Le comte Folke Bernadotte qui sauva 15 000 prisonniers des camps de concentration sera assassiné par un juif sioniste
Source : lemediaen442.fr – 23 septembre 2024
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Folke Bernadotte, né le 2 janvier 1895 à Stockholm, était un diplomate suédois dont le parcours extraordinaire est marqué par un héroïsme indéniable et un engagement sans faille en faveur de la paix. Vice-président de la Croix-Rouge suédoise, il s’est révélé être un acteur clé pendant la Seconde Guerre mondiale, négociant avec succès la libération de 15 000 prisonniers des camps de concentration.
En tant que responsable de l’opération des « Bus blancs », Folke Bernadotte a orchestré l’évacuation de déportés vers des hôpitaux suédois, libérant ainsi environ 15 000 personnes de l’enfer des camps de concentration. Ces actions humanitaires ont valu à Bernadotte une immense popularité et ont cimenté son statut de sauveur de vies.
Malheureusement, le 17 septembre 1948, à Jérusalem, Folke Bernadotte a été tué à bout portant, avec l’officier qui l’accompagnait, le colonel français André Sérot, chef des observateurs des Nations unies à Jérusalem. Ces attaques ont été perpétrées par des membres du groupe terroriste juif sioniste Lehi, — dit groupe Stern. Ce groupe est alors dirigé par Yitzhak Shamir, futur cadre supérieur du Mossad en 1955 qui sera député de la droite israélienne en 1973, avant de devenir le président de la Knesset en juin 1977, lors de la première victoire du bloc de droite en Israël et qui deviendra également premier ministre de l’État d’Israël en 1983/1984 puis à nouveau de 1986 à 1992.
Le 1er août 1948, Israël Eldad, un des trois dirigeants du Lehi, déclare, lors d’une réunion publique à Jérusalem :
« Les combattants pour la liberté d’Israël adressent une mise en garde aux observateurs des Nations unies [et] aux généraux de Bernadotte […]. Nous emploierons contre les représentants d’un pouvoir étranger les mêmes méthodes que nous avons employées contre les Britanniques ».
Selon les propos d’Israël Eldad, en août, la résolution d’assassiner Folke Bernadotte est adoptée par les trois leaders du Lehi, constituant alors le sommet du pouvoir au sein de l’organisation, avec la participation d’Yitzhak Shamir, de Nathan Yalin-Mor et d’Israël Eldad.
Pierre Gaillard, délégué du Comité international de la Croix-Rouge (CICR) en Palestine, a témoigné des jours qui ont précédé l’assassinat de Bernadotte. Il a souligné que le comte était loin d’être le bienvenu en raison d’une virulente campagne de presse en Israël. Des affichettes répandues dans tout le pays indiquaient clairement l’hostilité envers lui.
Bernadotte, descendant de la royauté suédoise en tant que petit-fils du roi Oscar II et neveu du roi Gustave V, était le fils du prince Oscar Bernadotte, comte de Wisborg, et d’Ebba Munck af Fulkila. Son héritage est indéniable, laissant une empreinte significative grâce à ses actions humanitaires et diplomatiques pendant cette période sombre de l’histoire.
Le 14 octobre 2005, plusieurs anciens déportés politiques rédigent une lettre :
« Au nom du gouvernement suédois, Folke Bernadotte et les équipages des « Bus blancs » accomplirent la plus grande action humanitaire de la Seconde Guerre mondiale. Le gouvernement suédois devrait au plus tôt ériger un monument en hommage à cette expédition. […] qui risquèrent leur vie dans cette expédition. »
En 1998, Folke Bernadotte a été honoré à titre posthume en recevant l’une des trois premières médailles Dag Hammarskjöld, décernées aux soldats de la paix de l’ONU qui ont perdu la vie en remplissant leurs fonctions.
Un mémorial dédié à Folke Bernadotte se trouve à Uppsala, en Suède. Par ailleurs, la bibliothèque de l’université Gustavus Adolphus College à St. Peter, Minnesota, aux États-Unis, porte son nom.
Son histoire complexe mêle les aspects héroïques de son rôle pendant la guerre et les débats entourant sa médiation en Palestine. Folke Bernadotte reste une figure captivante, symbolisant les défis et les dilemmes moraux de son époque, tout en laissant derrière lui un héritage qui transcende les frontières nationales.
Je pense que si Israël n’a pas été déclaré capitale du monde chrétien c’est que celui-ci était ailleurs et il semblerait que ce soit au Yémen, les textes déchiffrés indiquent clairement que le pouvoir était détenu par les femmes, qui étaient élevées aux rangs de déesses, même dans le Sépher de Moïse, on parle de mes filles mes Dieux, hélas j’ai égaré mes notes, la traduction de l’hébreu est aléatoire, ainsi quand on parle des chênes de Mamré, il semblerait que ce soit plus des autels de pierres que des arbres.
« Le comte Folke Bernadotte qui sauva 15 000 prisonniers des camps de concentration sera assassiné par un juif sioniste »
Peux-être un début d’explication : Au commencement du Moyen Âge, les Israélites dispersés s’étaient répandus sur toute l’Europe. On les appelait Juifs, quoique les vrais Juifs eussent presque tous passé au Catholicisme, et fussent devenus les plus ardents adversaires des anciens représentants des tribus d’Israël. Ce sont les Juifs christianisés, par ironie sans doute, qui donnaient aux Israélites leur nom de Juifs qui était discrédité et détesté partout.
Aussi, il ne faut pas confondre les Juifs et les Israélites, comme sans doute le faisaient les Romains, et comme le font encore presque tous les historiens modernes. Les Sémites formaient deux partis en lutte. Les Israélites restèrent toujours séparés du monde juif, qui représentait pour eux l’usurpation du pouvoir religieux ; ils gardaient fidèlement leurs principes théogoniques et leur grande loi morale.
Rappelons que le Coran utilise deux expressions différentes pour désigner les juifs : soit « fils d’Israël » (banû Isrâ’îl) quand il s’agit des authentiques dépositaires de la tradition hébraïque, soit proprement « juifs » (yahûd) quand il s’agit des représentants de ses formes déviées.
La confusion qui s’établit entre les Juifs et les Israélites commence au premier siècle.
Les Juifs, qui sont partout méprisés, se font appeler « fils d’Israël », croyant par cette supercherie reconquérir l’estime perdue. C’est ceux là que Voltaire prend à parti lorsqu’il écrit : « Les juifs ne sont qu’un peuple ignorant et barbare qui allie depuis longtemps la plus répugnante avarice et la plus abominable superstition à une haine inextinguible pour tous les peuples qui les tolèrent et grâce auxquels ils s’enrichissent. ». Pour comprendre la persécution dirigée contre les Sémites, il faut savoir que ce sont les Israélites (féministes) qu’on persécute, et non les Juifs qui les ont renversés pour établir un régime masculiniste. Ces précisions sont susceptibles d’apporter un éclairage nouveau sur certains évènements tragiques de l’histoire, notamment ceux ayant eu lieu au cours de ces trois derniers siècles, et aussi sur l’utilisation abusive, voire la manipulation aujourd’hui, autour de l’argument, devenu l’argutie, de l’« antisémitisme », brandit à tout propos et en toute occasion par l’oligarchie « masculiniste » et toutes ses marionnettes.
« L’héritage Sioniste avait quelque chose de vicié au départ. » (Eliezer Livneh)
NB : Lors des Croisades, Pierre l’Ermite ne parvint pas en Palestine. Il mourut avant d’y arriver, le 17 juillet 1095.
Godefroy de Bouillon fut plus heureux, il arriva jusqu’à Jérusalem et s’en empara le 15 juillet 1099, et y fonda un royaume passager.
Pourquoi ne déclara-t-il pas Jérusalem la capitale du monde chrétien, la ville sainte, la ville sacrée ? Parce qu’à Jérusalem il ne trouva pas l’ombre de Jésus, il trouva le souvenir de la Reine Daud, la tradition féministe toujours vivante.
On était mal à l’aise, dans cette ville où s’était déroulée la dramatique histoire de Daud (David), et où avaient régné les filles de Sion. Daud, dont on a changé le sexe, est devenue le roi David.
Rappelons que Le nom « David » est la traduction du nom hébreu « Daud », nom féminin qui était celui de la dernière souveraine, Reine et Mère de Salomon, qui fut martyrisée à Jérusalem après y avoir régné 33 ans.
« Aucun homme, écrivain, politique ou diplomate, ne peut être considéré comme mûr tant qu’il n’a pas abordé carrément le problème juif. » (Wickham Stead)
Lien : https://livresdefemmeslivresdeverites.blogspot.com/2017/07/delisraelismeaujudaisme.html