Céline et la malédiction du pacifisme – Nicolas Bonnal

On l’a vu avec Trump : les pacifistes sont toujours considérés comme des nazis. Celui qui veut l’humanité cuite au nucléaire (péril chinois, russe, arabo-iranien, nord-coréen, etc.) est le héros humanitaire et démocrate et nobélisable. Mais on ne la refera pas leur république. Elle aime s’envoyer en l’air sur les champs de bataille – et ce depuis le début.

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Louis-Ferdinand Céline et la robotisation du monde et des gens – Nicolas Bonnal

Comme Bernanos combat les robots. Le mot « robot » revient trente-sept fois dans
Bagatelles pour un massacre, ce qui est énorme. Car comme je l’ai montré ce que combat Céline… Les robots ne se révoltent pas. Asimov avait raison : donc on a transformé les gens en robots, ce qui
était facile, reconnaissons-le.
dans les Pamphlets c’est le monde moderne

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Frédéric Bernays et Louis-Ferdinand Céline face au conditionnement moderne – Nicolas Bonnal

Céline : « Pour s’imposer au goût, à l’admiration des foules les plus abruties, des spectateurs, des électeurs les plus mélasseux, des plus stupides avaleurs de sornettes, des plus cons jobardeurs frénétiques du Progrès, l’article à lancer doit être encore plus con, plus méprisable qu’eux tous à la fois. »

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Martyanov et la montée eschatologique de la stupidité en occident – Nicolas Bonnal

Que nous apprend cette crise du virus, cet idéal de frugalité énergétique, ce goût presque teutonique pour le camp de concentration planétaire ? Que nous sommes des idiots et des lâches dirigés par des tyrans mal élus et débiles, dont les solutions sont criminelles, suicidaires, inefficaces. Le dénominateur commun de tout cela c’est l’idiotie. La foule mondialiste veut du reset et du vaccin, de la prison et de la mort – ce que son élite appelle par exemple la transition énergétique. Elle veut aussi de l’esclavage volontaire, et cette soumission, on le sait depuis La Boétie et depuis l’Antiquité, accompagne l’idiotie.

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