Pierre de Gaulle, résolument engagé pour la paix et la prospérité des peuples au côté de tous les Français

Pierre de Gaulle n’est pas un de ces innombrables politiques qui aiment à se réclamer de l’héritage gaulliste.  Il porte simplement le patronyme familial et explique, avec clarté, les devoirs et la responsabilité qui y sont associés. Après avoir fait carrière dans le conseil en stratégie d’entreprise, en France et à l’étranger, il s’est mis au service de la France et des Français en créant la fondation Pierre de Gaulle, un think tank engagé pour la paix et la prospérité entre les peuples.  Il appelle d’ailleurs toutes celles et ceux qui veulent défendre cet idéal à le rejoindre

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Roosevelt et de Gaulle: la diplomatie américaine de 1940 à nos jours -Diplomatie et cour de récréation

Relisant l’excellente biographie que Jean Lacouture a consacré au général de Gaulle 1, nous
sommes frappés par les similitudes de la politique du gouvernement américain envers la France
libre avec le comportement de la « diplomatie » U.S. contemporaine.

Lacouture considère que l’attitude américaine envers de Gaulle et le Comité National Français 2
puis le Comité Français de Libération Nationale 3 est en grande partie le fait de la psychologie
propre à Franklin Delanoe Roosevelt, assez enclin aux jugements à l’emporte-pièce, fondés sur
des à-priori, alimentés par des informations de seconde main et dédaigneux des éléments qui
pourraient perturber ses convictions quand les faits contredisent sa vision théorique.
Pour nous, qui avons devant nos yeux l’erratique politique internationale américaine, au moins
depuis le 11 septembre, l’étude de l’attitude de Roosevelt envers de Gaulle apporte un
enseignement plus… général.

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Jean-Marie Le Pen et la décadence de la France sous De Gaulle – Nicolas Bonnal

Ainsi a procédé la révolution de Mai 68. Avec son
slogan directeur, il est interdit d’interdire, elle a plongé la civilisation européenne dans un bain
d’acide où nous sommes restés durant toutes les années soixante-dix, puis, au fil des années quatre-
vingt, on a sorti la plaque, on l’a essuyée, et la gravure à l’eau-forte est apparue, image de la nouvelle
civilisation, avec sa nouvelle morale, sa nouvelle esthétique, ses nouveaux fondements politiques,
dans laquelle nous vivons. Le monde ancien, homme ancien, ont été dissous, et se dessinent
maintenant l’homme nouveau et ses valeurs nouvelles. 

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« La France et le monde sont dans une situation où il n’y a plus rien à faire ; je ne souhaite pas que leréférendum réussisse » : le Général de Gaulle face au Kali-Yuga français – Nicolas Bonnal

Debré et de Gaulle sont conscients de tout. L’Histoire de France est terminée et cela va se sentir. Debré écrit donc :
« J’évoque ces forces violentes qui désirent tant l’intégration de la France dans l’Europe, c’est-à-dire en
fin de compte la fin de la France, et je crains aussi que les divisions de l’Occident et l’incapacité
américaine ne conduisent notre civilisation au déclin décisif. Je parle d’abord des forces qui poussent à
l’intégration européenne: tous ceux qui Sont hostiles à l’Etat, tous ceux qui ne comprennent pas la
nécessité d’une pensée et d’une action indépendantes, se précipitent vers la supranationalité. Subsiste uniquement le monde des affaires, dans la mesure où le monde des affaires permet gagner de
l’argent et d’avoir des revenus. Mais sinon il n’y a plus rien

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Eric Zemmour et la destruction de la culture française (par Malraux)sous de Gaulle – Nicolas Bonnal

De Gaulle était, dans ses goûts artistiques, un « ancien » ; il
écrivait comme Chateaubriand, goûtait la prose classique d’un
Mauriac bien davantage que celle torrentielle de son ministre de la
Culture ; il préférait Poussin à Picasso, Bach à Stockhausen. La
France était pour lui l’héritière de l’Italie de la Renaissance, et de la
conception grecque de la beauté. Malraux, lui, était un « moderne »
; hormis quelques génies exceptionnels (Vermeer, Goya,
Rembrandt), il rejetait en vrac l’héritage classique de la
Renaissance, et lui préférait ce qu’il appelait « le grand style de
l’humanité », qu’il retrouvait en Afrique, en Asie, au Japon, en
Amérique précolombienne. Il jetait pardessus bord la conception
gréco-latine de la beauté et de la représentation

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Couple franco-allemand : quand Himmler écrit à de Gaulle – par Nicolas Bonnal

Le couple franco-allemand est brinquebalant mais terriblement totalitaire et belliqueux. Rien ne l’arrêtera dans sa volonté de faire souffrir ses propres populations (les « peuples » ayant disparu) ou de guerroyer pour l’occident, notion nazie utilisée par Rebatet dans ses Décombres.

Voyons alors d’où peut lui venir une telle volonté de nuire et de détruire à ce couple maudit.

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« Si peu de destinée dans le regard » : De Gaulle et la fin des Français – Nicolas Bonnal

Freud qui annonçait même, à cause du développement de la culture, la disparition démographique des races les plus évoluées… Plus personne n’a rien à foutre de rien, à commencer par ce pape et son troupeau de fidèles bidules et tièdes. Les communistes, les socialistes, les nationalistes ? Laisse tomber ! Il ne reste que le fric, mais il permet de se payer de moins en moins de choses. (…) les joyeux débuts du bobo planétaire et jouisseur (…)

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1944 : pourquoi de Gaulle préférait Staline à Roosevelt – Nicolas Bonnal

Dans ses Mémoires de guerre, le Général entrevoit et dénonce la mondialisation américaine, le déclin pathétique de l’Europe, la fin des empires coloniaux, la liquidation du millénaire Etat-nation, liquidation à laquelle nos élites ou supposées telles ont depuis pris une si joyeuse part. C’est d’ailleurs pour cela que le Général de Gaulle ne cesse de vouloir se rapprocher de la Russie, fût-elle dirigée par le Maréchal Staline. Ce dernier apparaît sous sa plume non pas comme le diable de nos historiens de plateau mais plus simplement comme le gentil ogre avec qui il faut apprendre à s’entendre.

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