Billet sébastopolien : on ne négocie pas avec les criminels

Hier à 12h15 (le 23 juin), l’armée atlantico-ukrainienne a lancé 5 missiles américains ATACMS sur les plages de Sébastopol. Un dimanche d’été. Plus de 150 personnes touchées dont une trentaine d’enfants, heureusement seulement 4 morts. 4 missiles ont été interpelés par le système de défense aérienne russe, un a explosé en vol, il contenait des sous-munitions pour toucher un maximum de civils. Voici la réponse apportée au « plan de paix » de Poutine. Il va bien falloir à un moment donné accepter cette réalité. 

Lire la suite

Blocs continentaux versus hégémonisme océanique – La dialectique géopolitique

Pour s’affirmer comme la puissance régionale, Rome est contrainte de sortir de la péninsule italienne et d’affronter Carthage, tout comme la Russie est sortie de ses frontières pour affronter l’OTAN en Ukraine. Dans les deux cas, la guerre était inéluctable. Car, de deux choses l’une, soit la puissance terrestre demeure dans ses frontières et laisse venir la puissance maritime l’attaquer sur son territoire, au risque d’être acculée voire de disparaître, soit elle se projette militairement pour sanctuariser une zone d’influence plus large qui constituera une protection durable.

Lire la suite

Macron : la stratégie de la tension, dans quel but ?

Cet événement s’inscrit malheureusement dans ce qui semble être une « stratégie de la tension » entretenue par le président français, lequel ne cesse, depuis quelques semaines, d’appeler à une réaction ferme vis-à-vis de la Russie dont il grossit démesurément la menace, parce que l’armée ukrainienne est en position extrêmement difficile après ses récents revers (échec de la contre-offensive, perte d’Adiivka) et son déficit en munitions d’artillerie, ainsi qu’en raison du blocage de l’aide américaine et du désintérêt croissant du Congrès pour cette guerre.

Lire la suite

Le Bürgenstock peut réussir… Mais sans Zelenski (ni Cassis)

l’Occident est aujourd’hui dans une impasse. Il n’a toujours pas de stratégie de sortie de crise en Ukraine et n’a rien à proposer en dehors d’un soutien aveugle et inconditionnel au régime de Zelenski. Il ne sait pas quoi, comment ni avec qui négocier puisqu’il boycotte Poutine. Il se contente donc de suivre les élites les plus bellicistes d’Europe de l’Est, des pays baltes, de Pologne et de Washington, tout en n’étant pas d’accord sur ce que la paix devrait et pourrait être. Il n’y a pratiquement aucune chance pour que cela change avant les élections de novembre aux Etats-Unis

Lire la suite

Les ministres de l’OTAN examinent la mise en œuvre d’un fonds de 100 milliards d’euros pour l’Ukraine

Les ministres des Affaires étrangères de l’OTAN devraient discuter en détail d’un programme de soutien à l’Ukraine lors de leur réunion à Prague vendredi (31 mai), avant le sommet de l’alliance qui se tiendra en juillet à Washington.

Lire la suite

L’Eurovision, création de l’OTAN

Le concours Eurovision de la chanson a contribué à présenter au monde extérieur le régime liberticide de Kiev. Bien sûr, il y a quelque chose de légèrement ridicule à prendre l’Eurovision au sérieux. Mais en même temps, on ne peut pas nier l’impact que ce concours a eu sur le profil international de l’Ukraine. Le concours Eurovision de la chanson 2023 a attiré 183 millions de téléspectateurs… qui ont avalé la propagande conçue et fabriquée dans le cadre des sinistres convoitises de l’OTAN.

Lire la suite

Le président slovaque fermement opposé à la dictature de l’OMS : Bratislava rejette le «traité sur les pandémies»

Depuis qu’il est redevenu président de la Slovaquie il y a quelques semaines, Robert Fico provoque de nombreuses migraines chez ses partenaires occidentaux. Il a d’abord déclaré ostensiblement que son pays ne participerait plus au soutien occidental à l’Ukraine et n’enverrait plus d’armes.

Coup de théâtre suivant : Fico annonce que son gouvernement ne signera pas le traité que veut imposer l’Organisation mondiale de la santé (OMS) sur les pandémies.

Lire la suite