Le Grand Effacement

porter l’accent sur les immigrés importés en masse ne pouvait, vu leurs conditions misérables entretenues par la République à coups de drogues diverses et variées et de rap violent, qu’occasionner du tumulte, de la nuisance, de la nocence comme dit l’autre. C’était précisément l’opération espérée pour que les Français de souche un jour ou l’autre se rabattent sur eux afin de créer un plus grand chaos, sans viser évidemment ceux d’en haut dans leurs tours de Babel aux vitres fumées. Alors, les pauvres s’entredévoreront entre pauvres.

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Patrick McGoohan, le prisonnier et le nouvel ordre mondial – Nicolas Bonnal

On a déjà souligné que le combat du prisonnier semble biaisé, piégeant. Omar Khayyâm nous avait prévenus il y a mille ans sur ces grandes guerres feintes (quatrain CIII) :
« Voici la seule vérité. Nous sommes les pions de la mystérieuse partie d’échecs jouée par Allah. Il nous déplace, nous arrête, nous pousse encore, puis nous lance, un à un, dans la boîte du néant. »

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Guy Debord et le « despotisme peu éclairé » de notre apocalypse démocratique – Nicolas Bonnal

« L’imbécillité croit que tout est clair, quand la télévision a montré une belle image, et l’a commentée d’un hardi mensonge. La demi-élite se contente de savoir que presque tout est commenté d’un hardi mensonge. La demi-élite se contente de savoir que presque tout est obscur, ambivalent, « monté » en fonction de codes inconnus. Une élite plus fermée voudrait savoir le vrai, très malaisé à distinguer clairement dans chaque cas singulier, malgré toutes les données réservées et les confidences dont elle peut disposer. C’est pourquoi elle aimerait connaître la méthode de la vérité, quoique chez elle cet amour reste généralement malheureux. »

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Totalitarisme français : les prophéties de Tocqueville et Marx – Nicolas Bonnal

« Après avoir pris ainsi tour à tour dans ses puissantes mains chaque individu, et l’avoir pétri à sa guise, le souverain étend ses bras sur la société tout entière ; il en couvre la surface d’un réseau de petites règles compliquées, minutieuses et uniformes, à travers lesquelles les esprits les plus originaux et les âmes les plus vigoureuses ne sauraient se faire jour pour dépasser la foule ; il ne brise pas les volontés, mais il les amollit, les plie et les dirige ; il force rarement d’agir, mais il s’oppose sans cesse à ce qu’on agisse ; il ne détruit point, il empêche de naître ; il ne tyrannise point, il gêne, il comprime, il énerve, il éteint, il hébète, et il réduit enfin chaque nation à n’être plus qu’un troupeau d’animaux timides et industrieux, dont le gouvernement est le berger. »

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Notre époque comme hallucination collective

Les « nouveaux médias » de l’ère numérique agissent comme des passerelles qui relient l’intimité des esclaves de la postmodernité à la sphère des rapports de production. Les « objets intelligents » ont été créés afin de tenir le rôle de « laisses virtuelles » qui nous empêchent de nous soustraire à la comptabilité du monde de la production en « temps réel ».

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Mon nom est Légion : l’occident et le démon des organisations.

L’ONU nous prépare son pacte carbone, l’OMS le puçage médical et l’OTAN une guerre nucléaire d’extermination contre la Chine et la Russie. En ces temps d’apocalypse, voyons ce qui relie ces trois évènements : les « organisations ». On ajoutera l’union européenne, tant notre Satan aime être plusieurs (pensez aussi au G7 maçonnique). C’est dans l’Evangile selon Saint Marc, cet évangile qui dégoûte le pape et ses cathos vaccinés maintenant : Et il lui demanda : Quel est ton nom ? Et il lui dit : J’ai nom Légion, car nous sommes plusieurs. Pour les organisations économiques, mais aussi de nos jours pour les organisations politiques et en règle générale pour les organisations religieuses, le désir de dominer les autres, de conquérir, de commander, de s’emparer, de soumettre, de manipuler, d’exploiter, à l’échelle mondiale, nationale, de l’entreprise ou de la famille, est une tendance objectivement inévitable qui est depuis toujours le principal moteur de l’histoire collective, voire individuelle. 

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Gunther Anders et le virus de la télévision

Comme disait Lucien, sans la télévision l’on n’aurait même pas su qu’il y avait épidémie. La peste noire évoqué par les bouffons fascistes aux commandes a tué 40% des Européens, le coronavirus 0.4% de la population globale, et encore ; on a transformé une petite grippe bien moins mortelle que l’espagnole et tout aussi suspecte en Fin du monde pour les besoin de la cause : la Fin du monde précisément – renommée Reset. Plein d’imbéciles refusent encore de voir la réalité du complot, n’y voyant sans rire que l’incompétence.
Internet qui n’est qu’une énorme télé pour 90 ou 99% de la masse a renforcé cette aliénation.

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