L’État profond américain est né en Angleterre

Pour installer un gouvernement mondial qui était leur but ultime, il fallait continuer à rester dans une ombre protectrice. David Rockefeller, fondateur du « Bilderberg » et de la « Commission trilatérale », deux think tanks souchés sur le CFR, l’avait parfaitement compris. Le grain de sable qui a obligé l’État profond à s’exposer en pleine lumière s’appelle Donald Trump. Élu contre toute attente contre la candidate de l’État profond en 2016, il déclarait en 2017 que « les mondialistes n’avaient plus d’avenir » Cependant, il a perdu l’élection de 2020 et ses adversaires ont cru qu’ils avaient gagné en plaçant Joe Biden à la Maison Blanche. C’était trop visible, trop criant.

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De l’avertissement de Trump à la montée en puissance d’Orania : l’Afrique du Sud en plein effondrement. Pourquoi le monde devrait y prêter attention

Jonas Nilsson révèle comment l’effondrement de l’Afrique du Sud, marqué par une gouvernance racialisée et des mouvements sécessionnistes populaires tels qu’Orania et Cape Exit, a transformé une crise nationale en une fracture géopolitique, l’intervention de Trump mettant en évidence les enjeux mondiaux d’un avenir post-arc-en-ciel.

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Maurice Bardèche et la terre promise – Nicolas Bonnal

« Car telle est, en vérité, la condition de l’homme après la déposition des patries. On soutient par pression les régimes qui ouvrent largement la cité à l’étranger. On exige que ces étrangers reçoivent les mêmes droits que les habitants du pays et on condamne solennellement toute tentative de discrimination. Puis on ne reconnaît pour régulière qu’une manière d’opiner purement numérique. Avec ce système, quelle cité ne sera pas, en un temps donné, soumise par une conquête pacifique, submergée par une occupation sans uniforme et offerte finalement au règne de l’étranger ? Le point final est atteint ici. Les différences nationales seront peu à peu laminées. La loi internationale s’installera d’autant mieux que la loi indigène n’aura plus de défenseurs. »

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L’avis de Robert Kennedy Jr sur le Forum économique mondial de Davos

Lors d’une émission radio, Robert Kennedy Jr, nouveau ministre de la santé des Etats-Unis depuis l’investiture de Donald Trump, a donné son avis sur le Forum économique mondial (WEF) réuni en ce moment à Davos :

« Il est étonnant que ces gens se rendent à Davos et soient capables de dire à ces dirigeants mondiaux comment nous gouverner d’une manière qui éradique nos droits constitutionnels et civils ! »

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Et pendant que le monde a les yeux rivés sur Donald Trump, le mondialisme avance !

Source : francesoir.fr – 12 novembre 2024 – Claude Janvier https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/et-pendant-que-le-monde-les-yeux-rives-sur-donald-trump-le-mondialisme-avance Abonnez-vous au canal Telegram Strategika pour ne rien rater de notre

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Les mondialistes prévoient d’utiliser les migrants comme une armée de mercenaires contre l’Occident

Je pense que Harris offrira très certainement la citoyenneté à tous les illégaux déjà présents dans le pays (beaucoup d’entre eux en échange du service militaire), achetant une force mercenaire et un bloc de vote progressiste en même temps, mettant fin à toute chance pour les conservateurs de participer à nouveau au gouvernement.

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Nous sommes peut-être plus proches du « Vous ne posséderez rien » que nous ne le pensons

Le slogan du Forum économique mondial « Vous ne posséderez rien et vous serez heureux » a été largement tourné en dérision, car il s’agissait d’une vision sourcilleuse d’un avenir d' »économie de partage » sans l’agence implicite que confère la pleine propriété. La location d’objets dont on n’a besoin qu’une seule fois est depuis longtemps un marché, et le covoiturage a du sens pour les citadins qui n’ont besoin d’un véhicule qu’occasionnellement. Peut-être devrions-nous reformuler le slogan en « vous semblerez posséder des choses que vous ne contrôlez pas réellement et vous serez heureux ».

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L’Inde et les États-Unis sont sur la voie de l’endiguement de la Chine

après avoir audacieusement revendiqué le rôle de leader du Sud mondial en septembre dernier, l’Inde s’est ralliée en l’espace de deux mois au camp américain en tant qu’allié indispensable des États-Unis, aspirant même à devenir un “centre de défense mondial” avec l’aide du Pentagone. Le cœur du problème est que l’Inde n’est pas enchantée par la multipolarité croissante de l’ordre mondial. L’Inde est un bénéficiaire de l’”ordre fondé sur des règles” et se sent bien plus à l’aise dans un ordre mondial bipolaire où la multipolarité, si elle existe, reste un phénomène marginal tandis que la prééminence des États-Unis continuera à prévaloir pendant les décennies à venir.

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