Tyler Durden et le triomphe de la Bête mondialiste – Nicolas Bonnal

« J’affirme qu’il n’y a pas de pays en Europe où l’administration publique ne soit devenue non seulement plus centralisée, mais plus inquisitive et plus détaillée ; partout elle pénètre plus avant que jadis dans les affaires privées ; elle règle à sa manière plus d’actions, et des actions plus petites, et elle s’établit davantage tous les jours à côté, autour et au-dessus de chaque individu, pour l’assister, le conseiller et le contraindre. »

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Julius Evola et la désintégration psychologique occidentale – Nicolas Bonnal

« Le résultat, c’est un nombre toujours croissant d’individus instables et informes, c’est l’invasion de ce qu’on peut appeler la race de l’homme fuyant. C’est une race qui mériterait d’être définie plus précisément que nous ne saurions le faire ici, et sans hésiter à recourir à des méthodes scientifiques, expérimentales. » « Le type d’homme dont nous parlons n’est pas seulement rétif à toute discipline intérieure, n’a pas seulement horreur de se mettre en face de lui-même, il est également incapable de tout engagement sérieux, incapable de suivre une orientation précise, de faire preuve de caractère. »

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Orson Welles et la nostalgie des origines – Nicolas Bonnal

La nostalgie de Welles s’est étendue à sa vie. Il est venu vivre en Espagne, dans l’Espagne franquiste qui enchante alors Hollywood et où même on laissa réaliser le très marxiste Spartacus (voir mon livre sur Kubrick où je décortique cette acrobatie). Après Franco il dira tel quel que la démocratie a détruit l’Espagne.

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L’Europe humiliée et déshonorée face à Trump et Poutine – Nicolas Bonnal

la gauche social-démocrate et le centrisme catho-bourgeois-cabri s’allient pour créer une nomenklatura génocidaire européenne et un troupeau de moutons qui a progressivement tout accepté : vivre sans eau, sans énergie, sans bagnole mais surtout pas sans vaccin et sans propagande. Comme dans les années quarante finalement. Le culte de la personnalité imposé par des médias fonctionnarisés fait le reste. En Amérique, on a une tradition d’information libertaire, survivaliste, antiétatique, antisocialiste, en Europe non. Donc on suit le train fou jusqu’à la mort.

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Tellurisme, grande santé et re-production de la vie – Nicolas Bonnal

On va reparler de Spengler mais je voudrais faire quelques rappels pour expliquer pourquoi les Européens agonisent depuis longtemps. Nietzsche en a parlé, et Yockey et Drieu… les grands penseurs enracinés américains (Madison Grant notamment) ont aussi vu ce risque : la liquidation du paysan-soldat républicain heureux dans le monde de la ville, de la consommation et de l’industrie.

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Le dernier safari et les fourmis blanches – Nicolas Bonnal

« Les « Hommes-Fourmis », c’étaient tous ceux qui achètent et vendent jusqu’au jour de leur mort où on les met au cimetière, en rangées, parmi les autres « Hommes-Fourmis » morts avant eux. Les seuls indigènes qu’ils connaissent, les « Hommes-Fourmis », ce sont leurs cuisiniers, bien que peu d’entre eux soient même capables de leur parler seulement. »

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Le voyage en mode Trump-l’humour de JMLP en Amérique – Nicolas Bonnal

L’important ici est de rappeler que le FN de la grande époque, jusqu’au suicide du « détail » puis de la guerre en Irak (le FN se retrouva aux côtés des écolos et des communistes…) avait une dimension typiquement américaine : bouffe, populiste, anarchisante, bon enfant, anti-bureaucrate, anti-migratoire, antimondialiste. Bref le FN faisait du Trump avant Trump.

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Comment la presse moderne inventa notre réalité – Nicolas Bonnal

La presse invente une réalité dans laquelle baigne l’humanité. On voit en Amérique, partie la plus avancée sur le plan technologique, qu’une bonne partie de la population arrive à s’extraire du simulacre de réalité (mais la réalité peut-elle être autre chose, Ô Maya ?) et commence à comprendre. Mais elle même s’adresse au réseau, à la matrice. Les vieux médias vont sans doute crever en Amérique (en France ils sont fonctionnarisés-donc-increvables) mais ils sont remplacés par sans doute pire qu’eux, ce que la vieille garde démocrate, par la voix des frères Coen, avait nommé l’Idiocratie. Le pullulement d’analphabètes néo-cons dans l’administration Trump rassérénera les amateurs qui adulent tel messie pacifico-politico-médiatique.

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