La faillite de l’armement occidental
Essayons de tracer une perspective de long terme sur les raisons pour lesquelles les opérations ne se sont pas enchainées comme prévu par l’OTAN et les conséquences sur notre sécurité.
Lire la suiteEssayons de tracer une perspective de long terme sur les raisons pour lesquelles les opérations ne se sont pas enchainées comme prévu par l’OTAN et les conséquences sur notre sécurité.
Lire la suitele livre d’Emmanuel Todd, La défaite de l’Occident, a suscité un large rejet du monde médiatique, rejet qui interroge sur notre capacité à débattre de sujets ouverts par nature.
Lire la suiteLa riposte de l’Iran à l’attaque sioniste contre le consulat de ce pays à Damas, où 16 officiers dont de très hauts gradés du corps des Gardiens de la Révolution ont trouvé la mort, a été de grande ampleur mais proportionnée dans la mesure où elle se voulait avant tout dissuasive d’autres actions meurtrières de l’entité sioniste.
Lire la suiteSoutien sans faille au gouvernement Netanyahou en Israël, rejet de la reconnaissance de la Palestine à l’ONU, aide de 95 milliards de dollars pour l’Ukraine, Israël et Taïwan, …
Les États-Unis semblent lancés dans une fuite en avant tout azimut, entraînant avec eux leurs « alliés » français et britanniques, et faisant exploser les dépenses militaires et la dette publique, pendant que l’économie réelle s’effondre et que les ménages et les services publics sont soumis à une cure d’austérité.
Pour profiter de la rente mémorielle, les sionistes ont tout fait pour perpétuer cette culpabilité aux générations actuelles des pays incriminés afin de les diminuer, les manipuler et leur soutirer des privilèges. Sur ce qu’ils ont fait et font, à ce jour, de dantesque aux Palestiniens, leur progéniture doit-elle payer aussi? Voici quelques exemples de faits et gestes, à retenir, à l’attention de leurs descendants afin qu’ils n’oublient pas la cruauté de leurs aïeux.
Lire la suiteDébut avril, j’ai effectué un reportage à Marioupol, Donetsk et Lougansk grâce à un ami tadjik qui construit des aires de jeux pour enfants dans le Donbass, en coopération avec le ministère russe de la Défense. Pendant une courte semaine, j’ai pu sillonner, la boule au ventre à cause de l’émotion, les deux républiques. Y rencontrer les gens, discuter avec des réfugiés, constater l’ampleur des destructions et la vigueur de la reconstruction, dormir au son du canon russe et des roquettes HIMARS ukrainiennes.
A cette occasion, j’ai pu rencontrer le chef de la République de Donetsk Denis Pouchiline. En poste depuis 2018, il a succédé au charismatique Alexandre Zakartchenko, tué dans un attentat. Changeant constamment de place pour des raisons de sécurité, il nous avait donné rendez-vous dans un petit village de campagne dans la direction de Berdiansk, à deux cents kilomètres de Donetsk
Lire la suiteNous nous livrons ici à une analyse mais nullement à une prophétie : Les planifications informatiques préparatoires à la SVO1 concluaient à une prise de contrôle rapide de l’Ukraine, et celles menées par les cadres de l’OTAN en charge de l’offensive d’été à une victoire complète de Kiev !
Lire la suiteSous le discours du « pragmatisme », les relations du Brésil avec la France ont été préméditées, la récente rencontre entre Lula et Macron s’inscrivant dans le projet géopolitique hégémoniste pensé par le gouvernement Sarkozy.
Lire la suiteAvec le canal de Suez, la mer Rouge est l’une des plaques tournantes économiques du commerce mondial. Plus de 15% du commerce mondial passe par ce goulet d’étranglement géographique. Le choc a été d’autant plus grand en Occident lorsque, à partir du 19 novembre 2023, les combattants du mouvement Ansar-Allah (partisans de Dieu), également connus en Occident sous le nom de Houthis, ont commencé à tirer sur les navires d’Israël et des pays occidentaux alliés.
La raison de cette action: la guerre d’extermination menée par Israël contre les Palestiniens et la menace que le régime sioniste fait peser sur la mosquée Al-Aqsa de Jérusalem.
Lire la suiteWashington a dépoussiéré sa vieille boîte à outils pour réengager son allié de la guerre froide, la Turquie, et ressusciter leur alliance moribonde afin de servir les intérêts géostratégiques des États-Unis dans un environnement régional en mutation rapide. Cette démarche découle de la prise de conscience qu’en dépit de la diabolisation du président Recep Erdogan pour son inconstance, le potentiel de la Turquie en tant qu’«État pivot» reste une réalité géopolitique.
Il est permis de penser que cette prise de conscience fait suite à la reconnaissance, à contrecœur, par Washington que le vieux dogme du «vous êtes avec nous ou contre nous» ne peut et ne doit pas s’appliquer à des pays émergents comme la Turquie – ou l’Inde, l’Indonésie, le Brésil, etc. d’ailleurs – à une époque où l’influence des États-Unis dans les affaires mondiales diminue.
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