La Haute finance s’intéresse au cerveau et aux maladies mentales. Implant cérébral au menu.
Est-ce que les dépressifs vont devenir des patients captifs à qui l’on va insérer ces implants cérébraux? Imaginez un dépressif pris dans le système de santé publique actuel. Aura-t-il la force de s’opposer à un implant cérébral plus ou moins invasif?
Et là comme pour les injections covidiennes, nous reformulons les questions qui tuent:
Où sont les études qui démontrent de l’efficacité, mais aussi de l’absence d’effets secondaires graves.
En l’absence de telles études probantes, nous pouvons supposer que les victimes psychiques de la politique de confinement po
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