Le dernier safari et les fourmis blanches – Nicolas Bonnal

« Les « Hommes-Fourmis », c’étaient tous ceux qui achètent et vendent jusqu’au jour de leur mort où on les met au cimetière, en rangées, parmi les autres « Hommes-Fourmis » morts avant eux. Les seuls indigènes qu’ils connaissent, les « Hommes-Fourmis », ce sont leurs cuisiniers, bien que peu d’entre eux soient même capables de leur parler seulement. »

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Orson Welles et sa fonction US très spéciale – Nicolas Bonnal

Je ne veux pas déboulonner une idole, mais simplement rappeler des faits. Je sais que je pourrais choquer, mais comme je ne lis jamais les commentaires… De toute manière je considère que l’individu génial, baroque, était plus intéressant par sa culture, ses facéties, son côté gauchiste caviar et Pantagruel d’opérette que le cinéaste

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« Plan A » – empoisonner l’eau de Nuremberg, le film des frères Paz

Au cours de l’été 1945, alors que les villes allemandes n’étaient plus que des monceaux de ruines encore fumantes et que les gens vivaient terrés dans les caves comme des rats, les Juifs qui avaient fui dans les années trente revenaient en masse, pour certains, assoiffés de vengeance. Plan A n’est pas seulement basé sur « une histoire vraie », il est réalisé par des Israéliens, les frères Doron et Yoav Paz, et il met en scène un épisode étonnant de l’histoire de l’Holocauste : un projet d’attentat monstrueux d’un groupuscule juif visant à empoisonner le réseau d’eau potable de Nuremberg.

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Préface à « La destruction de la France au cinéma » de Nicolas Bonnal

Un peuple de souche qui ne se reproduit plus guère biologiquement, mais qui
ne veut pas non plus se reproduire culturellement et esthétiquement. Et si
c’était un seul et même problème ? Ce qui nous ramène à Nicolas Bonnal. En
s’occupant de cinéma, c’est-à-dire de la question esthétique, il va au cœur de
l’essentiel.

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Jean-Luc Godard et le crépuscule des dieux – Nicolas Bonnal

Godard pour moi n’a existé que dans les années soixante, au temps de la splendeur de Bardot, de Belmondo, de Marina Vlady. On vit à l’heure de la Conquête du cool décrit par Frank, et Godard incarne à la fois une révolte formelle – qui a totalement disparu depuis du cinéma – et politique, une révolte proche dans l’esprit de celle des situationnistes. En quelques films il remet en cause la réalité de la France bourgeoise, consumériste et gaulliste – et ne propose rien. Quand il va proposer quelque chose (la Chine maoïste, les BBlack panthers, etc.), il va sombrer.

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Idiocratie : Hollywood et la montée de la stupidité occidentale

Le dénominateur commun de tout cela c’est l’idiotie. La foule mondialiste veut du reset et du vaccin, de la prison et de la mort- ce que son élite appelle par exemple la transition énergétique. Elle veut aussi de l’esclavage volontaire, et cette soumission, on le sait depuis La Boétie et depuis l’Antiquité, accompagne l’idiotie.

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