Bernanos et la destinée totalitaire de la république – Nicolas Bonnal
que le pouvoir des banquiers allât de pair avec le cantique du communisme mondialiste, c’est ce que certains crétins ne veulent toujours pas comprendre.
Lire la suiteque le pouvoir des banquiers allât de pair avec le cantique du communisme mondialiste, c’est ce que certains crétins ne veulent toujours pas comprendre.
Lire la suiteTout le monde comprend peu à peu la farce humanitaire : il y a la victime qui compte et celle qui ne
compte pas (russe, palestinienne, etc.) ; il y a la cible qui compte et celle qui ne compte pas. Mais
tout cela se base sur un culte humanitaire né au XVIIIème siècle et appliqué depuis bien longtemps.
« Des millions et des millions d’hommes ne croyaient plus à la liberté, c’est-à-dire qu’ils ne l’aimaient
plus, ils ne la sentaient plus nécessaire, ils y avaient seulement leurs habitudes, et il leur suffisait d’en
parler le langage. Depuis longtemps, l’État se fortifiait de tout ce qu’ils abandonnaient de plein gré.
Ils n’avaient que le mot de révolution à la bouche, mais ce mot de révolution, par une comique
chinoiserie du vocabulaire, signifiait la Révolution Socialiste, c’est-à-dire le triomphal et définitif
avènement de l’État, la Raison d’État couronnant aussi l’édifice économique… »