L’Eglise copte rompt le dialogue œcuménique avec Rome à cause de “Fiducia Supplicans”
Il n’est pas mauvais que Rome se sente isolée des autres chrétiens et en communion avec le monde athée sur cette question.
Lire la suiteIl n’est pas mauvais que Rome se sente isolée des autres chrétiens et en communion avec le monde athée sur cette question.
Lire la suiteporter l’accent sur les immigrés importés en masse ne pouvait, vu leurs conditions misérables entretenues par la République à coups de drogues diverses et variées et de rap violent, qu’occasionner du tumulte, de la nuisance, de la nocence comme dit l’autre. C’était précisément l’opération espérée pour que les Français de souche un jour ou l’autre se rabattent sur eux afin de créer un plus grand chaos, sans viser évidemment ceux d’en haut dans leurs tours de Babel aux vitres fumées. Alors, les pauvres s’entredévoreront entre pauvres.
Lire la suiteLa première des choses à faire avant d’étudier les éléments de toute argumentation est de bien définir ce que le concept mis en cause englobe et ce à quoi il se rapporte.
Le terme « homosexualité » – et les notions modernes qu’il définit – est apparu, en langue française, tout à la fin du XIXeme siècle. A l’origine, en 1868 et 1869 l’écrivain hongrois Karl-Maria Kertbeny forgea les mots allemands homosexuell et Homosexualität en associant la racine grecque homo « semblable » (et non pas le substantif latin homo « homme ») et la racine latine (sexualis « sexuel »).
Il ne faut pas faire de contresens : l’homosexualité renvoie bien dès sa conceptualisation à l’idée de « commerce » (au sens du XVIIIeme siècle) entre des personnes de même sexe.