Ce n’est pas la «civilisation occidentale» qui doit disparaître mais la civilisation barbare du capitalisme décadent

Aussi, contrairement à la posture moraliste de Caitlin Johnstone soutenant que «la civilisation occidentale ne mérite pas d’être sauvée, le mode de vie occidental n’a pas besoin d’être préservé, il doit disparaître», laissant entendre que dans certaines parties du monde existerait une civilisation plus humaine (en Chine capitaliste ? en Russie impérialiste ? dans les pays musulmans féodaux ? en Afrique tribal et gangstérisée), nous proclamons que c’est le capitalisme, désormais mondialisé, qui ne mérite pas d’être sauvé, qui doit impérativement disparaître de la surface du globe.

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Yves d’Amécourt : « L’État nounou est une servitude volontaire, douce mais redoutable »

Source : epochtimes.fr/ – 18 juillet 2025 – https://www.epochtimes.fr/yves-damecourt-letat-nounou-est-une-servitude-volontaire-douce-mais-redoutable-3017238.html?utm_source=fr_dujournoe&src_src=fr_dujournoe&utm_campaign=fr_dujour-2025-07-19&src_cmp=fr_dujour-2025-07-19&utm_medium=email&est=2yD3VjbLaRFn5DzHjk1O%2Byv%2BDmaeBVgXeKqZqQPWLPkdQkNF2rk9gPETDFbvjj3Qz0Xb Abonnez-vous au canal Telegram Strategika pour ne rien rater de notre actualité Pour

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Toutes les routes mènent à Londres

En 1776, les colonies américaines ont déclaré leur indépendance vis-à-vis de la Grande-Bretagne et ont ensuite obtenu leur liberté grâce à la guerre d’indépendance américaine et à la guerre de 1812. Mais sous l’influence des banques britanniques, des «American National Banks» privées britanniques et du système privé de la Réserve fédérale américaine créé en 1913, les États-Unis ont été secrètement ramenés à la servitude et à la soumission à la Grande-Bretagne. Les États-Unis ont gagné les batailles, mais perdu la guerre, mais vous ne trouverez cela dans aucun manuel d’histoire utilisé dans les universités.

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Vers la fin de l’État-nation ? – Entretien avec Laurent Ozon

Dans cet entretien, Laurent Ozon revient à travers une lecture historique aux origines et aux fondements même de l’État. Il y analyse également ses transformations profondes et celles qui vont restructurer nos sociétés qui ont graduellement quitté la communauté solidaire pour la société contractuelle, puis enfin, vers un troupeau au service du marché.

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EDITORIAL: le peuple est leur ennemi; j’explique pourquoi.

Si la crise existentielle était reconnue alors le débat s’éclairerait et il prendrait la forme historique, séculaire que l’on connaît: le Jubilé, la Destruction du Capital Excédentaire, l’euthanasie du capital-boulet , dépassé, inefficace, prédateur, devenu illégitime. Il faut a tout prix que cela ne se sache pas, que personne ne fasse les liens. La conscience doit demeurer éclatée, kaleidoscopique, émiettée, vous ne devez voir que les arbres, surtout pas la forêt et le paysage.

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La cage d’acier de Weber et le néo-totalitarisme libéral-démocratique

Dans le contexte contemporain, caractérisé par l’omniprésence croissante des nouvelles technologies de la communication dans les processus de formation de l’opinion et de prise de décision, les réflexions sociologiques de Max Weber sur la « cage d’acier » s’avèrent être un outil fructueux pour comprendre les avertissements de ce que l’on peut définir comme les dérives du système néo-libéral-démocratique.

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William Morris – Comment nous vivons. Comment nous pouvons vivre.

le peuple entier doit à présent choisir entre l’anarchie qu’entraîne la faillite du système et la volonté de prendre le contrôle du travail : actuellement organisé en vue du seul profit, il faudra l’organiser de façon à faire vivre la communauté. Il s’agit de faire comprendre aux gens que la présence de profiteurs privés n’est nullement une nécessité par rapport au travail, mais qu’ils constituent une entrave à son développement. Et la raison n’en est point seulement, ou essentiellement, qu’ils sont ce qu’ils sont, les rentiers permanents du travail d’autrui, mais bien le gaspillage qu’implique nécessairement leur existence en tant que classe.

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La doctrine de la dette odieuse

Si un gouvernement démocratique s’endette contre l’intérêt de la population, cette dette peut être qualifiée d’odieuse, et être annulée ou répudiée, si elle remplit également la deuxième condition. Par conséquent, contrairement à une version erronée de cette doctrine, la dette odieuse ne concerne pas seulement les régimes dictatoriaux ou irréguliers.

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