Les franc-maçons représentent 0,34 % des électeurs mais 40% des parlementaires

45 % des adeptes s’inscrivent à droite et 55 % plutôt à gauche. En réalité ces loges, de “droite” comme de gauche, sont surtout progressistes, mondialistes et réformistes, sinon partisanes de la “déconstruction”. Par exemple, le divorce, d’inspiration maçonnique, est lié à la conception du couple selon le rituel, considéré non pas comme une union sacrée devant Dieu mais comme un simple “contrat” entre deux personnes, résiliable à tout moment. Car le moteur de la franc-maçonnerie est le progrès, la révolution permanente. Elle veut voir émerger un homme nouveau, androgyne, qui déciderait de sa vie comme de sa mort. Elle porte en son sein la transgression des principes judéo-chrétiens qui ont bâti notre Occident. Par les dispositions législatives, elle cherche ainsi à transformer la société.

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L’infiltration maçonnique est-elle responsable de l’apostasie généralisée du clergé catholique ?

Quelque chose a sérieusement mal tourné au sein de la hiérarchie de l’Église. L’hérésie généralisée, le scandale, la corruption et l’apostasie des bergers que le Christ a condamnés à juste titre comme des « loups déguisés en brebis » sont trop systématiques, et maintenant manifestes, pour être le fruit du hasard ou de la faiblesse humaine.

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