« Français, préparez-vous à être massacrés par les Russes ! »ou le véritable message des vœux 2024 de Macron

Par Anatoly Livry

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Les États de l’Europe occidentale ne sont plus gouvernés par leurs élus nationaux,
lesquels sont en réalité les otages d’une clique promue par des puissances supranationales.
Leur rôle se résume non seulement à une pure gestion économique et administrative des
territoires sous leur juridiction, mais surtout à la propagation des slogans de leurs gourous
cosmopolites dans la population qu’ils managent. Ces présidents ou premiers ministres
européens sont dépourvus de toute existence psychique, étant totalement interchangeables : ils
ne sont que les pantins d’une équipe qui saisit au vol les débris des idées des futurs
gouvernements globaux qu’ils déversent sur le pays qui leur est attribué sans totalement
comprendre de quoi il est question. Le comble : leurs opposants sont sélectionnés par les
mêmes cercles de puissance locale et ne pourront en aucun cas être les porteurs d’une
quelconque réforme iconoclaste qui pourrait rendre un peu d’humanité à ce peuple qui n’est
vu que comme un bétail destiné à être d’abord abruti pour que soient plus facilement
vampirisées leurs capacités créatives héritées de leurs ancêtres, puis à être métissé de moins
en moins utilement pour être lancé dans les combats d’une troisième guerre mondiale chaude
qui les effacera et parachèvera leur remplacement.
Ainsi quand le président Sarkozy à l’École polytechnique de Palaiseau nous parle le
17 décembre 2008 de son objectif qui est de « relever le défi du métissage que nous adresse le
XXI e siècle » 1 , son équipe qui a pondu ce chef-d’œuvre de rhétorique n’a fait que porter à
l’attention de sa population des séquences du discours de ses seigneurs dont elle ne maîtrise
pas le sens et la portée même à moyen terme. Et cette ânerie prétentieuse et anachronique que
les professeurs universitaires d’avant et d’après Sarkozy ne cessent de répéter – « Le défi du
métissage, la France l’a toujours connu. Elle l’a toujours relevé. Elle a toujours au cours des
siècles métissé les cultures, les idées, les histoires. » 2 – ne sont que les prémices du message
que son acolyte Macron ne nous a sorti lors dès sa première campagne présidentielle quant à
cette culture française qui n’existerait point : « Il n’y a pas de culture française. Il y a une
culture en France. Elle est diverse. » 3 . En effet, ce n’est pas que ce Macron serait un autre
Sarkozy « mais en mieux » 4 , mais tout simplement que l’extermination que leurs maîtres nous
préparent est de plus en plus proche. Et c’est pour cela qu’il est plus cru alors qu’il doit
s’adresser au groupement d’anthropoïdes qu’il gère comme un troupeau kolkhozien.
Entre décembre 2008 et décembre 2023, quinze ans sont passés, temps nécessaire pour élever
une population de nouveaux adultes électeurs, totalement demeurés. Il faut donc y aller plus
franchement, sans prendre de gant : ainsi en est-il quand des analphabètes – comme le
ministre des Affaires étrangères qu’il choisira quelques semaines plus tard – s’adressent à des
illettrés. Il faut bien me comprendre : mes critiques ne s’adressent nullement à la seule équipe
gouvernante. Tout l’establishment occidental, francophone notamment, a été sélectionné sur
des critères de dégénérescence psychique, s’expliquant en partie par la soif de ressources et
d’accès à la fornication – soit souvent à une certaine perversité sexuelle – des professionnels
qui en sont à l’origine. Ils ont mis en place des critères pour choisir les futures élites
contraires à ce qui a fait de l’homme un être humain durant des millénaires – à savoir la
créativité désintéressée. Ainsi s’explique le désespoir de la situation actuelle : même les

contradicteurs de cette clique institutionnelle de présidents français – que ce soit le clan Le
Pen ou un Zemmour – seraient totalement incapables de modifier l’avenir de leur nation
même si, un jour, ils accédaient au pouvoir car eux-mêmes, et les équipes qui les entourent,
ont été choisis à chaque nouvelle étape de leur carrière par les mêmes destructeurs
deshumanisants 5 .
Depuis quinze ans, le défi du métissage a effectivement été relevé et jamais une
république de moins en moins française, et même de moins en moins francophone, ne pourra
renouer avec les racines celto-germaines de la France. Puisque la créativité et l’inventivité – et
donc la productivité – de son peuple se rapprochent désormais de zéro (sans pour autant
coûter moins cher à ses maîtres qui s’endettent chaque année davantage pour continuer à
l’entretenir), le moment où il faudrait annihiler ces masses inutiles approche. Mais si l’on veut
liquider ces francophones de la manière la plus optimale et la plus rentable possible, il faut
canaliser cette exaspération bestiale pour pouvoir mieux les envoyer, au bout de quelques
années, combattre les Slaves orientaux – autrement dit les Russes. L’ordre donné pour la
population francophone dans les années à venir sera donc de faire du Russe un ennemi par
excellence afin que tous nos braves détenteurs de passeport de la république dite française
aillent mourir sur le front russe après que cette Ukraine imaginaire aura perdu son combat
quand elle aura sacrifié jusqu’au dernier Ukrainien sur son front de l’Est.
Telle est l’unique intention sous-jacente du charabia que le président Macron nous a
déballé le 31 décembre 2023. C’est lui qui lance les premiers mots-clés de ce long dressage de
ses chers concitoyens qui les amènera à crever joyeusement et en masse sur le front russe.
Remarquable cette allocution prononcée devant le drapeau olympique, le drapeau de la
communauté dite européenne et ceux de tous les pays admis à participer à ces Jeux par ordre
alphabétique – et où le drapeau français est dès lors quasi invisible. Cela donne l’impression
aux spectateurs que le président français a choisi comme décor les symboles d’une
communauté non fonctionnelle, un drapeau blanc et le drapeau de l’Algérie. Évidemment,
pour que soit mieux désigné le nouvel ennemi, les drapeaux russe et biélorusse sont exclus –
tout comme les principes des Jeux olympiques ressuscités par le baron Pierre de Coubertin qui
aspirait à montrer l’affrontement dans le sport de peuples et non celui d’athlètes naturalisés.
Les trois piliers de ce discours sont le « réarmement », la « planification » et une chimérique
« nation » à laquelle ce président potiche a adressé ses vœux, la préparant au sacrifice.

Le « réarmement » du kolkhoze francophone
Commençons par ce « réarmement » qui a produit une minuscule chienlit chez les
féministes et les émasculés. Peu importe à ce président le « réarmement économique » 6 , le
« réarmement civique » 7 ou encore un « réarmement industriel, technologique et
scientifique » 8 . Il rabâchait ce terme de « réarmement » (prononcé sept fois, sans compter le
verbe portant la promesse de « réarmer nos services publics » 9 ) afin de commencer à habituer
les peuplades francophones à cette nouvelle tendance pour l’avenir. Surtout il adressait à ses
patrons la confirmation qu’il avait bien compris son ordre de mission : « Moi, Macron, je
commence par dresser la V e république contre la Russie avec un budget militaire qui sera
doublé sous mes deux quinquennats 10 et surtout le « réarmement » d’une « souveraineté
européenne » (notion plus que mythique) face au péril russe ». À 9 min. 10 du discours,
l’ennemi russe est clairement pointé. Et Macron associe distinctement le destin de la
population francophone à celui des Russes occidentaux, ces prétendus Ukrainiens que l’on a

d’abord poussés jusqu’au putsch en 2014 et puis, à la suite d’une ingénierie sociale simpliste,
a su retourner contre leurs frères de l’Est : « Vous aurez au mois de juin prochain à vous
prononcer sur la poursuite de ce réarmement de notre souveraineté européenne face aux
périls : arrêter la Russie et soutenir les Ukrainiens ou céder aux puissances autoritaires en
Ukraine […] » 11 . L’avenir des citoyens français – qu’ils soient de souche ou importés – est
donc tout tracé : ils seront les nouveaux Ukrainiens qui, excités par une manipulation basique
constitueront une nouvelle vague humaine qui sera prête à crever, sur les cadavres ukrainiens,
par centaines de milliers en Europe orientale pour satisfaire les desiderata des chefs de
Macron à peine invisibles.
Voilà la raison pour laquelle le président élu par les Français nous parle d’un « réarmement de
la nation » 12 à 8 min. 30 de son discours que je peux réinterpréter aussi : « Voyez mes maîtres
cosmopolites, je commence à préparer mes troupeaux francophones au sacrifice auquel vous
les avez prédestinés et je les mènerai contre les Russes quand ils seront prêts – que je sois
encore président de la V e république ou l’un des gouvernants du Léviathan de la communauté
européenne. D’ailleurs n’oubliez pas de me réserver une place à Bruxelles car je veux
continuer ma carrière globale sur les dépouilles des millions de français que je vous offre. ».
Et semblable à ses prédécesseurs fanatiques terroristes de 1793, Macron se réserve le droit de
mesurer ce qui est anormal sur notre planète Terre, se gardant le privilège, à l’instar de
Westermann en Vendée, de décider qui doit être exterminé et qui doit être sauvé : « Nous
devons donc continuer ce réarmement de la nation face au dérèglement du monde. » 13 Et ma
référence à la Terreur, génitrice incontestable de Macron et de ses maîtres, n’est point
innocente.

La « nation » des aliénés
Quelle est cette « nation » dont parle Macron dès la 40 e seconde de l’introduction à
son discours, ce terme que cet ancien ministre de l’Économie de Hollande semble soudain
découvrir et qu’il ne cesse de répéter dans son allocution ? Nullement retenu par la bêtise de
son équipe, le président ne se gêne guère pour avouer ses intentions : il nous replonge dans
l’esprit de la révolution, celui de ces massacres inouïs qui marquèrent le premier génocide de
l’histoire moderne commis par le pouvoir sur une séquence de son État. Référence ouverte
donc à cette Terreur dont les auteurs – des terroristes – ont donné leur nom aux places,
stations de métro, boulevards de la république, car c’est dans cette Terreur menée contre les
élites véritables de la France, la paysannerie menée par l’aristocratie guerrière de Vendée, de
Bretagne, de Loire-Atlantique que cette « nation » est née. N’oublions pas que, à en croire les
mémoires du duc de Saint-Simon, quand les rois s’adressaient à leurs sujets, ils respectaient
leur authentique multiculturalisme et pluriethnisme en utilisant l’expression « mes
peuples » 14 et que ce sont les terroristes, dans leur esprit de révolution tant admiré par
Macron, qui ont fondu ces peuples – en en exterminant les rebelles 15 – naguère choyés par
leur roi en une « nation » qu’ils ont par la suite utilisée pour leurs guerres fratricides
européennes. Ayant perdu tout lien avec les racines de ses aïeuls, ses anciennes provinces et la
foi de ses ancêtres, cette « nation » est plus facile à jeter dans les aventures imaginées par les
cerveaux fous des idéologues du moment – la première guerre mondiale, le massacre de
l’Indochine ou les « événements » d’Algérie où les Européens ont été trahis d’abord, puis
sacrifiés aux intérêts cosmopolites. Depuis la loi sur le regroupement familial – soit depuis
bientôt un demi-siècle –, l’on nous a fabriqué une « nation » tout autre, charnellement plus
compréhensible pour des anthropoïdes comme Macron : celle des détenteurs de cartes

d’identité qui s’inscrit dans le sillage du « défi du métissage » de Sarkozy d’il y a quinze ans.
Ces déracinés analphabètes, psychotiques et/ou invertis composent la « nation » de Macron et
sont naturellement bien plus malléables que les patriotes de 1793. Ils iront au massacre sur les
frontières occidentales de la Russie sous l’égide de cet « esprit de la Révolution » macronien
et des valeurs « européennes » sans se poser beaucoup de questions. Là les dernières forces
vives gauloises qui auraient pu faire obstacle à ce type de sélection effectuée par une minorité
ponérologique 16 seront anéanties.

La « planification écologique » comme catéchisme satanique
À ce troupeau d’anthropoïdes il faut naturellement une nouvelle religion. Il faut que
cette croyance soit à la fois postmarxiste et sans-frontiériste. Il faut que cette nouvelle Église
sataniste ait une catéchèse pour ses illettrés. Voilà à quoi sert l’écologisme. Quand Macron
évoque dans son discours à double reprise la « planification », il ne s’agit bien sûr pas de la
résurrection d’un commissariat général au Plan gaulliste, lequel était dirigé par la dernière
génération d’ingénieurs français encore capables d’inventions – car ils n’étaient pas illettrés,
la majorité d’entre eux ayant eu la chance d’aller à l’école à l’époque du maréchal Pétain. Il
ne s’agit pas non plus des organismes de planification dressés par des militaires nationalistes
ou services spéciaux dévoués à leur peuple dans des pays post-seconde guerre mondiale tels
que le Japon 17 ou la Corée du Sud 18 – ce qui a été à l’origine de leur miracle économique.
Non, car pour cela il faudrait un autre mode de cerebral sorting, contraire à celui que
préconisent les maîtres globalistes de tous ces petits Macron occidentaux. Ces derniers ont
beau penser qu’ils auront toujours des créateurs élitistes de luxe à leur disposition, ils ne
comprennent pas que le raffinement culinaire, vestimentaire… se crée exclusivement grâce à
l’élévation du niveau moyen de la population nationale – différente dans chaque État-nation –
et que seule cette élévation progressive produit des explosions de génie individuelles, de
façon naturelle et spontanée. Mais ce cloaque de fanatiques dégénérés n’offre aucun génie
créateur (à l’exemple de ces professeurs universitaires français, fonctionnaires du ministère de
l’Enseignement de la république ne maîtrisant absolument pas leur langue maternelle
française 19 ). Ici surgit le mot interdit pour ces psychotiques du pouvoir : « naturel ». En le
prononçant, je commets le péché suprême pour cette nouvelle Église de la dégénérescence
qu’est cet écologisme cosmopolite cher à Macron que de plus il a la prétention de vouloir
« planifier ». Dans son discours, à 4 min. 05, il nous parle d’une « planification écologique
inédite » intrusive dans la vie de chaque individu – autrement dit devenue une authentique
religion d’État 20 . Et, à 7 min. 20, il ajoute : « […] notre écologie, cette écologie à la
française, notre planification continuent de se déployer comme un modèle et un chemin
singulier […] » 21 . En effet, Macron nous parle toujours de climat ou d’écologie, mais jamais
de la nature – qui elle devrait réellement être protégée. Ces fanatiques sont guidés par une
pensée magique d’infantiles, n’ayant jamais eu un père qui imposerait l’ordre et une mère qui
leur donnerait de l’amour désintéressé et des repères. Tous ces clones de Macron vont donc
chercher tout cela, une fois adolescents tardifs et retardés, auprès de leurs maîtresses d’école.
Voilà pourquoi ils fabriquent des lois iniques qui condamneront ceux qui osent évoquer le
« naturel » pour la nature et l’une de ses séquences, l’être humain. Voilà pourquoi ils
proclament cette nécessité de répondre aux obligations religieuses d’un certain écologisme
« planifié ».
Tel est leur but à peine dissimulé : dissoudre les séquences des anciens peuples de
France dans une Marianne prostituée et métissée – rappelons que, sous la présidence de

François Hollande, sa représentation timbrée a été inspirée par une Ukrainienne féministe, les
prémices d’une attaque symbolique anti-russe – que Macron et les siens appellent « nation »,
la « réarmer » et la rendre chaque année de plus en plus écervelée et donc de plus en plus
fanatisée afin de pouvoir lancer en France un nouveau « Maïdan psychique ». Le but de tout
cela : mettre sur pied une nouvelle « nation » terroriste, colonne infernale ressuscitée guidée
par une religiosité psychopathique – l’écologisme – qui aura été de surcroît « planifiée » aux
frais de ce contribuable local conduit au massacre quelque part entre la Russie et la Pologne
afin que les patrons de tous ces minables Macron aient enfin quelque sourire d’approbation
qui ne soit pas sinistre. Une fois réalisées les intentions portées par Macron dans son
allocution, j’ai du mal à croire qu’il restera en Europe occidentale quelques Celtes ou
Germains dans lesquels couleraient encore des gouttes de l’héritage de leurs glorieux ancêtres.


Dr Anatoly Livry, Altdorf, Suisse

1 « Déclaration de M. Nicolas Sarkozy, Président de la République, sur une politique en faveur de
l’égalité des chances et de la promotion de la diversité, à Paris le 17 décembre 2008 »,
https://www.vie-publique.fr/discours/173543-declaration-de-m-nicolas-sarkozy-president-de-la-
republique-sur-une-p.
2 Ibid.
3 Cf. p. ex. Yves Jégo, « Emmanuel Macron et le reniement de la culture française », Le Figaro, le 6
février 2017, https://www.lefigaro.fr/vox/politique/2017/02/06/31001-20170206ARTFIG00209-
emmanuel-macron-et-le-reniement-de-la-culture-francaise.php.
4 « Quand Sarkozy se compare à Macron », BFMTV, le 6 juin 2017,
https://www.bfmtv.com/politique/quand-sarkozy-se-compare-a-macron-c-est-moi-en-mieux_AN-
201706060069.html.
5 Sur le ridicule d’un « immense intellectuel » Zemmour et de son équipe de grands réformateurs
européens cf. p. ex. : Dr Anatoly Livry, « La droite française, cette passivité cérébrale invincible »,
Strategika, Paris, le 26 septembre 2022, https://strategika.fr/2022/09/26/la-droite-francaise-cette-
passivite-cerebrale-invincible.
6 « Vœux du président de la république aux Français pour 2024 », le 31 décembre 2023,
https://www.elysee.fr/front/pdf/elysee-module-22107-fr.pdf.
7 Ibid.
8 Ibid.
9 Ibid.
10 « […] en une décennie, le budget de nos armées aura ainsi été doublé. » : ibid.
11 Ibid.
12 Ibid.
13 Ibid.
14 Cf. p. ex. une lettre de Louis XIV : « […] l’espérance d’une paix prochaine était si généralement
répandue dans mon royaume que je crois devoir à la fidélité que mes peuples m’ont témoignée
pendant le cours de mon règne la consolation de les informer des raisons qui empêchent encore qu’ils
ne jouissent du repos que j’avais dessein de leur procurer. (…) je suis persuadé qu’ils [mes peuples]
s’opposeraient eux-mêmes à la recevoir à des conditions si contraires à la justice et à l’honneur du
nom françois. » : Louis de Rouvroy, duc de Saint-Simon, Mémoires, éd. de M. Arthur de Boislisle puis

Léon Lecestre et J. de Boislisle, Paris, librairie Hachette, impr. Lahure puis Durand, 1903, t. XVII,
p. 605-606.
15 « Il n’y a plus de Vendée, citoyens républicains. Elle est morte sous notre sabre libre. (…) Je viens
de l’enterrer dans les marais et dans les bois de Savenay. Suivant les ordres que vous m’avez donnés,
j’ai écrasé les enfants sous les pieds des chevaux, massacré les femmes qui, au moins pour celles-là,
n’enfanteront plus de brigands. J’ai tout exterminé. » : lettre du 23 décembre 1793 par laquelle le
boucher de la Vendée aurait revendiqué son génocide de l’un des peuples de France.
16 Naturellement, le terme de ponérologique n’est pas de mon cru. Cf. à ce propos les travaux d’un
psychiatre polonais injustement oublié : « Il nous faut donc envisager le triomphe sanglant d’une
minorité pathologique sur le mouvement majoritaire comme une phase de transition pendant laquelle
se concrétise le nouveau contenu du phénomène. Toute la vie d’une société ainsi atteinte est dès lors
soumise à des critères de pensée déviante et infiltrée par leur expérience spécifique, en particulier celle
qui est décrite dans la session consacrée à la psychopathie essentielle. » : Andrew M. Lobaczewski, La
ponérologie politique : Étude de la genèse du mal, appliqué à des fins politiques, La Pilule rouge,
Castelsarrasin, traduit de l’anglais par Micheline Deschreider, 2006, p. 199.
17 Cf. p. ex. Christian Sautter, « La planification en France et au Japon », Économie et statistique,
n°101, Juin 1978, Paris, p. 61-63.
18 Cf. p. ex. Laurent Quisefit, « Autoritarismes civils et militaires en Corée du Sud: 1948-1979 »,
Diacronie. Studi di Storia Contemporanea, n° 24, 4, 2015, Bologna, p. 305-325.
19 Cf. p. ex. : Dr Anatoly Livry, « La slavistique française : quatre générations de russophobes
académiques », Paradigme humanitaire, édition de l’Institut interrégional de développement
territorial, Yalta, n° 3 (26), 2023, p. 13-34, http://humparadigma.ru/art/2019/06/GP-2023_326_v1-
2.pdf.
20 « Nous avons posé les fondations d’une planification écologique inédite et dégagé des moyens
massifs pour accompagner chacun de vous dans cette transition. » dans « Vœux du président de la
république aux Français pour 2024 », le 31 décembre 2023, https://www.elysee.fr/front/pdf/elysee-
module-22107-fr.pdf.
21 Ibid.

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