il relève probablement d’une
erreur d’appréciation du cadre légal dans lequel le policier s’est situé et a décidé d’ouvrir
le feu. La justice tranchera afin de déterminer si le tir était justifié ou non. J’ai moi même
enseigné l’usage des armes à mes élèves gendarmes. Je maîtrise parfaitement cette
question sur le plan légal, mais en dehors de cet aspect purement technique, il ne faut pas
oublier qu’un policier est un humain comme les autres, et qu’à perpétuellement se
confronter à cette population en rupture, il peut à terme, voir sa stabilité psychique et
émotionnelle perturbée.
Même le policier le plus aguerri n’est pas à l’abri de commettre une grave erreur parce
que son discernement est altéré par les stress répétés et la fatigue chronique du terrain.
Le porteur d’une arme a une immense responsabilité. Les policiers et gendarmes ont
parfaitement conscience d’engager leur responsabilité pénale lorsqu’ils ouvrent le feu
avec leur arme de service. En d’autre terme, au moment de faire feu, ils ont conscience de
pouvoir peut-être finir le restant de leurs jours en prison s’il ont commis une erreur
d’appréciation lors d’une prise de décision qui doit prendre une ou deux secondes
maximum.
Bien sûr, des abus intolérables existent, notamment avec l’emploi des AFI [4] durant les
mouvements sociaux type « gilets jaunes » ou durant les manifestations contre la
réformes des retraites. Cela est totalement anormal. Pour autant, revendiquer le
désarmement de la police est d’une stupidité sans nom. Il conviendrait plus à ce sujet de
s’occuper de l’allégeance aveugle que voue une partie de la police à la gouvernance
actuelle au point d’en oublier les règles de déontologie qui encadrent la profession.
Le fait est que le drame qui s’est produit ne serait jamais arrivé s’il n’y avait pas eu la
conjonction de ces deux facteurs : déviance sociologique du délinquant non assimilé et
faute humaine, certainement accentuée par un contexte de tension constante sur le
terrain.
Ces bases posées, il me semble urgent que les Français prennent aujourd’hui conscience
que l’apparition de cette conjonction n’est pas le fruit d’un malheureux hasard.

Quelle stratégie affrontons-nous ?

Quand j’étais d’active, durant la pseudo-pandémie, nous parlions avec un collègue et ami
« éclairé » de l’organisation à l’échelle européenne d’un cycle de révoltes comme une
étape succédant au narratif du Covid. Une hypothèse, parmi tant d’autres, favorables aux
ambitions socio-économiques dictées par Davos. Ces révoltes devaient avoir pour
corollaires, une récession économique orchestrée par paliers, impulsée par le Covid,
destinée à progressivement favoriser la mise en place de l’euro numérique, de la
virtualisation de nombreux emplois, de la destruction des PME au profit des
multinationales et de l’avènement de l’IA pour remplacer certains métiers.
Le cycle des révoltes permettant, après l’effet « starter » de la pandémie, de renforcer

l’arsenal répressif et les moyens numériques de surveillances des masses par une reprise
de contrôle violente et sans précédents. Il y a deux ans, cela faisait sourire certains, je ne
suis pas sûr que ce soit encore le cas aujourd’hui. Nous observerons si une potentielle
propagation du phénomène à l’échelle européenne se confirme, Bruxelles semble déjà
avoir été en prise avec des émeutes. C’est précisément parce que je ne sous-estime pas
l’intelligence de l’ennemi que mes analyses ont pu se confirmer.
Nous avons ainsi pu constater la présence d’une certaine Assa Traoré au côté de la mère
de Mahel. Cette même militante, chaussée par la marque Louboutin (LVMH), travaille
également pour la fondation OPEJ Baron Edmond de Rothschild. Inutile de revenir sur le
passif sulfureux de la famille en matière de délinquance. Constatons simplement qu’une
mère isolée et effondrée a très rapidement bénéficié d’appuis massifs et de la logistique
nécessaire pour organiser, 48 heures après les faits, une marche blanche avec t-shirt
floqués et autres célébrités du milieu du rap Français.
Il existe une réelle complicité entre la racaille d’en bas et la racaille d’en haut qui la
soutient. De même que je m’associe pleinement à Alain Soral et à son analyse lorsqu’il
souligne le fait que le problème n’est pas en lien avec l’Islam. Ceux qui « islamo-centrent »
les causes des malheurs que nous subissons sont soit des ignorants soit des corrompus à
la solde d’une cause supra nationale. L’Islam est une religion d’ordre, même si certains de
ses préceptes peuvent-être contestés par un chrétien, il ne faut pas tout confondre. L’Iran
connaît-elle de semblables révoltes, avec ces profils de délinquants ? Les délinquants des
cités n’ont rien de musulmans. Il adoptent des marqueurs sociologiques empruntés à
l’Islam, essentiellement codifiés par des éléments de langages, afin de s’étiqueter comme
une communauté. Mais ils ne sont en rien pratiquants et n’appliquent en rien les
conduites morales qu’imposent le Coran. Quand j’étais sur le terrain, certains d’entre eux
s’étonnaient de voir que je connaissais mieux l’Islam qu’eux. Je devenais tout de suite plus
sympathique à leurs yeux, ce qui les rendait d’autant plus idiots aux miens. Le problème
n’est pas l’Islam mais l’ignorance.
Un amalgame est volontairement entretenu entre la délinquance des quartiers et le
développement de la religion musulmane sur notre territoire, or ce sont deux
phénomènes distincts. Les russes ont bien compris que le substrat du danger du
bouleversement civilisationnel qui nous guette n’est pas la religion musulmane. Vladimir
Poutine déclarait encore il y a deux jours que la profanation du Coran était un crime en
Russie. Et bien, c’est pareil, je ne suis pas Charlie, et je ne me laisserai pas berner par
l’instrumentalisation terroriste des branches « sectaires » Wahhabites de l’Islam par les
États profonds Occidentaux et Israël.
C’est bel et bien une élite mondialiste apatride qui cherche ici a détruire notre pays
d’essence catholique en attisant la haine contre la religion musulmane. Puisant ses
origines idéologique dans le judéo-protestantisme, elle a construit une cancel-culture
ethnicisé, universaliste et Woke, calquée sur une axiologie consumériste et matérialiste
ayant émergé en premier lieu aux États-Unis. L’hegemon américain s’est ensuite chargé
de sa propagation dans le monde occidental. Nos petites racailles Françaises ne sont en
réalité que les ersatz des rappeurs et autres membres de gangs américains qu’ils
idéalisent. Et sans le savoir, s’ils vouent un culte à quelque chose, c’est avant tout à
l’image du rappeur gangster américain en voiture de sport entouré de prostituées
derrière lequel on trouve les mêmes sources de financement que celles de l’idéologie
LGBT ! Derrière Assa Traoré se dissimule l’idéologie universaliste de Georges Soros qui
finance, par le biais de ses ONG, à la fois l’immigration de masse et la cause LGBT.
Si on est loin des idéaux du Prophète Mahomet ou du Christ, en revanche, on est très prêt
de la détestation du Christ (ou de Mahomet) [5] explicitement revendiquée dans les médias

par Éric Zemmour. Il y a en réalité bien plus d’accointances entre lui et Soros (à
commencer par la religion), qu’entre lui et le Christ. Oui, sa pseudo-résistance est en
réalité fondamentalement antichristique. Et ironie du sort, lorsqu’il s’est présenté à la
présidentielle, Mr Zemmour avait pour dirigeant de la partie opérationnelle de ses
financements Mr Julien Madar, ancien banquier d’affaire chez Rothschild.
Sans même évoquer le parcours de notre actuel président, on s’aperçoit que finalement,
l’univers de la famille Rothschild n’est pas incompatible avec l’universalisme Woke dont
Assa Traoré est une égérie, de même qu’elle ne semble pas incompatible avec les idées
d’une frange « droitarde », faussement et souvent caricaturalement patriotique, qui
entend fomenter une guerre entre catholiques et musulmans dans le rejet des valeurs
transmises par les prophètes (Papacito, Goldnadel, Finkielkraut, Zemmour etc). Doit-on se
conformer pour autant au conflit opposant Jacob à Esaü dans la Genèse [6] ?
Nous sommes donc pris en tenaille entre les racailles d’en haut et les racailles d’en bas.
Les racailles d’en haut posent tous les prérequis nécessaires à la création d’une révolution
contrôlée. Ils utilisent pour ce faire les islamo-centrés pour exalter les tensions inter-
religieuses, et l’extrême gauche (pilotée par Mélenchon membre du Grand Orient de
France) pour exacerber les conflits face aux forces de l’ordre et la détestation de la police.
Une police dindon de la farce, qui servira de fusible en participant à rallier contre elle, et
contre son gré, l’extrême gauche et les racailles des cités, tout en devant affronter et
gérer les conflits inter-ethniques et inter-religieux susceptibles d’émerger. Pendant ce
temps, ses maîtres se serviront d’elle pour définitivement instaurer et justifier une
nouvelle ère de contrôle et le recours à une violence inédite qui pourra alors être
parfaitement légitimée par le contexte.

Quelles solutions apporter ?

Dans un premier temps, il faut se dire que les événements présents sont peut-être
intervenus trop tôt pour nos dirigeants pour qui il aurait peut-être été plus opportun de
bénéficier de cette étincelle d’ici deux ans. En effet, pour l’instant, les vagues migratoires
n’ont pas suffisamment impactées les campagnes et certaines zones rurales profondes.
C’était un des objectifs mis en exergue récemment par Jacques Attali.
Quand bien même le mouvement en cours viendrait à s’essouffler, faute d’une extension
suffisante, ce ne serait que reculer pour mieux sauter. Il faut donc que les opposants
patriotes honnêtes qui n’ont pas peur de désigner l’ennemi réel, son idéologie et ses
complices se réunissent. La situation est trop grave pour rester sans agir. Comme je
l’avais déjà dit lors d’une interview donnée l’année dernière au Média en 4-4-2, tous les
voyants sont au rouges, mais si révolte il y a, elle sera automatiquement récupérée par un
contrôleur d’opposition, ou par la gouvernance elle-même qui en profitera pour instaurer
un système de contrôle inspiré du crédit social [7] . Aussi expliquais-je l’année dernière au
cours de cette interview que sans une administration prête à prendre le relais, les
résistants réels ne pourraient pas tirer parti de cette révolte.
Il est donc temps d’agir aujourd’hui, pour ce faire, tous les vrais patriotes doivent s’unir.
Je pense que l’idée d’Alain Soral de créer instamment un CNR (conseil national de la
résistance) est la bonne eu égard au caractère urgent et imminent de la situation. Nous
nous adapterons ensuite en temps réel. Il faut donc dans un premier temps trouver les
moyens de se regrouper et de se fédérer, à l’écart des fausses oppositions et autres
apparatchiks du système qui ne désignent pas l’ennemi véritable, entendant par ailleurs
rester dans l’Europe, et qui chercherons à nous saborder de l’intérieur. Aujourd’hui je
veux apporter ma contribution au changement.

Enfin, je pense que des appuis extérieurs, donc étrangers, seront nécessaires, car notre
ennemi est apatride et financièrement incroyablement puissant. Si nous échouons ici, le
retour de bâton sera sans précédent, alors agissons avec courage.
Que la France demeure éternelle !


Adj (e.r) François Dubois


Notes du texte :
[1] Pour cela je vous renvoie à mon livre Alice au pays de Lucifer publié chez KA’Éditions et aux
articles que j’ai publiés sur profession gendarme.fr et Strategika.fr
[2] Dans un prochain texte, j’expliquerai par quels mécanismes ces gens soutiennent en réalité, et
sans le savoir, des « nazis reconvertis ».
[3] Pour comprendre la complexité de l’explication sociologique de la dérive des cités, lire le
déni des cultures d’Hugues Lagrange (sociologue au CNRS) aux éditions Points. Le backlash
est le contrecoup sociologique, idéologique et moral ressenti suite à la confrontation des
traditions et à la re-traditionalisation entre les accueillis et le pays d’accueil.
[4] Une AFI est une arme de force intermédiaire, dont l’emploi vient se situer sur l’échelle
de gradation entre les mains nues et l’arme à feu, par exemple le LBD40 ou le bâton
télescopique.
[5] Dans l’émission de France Inter «  Le Grand face-à-face  » qui oppose Raphaël Glucksmann à
Éric Zemmour, Raphaël Glucksmann rappelle les écrits de Zemmour : « Vous écrivez dans
votre livre quelque chose d’intéressant. Vous dites clairement : Je suis pour l’Église et contre le
Christ ! » Ce à quoi Eric Zemmour répond avec affirmation : « Oui ! Oui, je le dis clairement ! »
[6] https://journals.openedition.org/rhr/8552
[7] https://lemediaen442.fr/francois-dubois-macron-est-anime-par-un-ideal-messianique-
en-lien-avec-la-gouvernance-mondiale/

12 pensées sur “APPEL AUX RÉSISTANTS – Embrasement de la France et risque de guerre civile : changement de paradigme ou verrouillage final

  • 1 novembre 2023 à 14 h 27 min
    Permalink

    J’ai bien écouté Zemmour au lieu de lire ce qu’en disaient les journaux de gauche, son diagnostique sur l’économie et la société française est quasi parfait.

    Vous avez un état socialiste qui avec 58% du PIB est le plus gros du monde et cet énorme appareil d’état a pillé l’économie au nom de « l’égalitarisme ». L’industrie et les entreprises ont été ravagées et détruites par la fiscalité confiscatoire (65% de charge sur les PME selon une étude de PWE) et le tout ne survit plus maintenant que grâce à des emprunts monstrueux (18% du budget).

    Zemmour proposait de le ramener à la place qu’il avait sous De Gaulle, soit 35% du PIB qui est le poids de l’état suisse qui va comparativement très bien.

    La gauche depuis 40 ans a fait rentrer des millions de musulmans et d’africains par pur calcul électoral. Le plan de l’aveu même de Jospin était de scinder la droite en deux camps dont un « infréquentable » qui permettait d’utiliser la technique électorale du castor.
    Le problème est que « multiculturalisme » n’a jamais marché nul part, sauf dans les dictatures et encore moins avec les musulmans qui sont en conflit avec tous les groupes ou état non musulmans (quand ils ne sont pas en conflit entre eux).

    La encore, diagnostique parfait de M. Zemmour.

    Socialisme+multiculturalisme+islam= vous êtes foutu et 90% des français sont persuadés qu’ils vivent dans un état « turbo-libéral », que « l’état » est un gentil père noël qui fabrique de l’argent ex-nihilo et que les africains peuvent être des français comme les autres.

    Il n’y aura pas de redressement, l’avenir de la France ce situe entre le Liban et le Venezuela.
    RIP

    Répondre
  • 31 octobre 2023 à 21 h 02 min
    Permalink

    Ne désespérons pas !
    L’Adjudant Dubois a le courage de montrer la voie, certes ardue, pour remonter la pente sur laquelle nous nous sommes tous laissés entrainer par paresse et par égoïsme.
    Pouvons-nous continuer à n’être que les spectateurs de notre propre déchéance ?
    Nos Anciens doivent regretter leurs sacrifices devant un tel résultat !

    Répondre
  • 22 septembre 2023 à 10 h 34 min
    Permalink

    Sourate 9 verset 5,29,30 pour illustrer. Le musulman DOIT tuer le mécréant, le juif, le Chrétien, en raison de ses croyances.

    Que dit la loi Pléven sur les idéologies qui incitent au meurtre contre des groupes de personnes (ici, tous les non-musulmans, tous ceux qui associent quelque chose ou quelqu’un à Dieu, et en particulier, EXPLICITEMENT tous les Chrétiens et tous les juifs, sauf ceux qui se plieront au dictat islamique, ce que vous faites dans cet article.) en raison de leurs croyances, avérées ou supposées?

    Il me semble que c’est 5 ans de prison pour toute apologie publique de ce genre d’idéologie qui incite au meurtre contre des groupes de personnes en raison de leurs croyances, avérées ou supposée.

    Il me semble, hein!

    PIGNOUFS !
    PUBLIE AU LIEU DE TE CHIER DESSUS!
    JE TE METS A L’AMENDE ALORS ARRETE DE FAIRE TON LACHE ! MODO !

    Vous la sucez HALLAL pensant que vous éviterez de la sucer KASHER. Vous allez vous la prendre dans le Q, par les vrai Français de souche.

    Répondre
  • 22 septembre 2023 à 10 h 28 min
    Permalink

    Des coALLAHbos, des lâches comme ceux que vous critiquez à juste titre.
    Pignoufs!

    Quelle analyse de plouc!

    Répondre
  • 22 septembre 2023 à 9 h 58 min
    Permalink

    « Il existe une réelle complicité entre la racaille d’en bas et la racaille d’en haut qui la
    soutient. De même que je m’associe pleinement à Alain Soral et à son analyse lorsqu’il
    souligne le fait que le problème n’est pas en lien avec l’Islam. Ceux qui « islamo-centrent »
    les causes des malheurs que nous subissons sont soit des ignorants soit des corrompus à
    la solde d’une cause supra nationale. L’Islam est une religion d’ordre, même si certains de
    ses préceptes peuvent-être contestés par un chrétien, il ne faut pas tout confondre. L’Iran
    connaît-elle de semblables révoltes, avec ces profils de délinquants ? »

    Mais quelle ignorance…

    L’islam incite au meurtre contre les gens en raison de leurs croyances, ça n’a rien à voir avec ton analyse de borgne… L’islam incite à la colonisation sanglante, au mariage précoce, à l’excision masculine et féminine, à l’amputation judiciaire, toutes les valeurs de l’islam sont inverses aux notres.

    Sourate 65 verset 4 : Allah commande aux musulmans d’attendre 3 mois pour répudier une enfant qui n’a encore jamais eu ses règles…

    Vous la sucez hallal pour ne pas la sucer kasher.
    Vous paierez tous. Rassurez-vous.

    Putain mais quels pignoufs… La France mérite peut-être de disparaître…

    Répondre
  • Ping :Fronde dans la police : vers un renforcement du monopole de la violence légitime de l’Etat — Der Friedensstifter

  • Ping :Kiev prépare activement sa provocation nucléaire à la centrale de Zaporozhye- ZNPP! La Pologne se prépare — Der Friedensstifter

  • 3 juillet 2023 à 22 h 57 min
    Permalink

    Il en va des forces de l’ordre comme des restaurateurs.
    Ont a forcés ces seconds à fermer durant la comédie Covidienne et cela a été d’autant bien accepté, qu’ils ont été achetés avec le « Quoi qu’il en coûte », mais aujourd’hui les restaurateurs ont un goût amer à la bouche, car ils voient leurs charges augmentés afin de leur faire rendre ce que l’Etat providence leur a prêter avec intérêts et non donné.
    Deux ans auparavant, les forces de l’ordre ont été largement utilisés contre les gilets jaunes au point d’être le dernier rempart qui empêcha le renversement de cette élite corrompu, mais la police nationale fit preuve d’un zèle inédit à éborgner et mutiler les manifestants à coups de primes et de hausse des salaires.
    Ce qui fait tourner le monde, c’est l’appât du gain et l’égoïsme, et tant qu’il en sera ainsi le monde n’ira pas mieux, car bien au contraire notre attitude reviens à scier la branche sur laquelle on est assis.

    Répondre
    • 22 septembre 2023 à 10 h 26 min
      Permalink

      CE1.
      Tu n’as même pas le niveau pour passer en CE2…
      « ils voient leurs charges augmentés afin de leur faire rendre ce que l’Etat providence leur a prêter »

      Putain.. Mais quel pays de dégénérés menteux…

      Répondre
    • 1 novembre 2023 à 14 h 09 min
      Permalink

      Oui, sauf que Macron et sa clique sont socialistes et ils dirigent un état français qui avec 58% du PIB est le plus gros état (socialiste) au monde qui n’est pas encore une dictature officielle comme la Corée du Nord.

      Or, le socialisme n’a jamais marché, même pas en rêve et le résultat est immuable.

      Adam Smith écrivait déjà sur les vertus de « l’égoïsme » et de « l’appât du gain » dans un état de droit et c’est bien en suisse libérale ou l’état et la fiscalité sont raisonnables que les éboueurs gagnent 4500 euros, les infirmières 6500 et que le chômage et la dette sont quasi inexistants.

      Les Français sont probablement les plus marxistes d’occident, ils ont voulu un énorme état socialiste, ils l’ont avec son cortège de faillite économique, de misère et de coercition.
      L’économie française est maintenant détruite par la fiscalité « égalitaire ». Un tiers de Français se retrouve avec 100 euros de reste à vivre le 10 du mois et ce n’est que le début.
      « Dieu se rit des hommes qui déplorent… » blablabla vous connaissez.

      Répondre
      • 3 novembre 2023 à 11 h 44 min
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        Inutile de répéter votre mantra au sujet des socialo-marxistes, vous vous trompez de site, allez plutôt sur le Courrier des Stratèges qui lui aussi fait la propagande pour la « Suisse libérale » où le logement, les biens et les services atteignent des prix démentiels …
        Vous devriez pourtant soutenir Macron qui continue à démanteler le service Public (les Mutuelles onéreuses ont remplacé la Sécurité Sociale volontairement étranglée par les prix exorbitants des soins, qui enrichissent les labos), l’E.N est siphonnée par les écoles privées réservées aux nantis, La Poste devient une banque comme les autres, etc…
        Posez-vous plutôt la question sur les véritables intentions de ceux qui saccagent un système que le monde entier nous enviait et qui fonctionnait très bien jusqu’au rouleau-compresseur Yankee et son piège de l’U.E .
        La Suisse est l’un des rares pays d’Europe occidentale à ne pas avoir rejoint l’Union européenne.
        Petit état qui n’a rien de comparable à la France mais qui peut de par sa taille pratiquer la démocratie directe, le fédéralisme et la neutralité armée.(sans oublier la « neutralité bancaire  » ! qui explique qu’il sert de « refuge » aux grandes fortunes…)
        Cependant, réalisant qu’une certaine forme de relation avec l’UE serait bénéfique pour l’économie commerciale du pays, la Suisse a progressivement négocié 120 accords bilatéraux avec Bruxelles.
        La Suisse fait également partie d’un autre groupe non membre de l’UE – l’Association européenne de libre-échange (AELE) – qui donne à la Suisse et à trois autres membres (Norvège, Islande et Liechtenstein) l’accès à certains avantages commerciaux et économiques au sein de l’association et de l’UE…(Intérêt quand tu nous tient !)
        Un quart de la population suisse est composée d’étrangers, dont la plupart viennent de l’UE.(les Français y étant considérés comme des travailleurs immigrés…)

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