la remontée des votes, leur centralisation et sommation se fait à Beauvau, par un logiciel appelé EIREL. Ce n’est même pas un Intranet, c’est juste un site en ligne avec un contrôle d’accès minimal (identifiant – mot de passe), donc crackable par n’importe quel hacker un peu pointu. Le logiciel n’est, lui, contrôlé par aucune instance administrative ou indépendante, rien, walou, zéro : en ligne sur Internet, pas de contrôle. Si le moindre problème fuite, on pourra toujours accuser les « hackers russes », et évoquer l’ingérence étrangère, comme cela a été fait aux USA.
Ce qu’il faut bien comprendre ici, c’est qu’il est possible d’imposer n’importe quel résultat TOUT en garantissant la conformité avec ce qui a été relevé au niveau local : les chiffres sont ventilés pour être cohérents, mais le résultat final est hors d’atteinte.
Je voulais réagir à votre remarque sur le fait que les élections françaises n’ont pas été truquées, pas besoin avec la masse de blaireaux vaccinés 3 doses, selon votre opinion…
Je voulais quand même vous faire part d’une expérience personnelle à ce sujet.
Je fais partie des gens qui sont convaincus d’un truquage massif. D’ailleurs, le score réel de Macron, selon moi, est apparu deux mois après les présidentielles, quand LaRem a fait 4% aux européennes : 6% maxi, c’est le fond du panier pour Macron, en grattant à deux mains, Mais passons.
Avec ma conviction du truquage, je me suis inscrite dans une association fondée par un type appelé François qui a lancé un projet de contrôle citoyen des élections, trois mois avant l’échéance présidentielle. Assez bizarrement, je me suis retrouvée propulsée au secrétariat de l’asso, où j’ai pu apprendre deux ou trois choses du fonctionnement électoral, mais aussi sur les buts de cette association. J’ai également traité des dizaines de milliers de mails, jusqu’à 700 par jour, de gens qui manifestaient le désir d’en finir avec Macron et de reprendre les choses en main à leur niveau. Beaucoup de gens tout autant que moi convaincus d’un truquage massif. Un nombre non négligeable d’entre eux était rendu fou furieux par le sentiment de trahison et d’impuissance. Certains étaient des assesseurs politiques assermentés qui avaient été empêchés en 2017 d’accéder en Préfecture pour assumer le deuxième étage de contrôle que les élections normalement requièrent.
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